Dans les rues étroites,
Que la beauté flatte,
Un firmament éclaire,
L'instant centenaire,
Des douces beautés,
Décemment éparpillées.
La trame qui suit,
Emmène au train de nuit,
Le passant essoufflé,
Par sa dure journée.
Quant au poète,
Homme de lettre ;
Le voici sur un toit,
À contempler en émoi,
La ville et ses monuments,
Dont il apprécie les accents.
Mais Paris enfin,
En songe revient,
Puisque Londres déjà,
Laisse faner ici et là,
Les pétales du temps,
À l'orée du printemps.