Porte ouverte au dialogue de tresse,
mèche après mèche se succèdent
les pensées nouées sur le même thème.
Porte ouverte au réel qui objecte,
revers après revers se gèrent
les faits sevrés de la malsaine défaite.
Porte ouverte au poumon d'air sans stress,
chair après chair se libèrent
les pores qui s'étonnent de confort au naturel de l'universel.
Porte ouverte au dégel des froids d'hiver,
sève après fièvre se réchauffent les grandes sapinières,
au printemps de verts faîtes derechef.