Tu regardes la spume
A ton bord d’océan
Qui salive le heurt
D’un rendez-vous manqué,
Tu ignores l’écume
Caressant ton arène
Sur la grève au clapot
De ses coïncidences.
Et ce trouble te parle,
Où silence et fracas
Y festonnent la mousse
D'un ruban échoué
Sur la ruine alanguie
De tes châteaux de sable.
Tu es seul…