Esterina

Un poème cinglant d'une lucidité impitoyable, un cruel appel à l'humilité. Mais le temps de notre court passage, comment vivre sans s'accrocher à un peu d'espoir, chacun a besoin de sa part d'illusion, sans doute ?

Des mots qui me donnent l'envie de découvrir ce bel et majestueux édifice et de m'y recueillir.

La beauté peut se nicher dans les moindres apparats de la nature... Il suffit d'ouvrir les yeux.

Un heureux Noël, dans "le recueillement, l'espérance et la paix" et puisse cette trêve se prolonger toute l'année nouvelle...

Une atmosphère lugubre, un sombre présage qui se propage jusque dans les jeux enfantins... Echos de ce triste monde..

Vivre ou survivre...

Oui, brûler, savourer jusqu'au bout ce qui nous sera encore offert de vie, sans trop se retourner.

Très beau texte très subtil en effet, qui mêle délicatement paysage automnal et sentiment amoureux.

 

En l'occurrence je ne parlerais pas de défaite, sauf s'il s'agit de la défaite de nos institutions et de notre manière de faire respecter les lois internationales et le droit d'un peuple à disposer de lui-même, mais plutôt d'abandon et d'une lâcheté certaine, guidée par des intérêts politiques et financiers...

En effet, c'est bien ainsi que je l'entendais.

Cruelle image pour une terrible défaite...

Une complainte déchirante pour suggérer cet inexprimable enfer. Oui, le temps efface tant de choses et pourtant jamais la folie destructrice des hommes, qui semble toujours devoir renaître ici ou ailleurs, terrible constat.

Douce torpeur de l'été, qui atténue tant de maux.

Un goût de renouveau bien appréciable...

Un tableau plus serein d'une période souvent redoutée.

C'est vrai, la meilleure fontaine de Jouvence !