A travers les néons de la fortune
Au creux des désirs et de l'amertume
Emprisonné dans son art épris de faiblesse,
Un flot fait de maladresse.
Dégouline de son corps
Chaque parcelle de la mort
Et la cage de solitude absolue se referme
Etrangers au monde, dans un cri, les yeux se ferment.
Augustin
Inscrit(e) : 27 mars 2007Hors-ligne Dernière activité : juin 11 2007 04:22