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esteban06

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Hors-ligne Dernière activité : janv. 01 2014 10:34

#248923 Mon royaume

Posté par esteban06 - 26 décembre 2013 - 09:10

Entrez dans mon royaume et laissez vous charmer,
Par ces vers sensuels aux syllabes taillées
Dans lessence de lamour, laissez venir à vous,
Les pensées qui le soir rendent vos sens fous.

Gardez les yeux fermés et acceptez mes vers,
Comprenez que ma voix vient pour chasser lhiver.
Votre cur votre corps, vos sens et existence,
Parleront dans leurs râles du mot accoutumance.

Draps de satin brillant, les rimes se reposent,
Sur un lit harmonieux où vous attends losmose.
Mademoiselle je vous prie de vous laisser ce soir,
La chance dêtre une femme, dêtre vous dans le noir.

Vos pores sont attirés vers ma peau ruisselante,
Je soupire dans le noir sous votre voix tremblante.
Jaime tellement vous plaire et faire de vous ma mie,
Que ma vie na de gout que lorsque je vous lis.

Partagez vos pensées avec la poésie,
Livrez vous en secret, dites lui votre vie.
Plus sensuelle encore elle sera avec vous,
Si vous lui avouez que pour vous elle est tout.


#245590 Oserais-je te réveiller ?

Posté par esteban06 - 11 novembre 2013 - 05:08

Quand j’entre dans le lit alors que tu dors là,

J’imagine un frisson qui te réveillerait.

Et dans tes longs soupirs de plus en plus discrets,

Je trouve l’inspiration et soulève le drap.

 

Un fluide très compact s’immisce dans mes veines,

Et mes doigts qui explorent le sommet de tes pores,

Désirent te caresser. Tu es belle comme de l’or,

Que l’on peut comparer aux larmes d’une reine.

 

La cambrure de tes reins est si bien dessinée,

Que je cherche un chemin pour rejoindre tes mains.

Tu te tournes et m’embrasses comme au passé lointain,

Je te serre contre moi en pleurant le passé.

 

Alors que tu gémis et que je tremble encore,

Tu caresses mon ventre, je m’agrippe à tes fesses.

Je ne désire pas que ce rythme là cesse,

Car il nous conduira à ne former qu’un corps.

 

A présent c’est à moi de prendre soin de toi,

D’utiliser tes cris pour t’emmener plus loin.

Et même si tu supplies, par la force j’en conviens,

J’amènerai tes sens dans des contrées sans loi.

 

Les mains contre le mur et pieds nus sur le sol,

Tu agrippes mon dos de tes doigts maquillés.

Le reflet de la lune dans le ciel étoilé,

Chamboule les effets qu’on sur nous les deux pôles.

 

Tes mains touchent tes pieds, juste avant de partir,

T’allonger doucement et réclamer mes lèvres,

Sur le bord de ton front pour faire tomber la fièvre,

Tu rajoutes ce soir une touche au plaisir.

 

Juste au levé du jour tu t’endors à nouveau,

Je m’excuse platement de ce réveil tardif.

La nuit m’a demandée d’être plus impulsif,

De laisser s’envoler dans les cieux tous mes maux.

 

Stéphane