Aller au contenu

kim

Inscrit(e) : 13 sept. 2008
Hors-ligne Dernière activité : mars 29 2025 05:48

Publications sur Toute La Poésie

Famille

29 mars 2025 - 05:42

C'est un oiseau qui Perla jadis
Il semble ne plus avoir faim mais en fait là je le vois qui plane comme allure, Unis ce sentiment est faillible,la chasse n' est plus vraiment certaine,
Il semble que la disgrâce soit L Amour, comme soleil, oubliant les sourires,et les gestes tendres d Une famille Unis, dans L avenir

Kim

l arborescence de mes pensees ,derniers poemes

24 avril 2020 - 11:03

                                                            Derniers poèmes

 

 

 

Souvent j’ai regardé le ciel

Et en me disant. Du pareil au même

 

Les voyages.

 

N’est ce pas tout d’aimer.

Souvent regardant le ciel immense.

 

Cette prison d’amour reste veine.

Ou aller, dépossédé de ton ombre,

Bien sur la lune m’a guidé. Ou marcher ?

Semblable aux décors des allées lumineuses ;

Sombre. La nuit le jour.

 

Je demeure étranger.

 

Il n’y a pas d’amour ordinaire.

Trop peu ont eu le droit d’aimer.

Bien sur les choses avancent.

Mais vers quoi ? L’amour

Tombe raide.

 

Libre, de dire oui, tout cela nous oppresse ;

Rien de plus que cette rengaine

Éternelle. Je m’en vais rêver mes heures

Dans le maniement infini du destin.

    Qu’il s’en moque, cela est bien

Puisque tout fini par se taire.

Je n’ai pas dit ce qu’il adviendra de l’ombre

   Pareil, si elle ne veut plus sourire, ni parler.

Tant de bêtises martèlent les cervelles.

Humaines. Faut’ il s’en rappeler ; qu’un et

L’autre ne soit le même. Ici bas, tu partiras

Loin, au moins, mais dans le gémissement cruel

Des braves, c’est l’amour qui donne à vivre

Et les chaines qui nous entourent ne sont là que

Pour dire, ne pars pas.

 

Non ne parts pas  car je t’aime et

Les murailles détruites de nos espérances je veux

Les rebâtir ; qu’elles soient si belles que tu en oublie

La prison lumineuse dans laquelle nous mourons,

    Enfer ou les morts s’agitent en couronne.

Non ne parts pas embrasse moi comme

Au premier jour de l’espérance. Cris mon nom comme

Fougue, et même si tu parts, l’éclair qui a fait

Trembler mon corps te rappellera au point nommé

De mon cœur. Liberté.

Mon amour embrasse moi encore.je veux

Sentir les déambulations de ton être savant ; pour que

Tu m’explique par un gémissement instinctif

Pourquoi continues-tu de te taire sachant.

Et avant que j’oublie la vérité de l’instant

  Et que je me retourne pour

Que le maniement de mes songes te fasse

Perdre la raison, tu auras déjà tissé

Une belle toile ; tapis au vent d’étoile

Le tigre qui volait pour délivrer sa fiancée.

 

 

 

 

 

 

 

Un instant pareil

A l’étoile qui, balance

Une horde de cheveux

 

Après la nuit pour l’amour des femmes

S’il avait plume, un jour divin

Un divin amour sans rêve ni fin

Apres la nuit pour l’amour des femmes

 

Si l’écriture de l’âme

Que j’évite d’exclamer

Par mouvements infâmes

Et violence pour près.

 

Que le poète est idiot à parler la beauté

Que le poète est idiot de partir sans chercher

Ah s’il se pouvait une seule femme

Que j’embrasse lentement et mon cœur lui livrer

Mais mon cœur a battit des forteresses glacées

Et tous mes poèmes ne peuvent les briser.

 

Que j’aimerai un instant

Ma tête reposée

Sur ce corps que j’aime tant

Et à l’amour me livrer.

 

J’ai cherché dans les astres

Les tourbillons violents

J’ai voulu perdre la trace

Revenir aux vivants

 

S’il se pouvait une douce femme

Que j’aime comme une amie

Et des caresses dont on ne se lasse

Comme des tourtereaux en s’aimant pour la vie.

 

Mais l’ennuie me guette, comme je suis proie

Mais la mélancolie me guette au passage des Rois

Et je parts toujours laissant les amours punis

Dans ce cœur qui prisme l’ombre et la mélancolie.

 

O Dame scélérate

A l’éclair pour près

Dans la nuit qui chevauche

Les jours baladés.

 

L’épaisse fumée

Sur ce siècle de givre

Aux visages marbrés

En ce siècle de givre.

 

Les enfants du monde

Mélangé, parlent d’un

Corps aux saveurs mélangées.

Les temps changent, s’inversent les pavés

Les chats de gouttières envahissent les prés

 

 

 

Kim

Décembre 2012

 

 

 

 

 

 

 

 

l arborescence de mes pensees , premiers poemes

24 avril 2020 - 11:00

Premiers poèmes

 

          

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    

 

Voila deux ans que tu es parti

Et mon cœur, s’oubli

A penser à toi

Le temps est si long sur l’horloge de l’éternité

Tu es parti avec une part de moi

Jamais plus je n’étais.

C’est comme ça, le destin a soufflé sur ton âme,

On dit que c’est la vie,

Voilà deux ans que tu es parti.

 

 

 

 

Aujourd ‘ hui une fille qui avait mon âge est morte.

Elle a quitté ce monde si jeune et sans escorte,

J’entends souvent dire que la vie est belle, pour elle

Prions pour que son âme soit montée au ciel.

Envolé sa vie comme une fleur fauchée

A peine arrivée, si vite repartie

Paraitre, disparaitre, ainsi va la vie.

 

Ce que je ressens

Je ne peux l’exprimer

Le cœur déchiré

Le soufle coupé

J’étouffe je me débats,

Mais seul je me noie

Personne ne m’entend

Dans cet immense océan

Mes larmes coulent à flot et se perdent dans l’eau.

 

 

Je t’écris ces mots tombés de mon cœur blessé.

Je t’ecris ces mots froid, si froid, les yeux mouillés.

Je me souviens d’ hier lorsque tes yeux brillaient,

Et si je pleur.

C’est que de tes yeux la vie s’est retirée

Et si je pleur c’est que dans tes yeux, la

Lumière ne brille plus

Et je pleur car mon cœur se noie dans l’océan de ton regard perdus.

 

 

C’est en me promenant au jardin nostalgie

Au crépuscule sonnant ; l’heure

Ou les souvenirs fleurissent avec la nuit

Que je vis une fleur briller

Le jour est bien loin maintenant

Pourtant ton regard n’a pas changé

Souvenir de ce jour, toujours

Une place dans mon cœur

Là où le temps s’est arrêté.

 

 

Misère des pleurs misère de la vie

Comme un fatal refrain,

Chante l’oiseau mélancolie

Dans le cœur de chacun

Pique, quelques notes de musique

Dans le cœur de chacun,

Oiseau mélancolie, oiseau de la vie.

 

 

Voila le temps s’en est allé

Avec notre enfance sous son aile.

 

Dans notre vieille chambre vide, des souvenirs…

Tout est à sa place. Oublié par le temps les

Objets sont restés figés. Quelques magazines en tout genre

Posés sur la table de nuit, nos trois commodes et nos trois lits,

Les draps trop bien pliés. Sur les murs

Des posters Walt Disney riment

Avec la mélancolie du temps qui passe.

Pour chaque objet sonne un souvenir

Et chantent à mon jardin secret

Pour le meilleur ou pour le pire

Le temps s’en est allé

Avec notre enfance sous son aile.

 

 

Samedi 19 mars, c’est la veille du printemps,

Le temps depuis quelques temps est radieux

C’est la veille du printemps mais sur mon cœur,

Il n’y a qu’une seule saison

Car la neige de l’hiver

Sur mon cœur tombe et tombera

 

Dehors, le soleil chante le bonheur

Au rythme de l’astral empereur

Et moi pourtant

Je cherche une lueur dans le froid

Car le soleil m’a perdu

Dans une torpeur sans lois

D’une saison, à l’heure méconnue.

J’erre dans ce jardin de peines

Ou le mystère comme l’Eden n’est pas

Car la neige de l’hiver tombe et tombera.

C’est la veille du printemps, la veille de ma vie

Mais sur mon cœur trop souvent,

Le ciel s’obscurcit

Et je me perds dans l’ombre, ma vie.

Qui n’est qu’un grand tambour monotone

Qui incessamment sur mon cœur raisonne

La saison des pleurs, la saison des pluies ;

C’est là une musique froide

Une bien triste mélodie

Et l’hiver en mon âme, danse au rythme de l’ennui

Dans l’ombre des rêves,

Dans ce cauchemar infini

Apres la guerre, suit la trêve

 Je pleure de la poésie

Alors si la lumière parfois m’ébloui

Je le sais, je le suis

Le vent souffle et soufflera,

Le bonheur éclair, brille et s’éteindra

Et la neige sur mon cœur tombe et tombera

 

 

 

Terrifié, je me complais

Dans le néant, O tendre bruit,

Mon cauchemar, ma hantise,

Tu te nourri de mon insouciance et

Mon cœur orphelin de mélancolie

Chante en larme, la complainte de l’ennui

Heureux sans vraiment l’être

Malheureux sans vraiment l’être

Le juste milieu me rend ivre de mirages,

Effacé par la réalité comme guidé par un sage,

Je suis un spectre avançant sans avancer,

Dans un monde inintéressant, in intéressé

Marchant parmi les ombres

Il me reste une larme de regrets

Avant que définitivement ne s’envole ma plume

Et que je me complaise dans l’ennui

Lorsque mon identité bercera

Dans l’illusion d’un lointain passé.

 

 

Un tableau aux couleurs mélangées

Dans un esprit qui s’égard

Mais trouve la vérité aux couleurs de son regard

La vie est un profond sommeil

Mes rêves sont beaucoup plus sincères que ce que je vois

 Car la vie n’est qu’un rêve superficiel 

J’ose espérer avoir encore longtemps le choix

De mes illusions,

De mon regard

Sans hésitations

Le blanc et le noir

Jamais confondus

Sur le tableau

De l’absolu

Refusant le beau, l’ennui

Blanc ou noir

C’est l’amour ou la folie.

 

Ce jour ou la poésie est apparut

Dans mon cœur, la pénombre resta ombre

Mais pourtant devin belle, aussi clair que le jour.

 

Je marchais dans la nuit sans me soucier

Des pourquoi et comment, aveugle à mon propre cœur.

 

Car chacun, je crois reste une énigme pour sois même,

La poésie ne m’a pas donné de réponses ; juste des mots.

 

Ces mots ont la profondeur de la nuit,

Les couleurs de l’infini, l’extase de la magie,

Ce sont les maux de mon cœur…

 

Voila je me retrouve pareil a hier dans le non sens de la vie

 

Le bonheur me souri pourtant peut être trop

Simple trop fade, superficiel.je lui crache dessus.

Je balaye sa façade de noir et de gris

Et ce visage harmonieux, beau

Est maintenant laid et déstructuré.

 

Il a pris la couleur du non sens.

Mais mon bonheur à moi se nourrit

De ce tableau mélancolique.

 

Aujourd ‘ d hui c’ est bien ma peine,

Paris tout entier pleure sans moi

Ni rires, ni larmes

N’es ce pas le pire effroi ?

Alors c’est donc ainsi

La mélancolie même me fuie

Dans ce jardin de quiétudes

Je prends garde à l’habitude

Tendre ami de l’oubli

Doucement, mon cœur s’ennui.

 

 

Sur l’eau, l’onde calme du lac ensorcelle

Fredonne doucement, tout doucement

A mon oreille, le bruit

Du silence eternel

Je repose là, entre l’eau et le ciel

Seul mes sens bercés

Par l’instant magique traduisent ma pensée

Ivre d’inconscience

Vierge de douceur,

Je fais l’amour à l’inconnue liberté

 

Sur l’eau, l’onde calme du lac ensorcelle

Fredonne doucement, tout doucement

A mon oreille,

Le bruit du silence eternel.

 

 

 

Dehors, il ne fait pas vraiment chaud ;

Pas vraiment froid

Une bise lointaine, caresse les branches menues

De l’érable triomphant.

La nature la bien compris,

L’hiver s’essouffle, dépérit

Fier comme un lion pourtant.

 

Le roi se meurt

Dans le souvenir d’un règne tyrannique,

Dans le labeur de ce spectacle pathétique.

L’hiver n’est plus que l’ombre de lui-même.

 

Il semblerait que ce sont les oiseaux

 Qui ont donnés le signal…

Vrai, la révolte est bien plus aisée maintenant.

Allons ! vite finissons en ; non

La mise à mort approche à petits pas

La vengeance se savoure à la couleur du dictateur !

 

C’est une saison transition,

Une saison mitigée

Que savoure avec délectation

Le peuple opprimé

C’est la douce invasion

Inespérée

Du printemps

Des désespérés.

 

 

Que peut t- on espérer des lendemains de fleuraisons

Des lendemains de bonheur ;

Des journées de regrets, des journées de labeur ?

 

Que peut ont espérer des lendemains de fleuraisons

Car la belle rose sur un cœur délicat

Souvenez vous en hier, riait aux éclats

 

Et le soleil qui ne si trompait pas

Décorait la belle,

D’une parure, rosée étincelles

 

Mais maintenant, à quoi songe t- elle donc ce matin

La rosée des lendemains mélancoliques

Sur son visage fané, lui donne la réplique

Passe le temps, s’envolent les pétales, respire le chagrin

 

La tête posée sur un tapis vermeil

Elle semble songer encore ;

Et le beau soleil d’or, là haut dit de sa voix éternelle

Qu’elle était si triste mais qu’elle était si belle.

 

Comme elle est belle

Ma blanche colombe, elle fixe au loin

Le rêve, percevant l’éternité

Son plumage, étincelle comme un soleil de glace

Illuminant majestueusement

L’ombre qui s’efface,

Sur la banquise, couleur esquisse

Et lorsqu’ ‘ elle prend son envol

Mon esprit se prélasse, au son d’un battement d’ailes

Régulier, mêlé au sifflement du vent,

Elle plane au dessus d’un monde blanc

Et je perçois déjà, une lueur extase

La joue posée sue ce majestueux plumage

Vole, vole, mon bel oiseau

Savourons ces doux moments

Les yeux fermés, au firmament

De la liberté.

 

 

O ma colombe affolée,

Tu parais perdre le nord, ta blanche couleur

Le corbeau est ton roi, dans l’ombre des nuées

O ma colombe affolée

Tu me cris ton désespoir

Et mon cœur aussi trouble qu’il était hier transparent

N’entend plus qu’un silence désespéré

O ma colombe affolée

Et je pleure sur le manuscrit de mon cœur

De chaudes larmes blanches

 

 

 

 

Bercé parmes souvenirs

Dans les bras de la nuit

Je m’enivre de ces plaisirs

Fanés, de ces doux moments…

 

Ma tête tourne, qu’il est beau le temps d’antan

Ah ! Triste présent.

 

 

Je m’ennui si vous saviez comme je m’ennui

C’est bizarre, je n’ai pas de raisons de m’embêter mais c’est bizarre

Je suis touché par la maladie de l’ennuie

Rien ne me passionne, rien ne me motive, j’ai beau faire mine de m’échapper

De ruser, oublier…rien à faire, l’ennuie me rattrape toujours.

Je fais semblant de sourire, je fais semblant de rire

Il m’arrive même parfois de croire que je m’amuse,

C’est désolant car ce n’est que ruse

Je m’ennui toujours autant.

 

Pourquoi je soufre, je ne sais pas…

Lassé de subir les caprices de mes émotions

Je pique ma plume sur l’encrier de mon cœur

Et j’écris à l’encre noire des mots transparents

Comme l’eau de la fontaine ou coule les réponses à mes questions

 

 

 

Car on s’habitue à tout,

Je finirai par m’habituer à la vie.

Car on s’habitue à tout,

J’apprendrai même à être heureux

Dans l’habitude, hier ne sera qu’un rêve oublié

Un temps d’avant.

Mais au fond je m’échapperai toujours par le rêve

Car le reste ne sera que déception

 

 

A trop se creuser la tête on fini par se faire mal au cœur.

 

 

Mon bonheur me suit comme mon ombre

Retourne-toi avant que le jour tombe

Car courir après un bonheur étincelant

N’est que désolation et perte du temps.

 

 

Les yeux voilés de rêves,

L’enfant que j’étais d’une

 Main maladroite a peint

Couleur Eldorado

 

Ma vie, ce tableau.

Maintenant que je suis

L’enfant que j’étais a grandit

Le voile des rêves c’est envolé doucement,

Emporté par le souffle du temps.

 

Sur ma main hésitante

Mon pinceau tremble…

Car sur mes yeux pleure

Un bien triste paysage…

 

 

Elle sonne en moi la saison des émois

Mais qu’elle est donc ce doux parfum d’antan

Qui volant sur le vent

M’emporte avec lui

Au pays nostalgie.

 

 

Aussi beau soit t-il,

Le cheval sauvage

Sans les maux reste

Un cheval sauvage

 

 

Les arbres pleurent de lourdes feuilles mortes

Comme mes souvenirs que le temps emporte

Et le soleil verse une lumière atone

Qui déteint sur mon cœur ou doucement raisonne

La mélancolie du refrain de l’automne

 

 

La douce nuit a chassé le roi soleil

Partit se pavaner au loin dans l’aurore

Arborant fièrement, ses longues plumes d’or

Et moi bercé par la langueur du sommeil

Mon esprit s’évade au dos de ma plume

Guidé par la blanche déesse la lune

Vers un pays si beau, à mes rêves pareil.

 

La clarté du jour m’insupporte

Trop loin de mon cœur

Trop loin de la poésie

Pour cela préfère le rêve

Rimant si bien avec la nuit

 

 

 

Perdu entre le rêve ou la vie,

Je m’envole ou je pleur.

Et si le bonheur était ailleurs

Dans les bras de la nuit

 

Loin si loin, au delà de la vérité

Qui n’a de beau que son amer reflet

 

Si le bonheur n’est qu’illusions,

Moi je croque dans le rêve

Je prends les questions et je dessine les réponses

 

Perdu entre le rêve ou la vie,

Je m’envole ou je m’ennuie.

 

Se termine la vie

Là où l’innocence meurt

Tout le reste n’est que survie

Dans un monde sans saveur.

 

 

 

Mélancolie je t’ai tant haï, hué !

Te trouvant laide et ayant peur des larmes.

Depuis, dans l’habitude, résigné,

La poésie m’a parlé,

 

Vrai, ton visage a du charme ;

Loin de la beauté, éphémère,

Mélancolie au goût amer,

J’ai appris à t’aimer.

 

 

Las de la vie et ce qu’elle en est, j’écris quelques vers

Etant encore jeune et fougueux

 Avant que l’habitude ne souffle sur mes pensées

Lorsque je serai fier et narguant ce passé.

 

Plongé dans l’habitude et dans la bêtise

Je serai ami avec ce que je méprise.

Croyant détenir les clefs d’un bonheur restreint

Dans la fatalité j’apprendrai ce refrain.

 

Marchant bien droit parmi mes semblables,

Dans une atmosphère douce et potable,

Voulant changer la vie, la vie me changera

 En son image.

 

 

Je suis née dans un jour sombre,

A l’ombre des rêves,

Dans les profondeurs de la nuit,

J’étais déjà grand,

Mais pour la première fois, conscient

 

Pleurant dans ce monde désenchanté

Je cherchais désespérément

Les couleurs de la vie

Mais toutes se confondaient

Entre le noir et le gris, toutes

Avaient le triste parfum des regrets

L’amour ne se faisait qu’entre mélancolie et désespoir

Le bonheur était leur esclave et le souvenir était leur complice

 

 

 

Tu as laissé sur le lit,

Tes bijoux… et sur mon cœur qui s’ennui

Sans toi…. L’emprunte de ton sourire.

Je maudis déjà le jour,

 

Où, du soleil

Nous auront fait le tour ;

Des merveilles oubliées, dans la nuit de ton souvenir,

 

Je pleurerai le temps qui passe

Ce jour ou nous nous aimions

Dieu que la vie est lasse

S’il te plais REVONS

 

Ce matin je me suis levé, Je n’avais

Fermé l’œil de la nuit.

Dans cette douce euphorie,

L’aube m’a bercé, de rêves éveillés.

 

L’illusion s’est emparée de moi,

Du réveil et de son frai chagrin

Et je regarde avec émoi

 

Fondre une nuit sans lendemain.

 

Les premières fois

Avec tendresse se savourent

Comme ce soleil d’argent aux rayons d’automne

Qui caresse mon cœur de rêves et de velours

 

Sous le regard de Morphée,

La mélancolie s’étonne

Malgré le froid de la saison des pleurs

Une pluie de fatigue et de bonheur tombe sur mon cœur

 

 

 

Le temps, souffle sur le présent qui s’enfui,

Comme cette bise d’automne,

Réchauffant toujours mon cœur qui s’étonne.

Le froid était là, le bonheur aussi

C’est le souvenir qui me le dit.

 

 

Je voulais vous remercier madame Brami

(Car l’ingrat que je suis ne l’a toujours

 Pas fait) pour cette merveilleuse année

 Que j’ai passé avec la plus merveilleuse

Professeur de français

Je voulais vous remercier car à travers

La passion que vous avez pour votre

Métier et votre immense talent d’enseignante,

Qui permet de faire partager cette passion

À vos élèves, j’ai découvert

La poésie et je m’en suis à mon tour

Passionné.

 

Je vous remercie encore et toujours

D’autant plus que l’écrit d’invention

Du bac de français, je l’ai écrit en rimes.

 

Je vous remercie donc pour

M’avoir fait découvrir une passion, pour

Mes bon résultats au bac et je vous

Souhaite de tout mon cœur de continuer

À transmettre votre passion

Comme vous le faite car à vos cotés,

La poésie et le français tend les

Bras à tous les élèves qui ont la

Chance de vous avoir comme professeur.

Je pense sincèrement que dans

Discrétion de votre métier, plus qu’un

Verlaine ou un Mallarmé

Ce sont des personnes

Comme vous qui gagnent à être connut

Et reconnut !

 

 

Légende

 

Il était une fois

Au pays poésie

Deux sœurs jumelles :

Transparence et Emotions.

 

Transparence était blonde,

Belle comme un miroir,

Son visage était un reflet de magie.

Mais transparence ne souriait jamais,

Pire encore, jamais elle ne pleurait.

Elle n’était, ni vraiment triste,

Ni vraiment heureuse.

Et cela était la cause de son immense malheur.

 

Emotion était brune, belle

Comme la lune,

Tantôt mélancolique,

Elle pleurait des rivières, et des rivières

De larmes troubles.

Tantôt souriante.

Car, Emotion souriait beaucoup

Elle riait même souvent aux éclats.

Mais au fond, son malheur

Etait immense, car elle était incomprise.

 

C’était de loin,

Les deux plus belles femmes

Du pays poésie,

Plus belles encore que leur mère, la Rime.

Belle comme de la musique,

Elle n’était jamais triste

Car sa beauté suffisait à son bonheur.

 

La légende dit que Transparence et Emotion

Ne se sont jamais connues

Et que c’était la raison de leur immense malheur.

La légende dit aussi que leur esprit

Est présent dans le cœur de chacun

Et que celui qui les réunira

Sera un poète, mais qu’il devra se méfier

De la rime.

 

 

J’ai rêvé d’une amie.

Elle avait la joue posée sur mon cœur.

A la lueur de l’aube sur le «  lac ensorcelle  »,

Elle écoutait le silence, mêlé à l’onde de mes peines.

 

             Un sourire dessinait son visage.

Je me souviens, elle avait une blessure profonde,

Aussi profonde que notre amitié…

J’étais le seul à la voir…elle…

Plus que tout, j’aimais la caresser de mes mots

Pour soulager ses peines. Aimant l’autre…

 

 

 

 

Heureux celui, qui possède son rêve

Du cœur à l’âme, jusqu’ au bout des cils.

Du ciel, au vent aux parfums multiples,

Heureux celui qui prend corps de tous les éléments

Et s’enivre d’amour, pour croire encore et rêver toujours.

 

Oui heureux celui qui sait fermer les yeux

Sans craindre la nuit

Mais la dessiner

Sachant regarder les étoiles jusqu’au jour

Et ouvrir les yeux.

 

 

Kim

2004/2007

 

 

                         

 

  

                                                         

 

l arborescence de mes pensees , sur l epaule revee

24 avril 2020 - 10:55

Sur l’épaule rêvée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Violence

 

Lorsque la violence est insoutenable que l’humiliation, le mépris, entoure les hommes, les femmes comme un parfum ; que les coups partent claquent, raisonnent

Que la folie guette les cervelles extenués, réelle et terrifiante

Et l’ abandon , la lâcheté, la conspiration accompagne la jouissance et saute en gloussant sur les cadavres ;ils se disent ensuite tristes et malheureux sans jamais avoir connu la souffrance ; car ils veulent être vertueux et revêtent et tissent les habits que les morts ont laissés , ils les porte sans gènes , remplis de revendications en tout genre dont ils ignorent le sens , jeunes et anciens, gloussent encore, ils ne savent pas qu’ ils sont bêtes et enfilent le manteau long beau et noir de l’ humilité.

 

Lorsque l’ espoir n’ a plus de sens , qu’ il s’ efface au loin perdu et seul dans le froid, que les hommes , que les femmes ne savent plus dire je, qu’ ils se cachent pour dormir pour ne pas à être honteux, que les coups partent claquent et raisonnent, que le silence brise les bouches , que les joues glissent sur les mentons ; lorsque la folie guette les cervelles extenués , réelle et terrifiante

La poésie, arrive comme un salut

 

Kim

Mars/ Avril

2012

Les enfants reconnus

 

O France tu es belles comme un oiseau trop bien nourrie , tes enfants sont gâtés et en trépasse parfois ; mais tu es belle peut être la plus belle, tu es protégée par un cercle de lumière, mais ton ventre est rond et doux, tu préfère sommeiller, tu ne peux aller voler à travers les contrées dangereuses de l’ humanité, tu ne peux comprendre les peuplades immenses qui te dépassent , mais tu es belle , peut être la plus belle, ton ventre est rond et doux, tu préfères sommeiller, même à condamner tes propres enfants la paix est ton royaume mais tu es belle , peut être la plus belle

 

Kim

Mars/ Avril 2012

 

Le chant des hommes

 

 

 

Ils marchent sur le parquet

Avec des larges sabots

Alors je les entends, et ils dansent sans grâce

 Et je sais leur mouvement,

Il est lourd et ennuyeux et des cris pareil a des cris de hyène brisent les tympans et brisent les carreaux ;

Oui j’irai bien siffler sur la colline mais sur l’autre versant dont vous ignorez le parcourt ; en attendant,

Volez, tuez, pillez, comme les mongols entrèrent en terre de Chine qu’il en soi ainsi que l’odyssée du luxe miaule et miaule encore, je n’ai point porté le costume de ces terres, ni la fourrure du mouton, j’ai marché en homme libre et sa vision

Quand au coq, il chante haut et fort, mais quand il s’agit de défendre un enfant du pays, il n’y a plus personne ou sont les femmes, ou sont les hommes ? Orchestré par des petites cailles écervelées, ils grondent comme des hommes le chant des déportés

 

Kim

Mars /Avril 2012

 

 

Kim

 

Mars /Avril 2012

 

Rendez-vous

 

Dans la forêt aux milles et une branche vernis

Sommeil un ours, un ours immense

Il est noir, le poil dru et les oreilles fines

Il ronfle fort en alexandrin, il parait être presque gentil ;

Alors que le serpent songe prépare son venin

Une panthère débarque comme une furie, s’écorche par les branchages

 Et autres ronciers

 

Le cheval s’échappe au loin de l’écurie

 

Le séquoia de l’autre bout de la terre

Encore ;

Brise sa peine,

Le jour qui s’éteint et la nuit qui l’enchaine

Et la Lune passant au dessus des arbres le regarde en rêvant

De tout mon vivant mon Dieu  que tu es belle

Ton regard envoutant et ta bouche bohème

A te regarder ont dirait un poème

Quand te rêverai-je

Mon éclat de feux blancs ?

 

Kim

Mars /Avril 2012

 

Or noir,

 

 

C’était le jour de la nouvelle année Celle de l’empereur Dragon qui partout dans les rues,

Comme il est craint, on rend hommage ;

Son cuir vert qui s’étend de tout son long comme cet animal est étrange,

Ce serpent qui vole comme un oiseau

Ni poils ni plumes, il est beau, c’est poisson d’air et un violon d’eau, mais ce qui me fascinât cette soirée sur la rue d’en face,

Ennuyée, une splendide créature,

Elle était avec ses enfants ; son mari un homme d’affaires des Emirats ;

Riche de quelques fortunes envahissantes et peut être d’Or Noir.

Et sur son beau visage voilé, cette femme princesse,

Non pas soumise doucement révoltée ; un maquillage discret à la saveur étrangère, rêvée

Me fit tourner la tête ; au vent de sa beauté ; Mon regard se posait.

Pour cet instant aimé, je continue à la voir que cela en devienne indiscret,

Tu tombas le voile et je découvris loin et inconnu, tes longs cheveux et ton visage illuminé.

 

Kim

Mars /avril

2012

 

 

 

 

 

Sur l’épaule rêvée 

 

Point de non retour, il y a sur la berge effacée; mille fois endormis sur l’épaule rêvée.

Pourtant si la terre se détourne, et fuit, sans joie, point de non retour, il y a pour les marques uniformes. Viens donc, il se trouve que le vide voit et observe comme un chat qui se délasse et trouve en la patience, une raison subtile de vivre.

Oui j’en rigole encore, tu me diras ce poème est un enfant qui sommeil et pose donc ton regard sympathique sur l’emblème de son front, embrasse le d’un baiser tendre pour qu’il s’endorme sans

Effroi ; que vois tu en tes pensées farouches ; peut être ni voit tu rien que de la braise, des danseurs affolés. j’ ai pris la sagesse comme témoin ; mais il n’ y aura point de mais , juste le point de la source glacée , si ton esprit se fige et que ton cœur , n’ est plus que l’ instrument de ton corps évanoui , s’ est que tu as vu juste dans mes écrits ; je n’ ai aucunes pensées autre et toujours le tapis n’ aura de cesse que de dérouler son dessein , ses traits , son visage ,sur les contours de ton masque que je regarde et dans le poids grave des mots , je n’ entends que le souffle de la nature ; les canons ont sonnés , le songe navrant de l’ impuissance Perse , doucement il te caresse la patte et plante ces crocs dans ta chaire .La fin est proche ne soit pas triste, ne pleure pas ; je soumettrai la douleur au calme. Ce calme se prénomme vie, tu es belle, je ne puis te dire autre, le soleil s’est noyé dans la mer. Je t’embrasse trois fois. Sur le front les deux tempes, la droite puis la gauche et une fois, je t’embrasse sur la bouche ;

C’est comme cela que je t’aime. Reste près de moi que je te regarde encore, la vie est là et ton sourire aussi et tes seins et ton corps, tout ton corps que je dévore. Miaou. Miaou. Miaou  

 

Kim

Mars /Avril 2012

 

 

Tomimouk et sa plume

 

Il faut pourtant que mon âme s’évapore et retombe en bruit de scène.

Le brou ah pestilentiel qui entoure la vallée des vents continu à me suivre ou que j’aille.

J’entends claquer ses dents.

De peur, ou peut être de rage, ne rage soudaine et permanente.

Il n’y a aucuns amours. Et d’ailleurs les éléments qui virevoltent sont comme figés par l’ennuie,

La vieillesse, la jeunesse est semblable, ils mangent avec de grandes fourchettes pour que leur bouches énormes accueillent un tas de cadavres cuisinés,

Ils chantent en grâce, mais il n’y a aucuns amour, ce paradis est un enfer.

A quoi bon ? Croire encore.

Oui il le faut pourtant. J’ose espérer. Le vide est un abri et l’abri est une chanson fausse. Elle ne peut contenter personne et ceux qui s’y adaptent sont des rats tristes d’être joyeux de tout posséder.

Non à ce titre, il faut mettre un terme, à toute cette cacophonie prête à consommer ; et les micros ondes tueuses agitent les portes suspectes de Nelly green, ou bien Nelly blues, Nelly souffle ;

 C’est à vous de choisir une amoureuse, aller encore un effort. Voilà ; c’est fait, nous sommes maintenant dehors.

 

J’ai fait tomber ma plume,

C’est à dire que tout ce qu’il  se dira à l’ instant ne pourra être écrit ; bien cela n’est pas grave. Si en fait c’est vraiment très grave ; allons chercher une autre plume.

 

Un lien s’était construit entre Tomimouk et sa plume, s’était quelque chose de fort, ils avaient parcourut de nombreuses distances ensemble. Dans l’avion, les nuages lui rappelaient sa vie d’avant et s’était bien le seul moment ou elle était nostalgique. Oui sur qu’elle était triste lorsque à la fenêtre du hublot les nuages pleuraient et repartaient vers la terre. Mais plume de faucon ne pleurait pas, elle planait dans ce corps de métal, la liberté est intérieure se dit-elle, on n’enferme pas une plume.

Mais personne ne faisaient attention au paysage, c’était comme ca, ignorant la magie ;

C’est là, vers les notes désertes de n’être si tristement autre, les notes étaient ce qu’elles étaient ; une danse à chaque cris ; au tournant et la brume s’en alla pour toujours, embrasse moi lui dit

T’elle la musique l’embrassa, c’est une évidence, un rêve, libre et sans chagrins.

 

 

Kim

Octobre 2012

 

 

Merci à toi, qui m’as éloigné du danger

Lorsque les charognards me tournaient autour,

Comme des vautours,

J’ai pu sans danger me reposer.

Merci à toi,

Qui n’as pas d’enfants mais au cœur grand

Comme le jour

Je t’embrasse avec amour

 

 

 

Kim

Février 2012

 

Seoul

 

A Séoul il y a ce calme, mais un calme qui n’est pas sans poésie,

Non sans les apparences louches, superficielles,

Il y a ce calme que l’on retrouve partout

Et sur les sommets par, la vue et l’odorat,

Comsaimida,

On toucherait le ciel

 

Kim

Février  2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                             

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                    

          

 

 

 

l arborescence de mes pensees , Nebuleuse

24 avril 2020 - 10:51

                        Nébuleuse         

 

 

                                                                 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Les arbres pleurent de lourdes feuilles mortes,

Comme mes souvenirs, que le temps emporte.

Et le soleil, verse une lumière atone

Qui déteint sur mon cœur, ou doucement résonne

La mélancolie du refrain de l’automne

 

Kim

 2005

 

 

Ou est tu âme solitaire

Et quand est t-il de toi ?

Ai-je posé tienne.

Avant que les jours s’enlacent.

 

Ton sourire me dit souvent,

Qu’à la lueur du vent

 

Cervelles légères à jamais condamnées

Dans la société haute ils meurent doucement,

 A graver les mots sur les roches

 

Dans la mer jusqu’ aux terminaisons à souffler

Ils sifflent fort que les oiseaux s’enfuient.

 

Mais elle,

 Ne puis s’empêcher de croire au bonheur.

 

 

 

 

Es tu partis

 Ou bien es ce moi

Qui s’en alla

Pour d’autres dérives.

Loin de moi, de toi, de notre histoire.

Faut t-il toujours blesser

Toujours aimer

Sans amour toujours

De nouveau, encore

Faut t’il toujours aimer ?

 

La Sirène miroir

 

Ecrire me fait souffrir

Te regarder me fait penser

Qu’il n’y a surement plus

Que toi pour me comprendre

 

J’aime regarder ton visage

Tu es belle tu es une fleur

Que reste-t-il de ma candeur.

En réalité plus grand-chose.

Mais lorsque je m’allonge près de toi

Il me revient un instant de vérité

 

Que reste-t-il de ma candeur ?

L’ombre qui me heurte

Est semblable à la ville déserte

Que j’eusse aimé ?

Etait ce vrai ?

 

Mon esprit est pareil

A des miroirs par milliers

Qui s’éveillent par instants.

Mais je retombe dans l’ignorance

De ce qui anime ma vérité.

 

Cette douleur est affreuse

Il n’y a rien de certain.

Et le tumulte disgracieux ;

 

Volage ; cet enfer me souri

 

Je lui réponds que seul le bonheur m’inspire

Un bonheur simple comme te prendre dans mes bras

Toi qui es belle comme la paix d’un souvenir léger

Alors le diable me répond

Que lui aussi fut t’il un jour

Aimant et généreux

Alors je me relève plus fort le faut t il ?

Il n’y a rien que je désire

Je veux juste reconquérir la femme qui dans une vie passé

J’ai aimé et que j’aime encore.

 

Alors le diable encore me souri

Mais je ne lui souri pas

 

Elle n’est pas ma muse

Reflet de mon égoïsme

Elle est sirène miroir

Nue.

 

C’était là, vers les notes désertes de n’être si tristement autre, les notes étaient ce qu’elles étaient,

 Une danse à chaque cri ; au tournant et la brume s’en alla pour toujours.

Embrasse moi lui dit-elle et la musique l’embrassa

 C’est une évidence, un rêve libre et sans chagrins.

 

 

La princesse du temps ;

 

Princesse du temps,

Sempiternelle, à la fin

Et au commencement

 

Tu es la fleur

L’invasion

Et moi le sauvage

Libération

 

De quoi me parlais-tu ;

Je me souviens.       Toi

Fleuraison

 

Le chant et les racines.

N’as-tu jamais songé à la pluie ?

 

Tu es le prisme et la lumière

Qui change la loi

Dehors le soleil brille

Pourquoi fait t-il si froid ?

Je ne sais pas…

 

Le bonheur m’a trahi.

Sans bruit

 

Lumière sans loi

D’une saison à l’heure méconnue ;

Je cherche lueur

Dans le froid.

 

Le bonheur m’a trahi.

 Sans bruit

 

Tu es le prisme

Tu es ma lumière

Qui change la loi

 

Nous irons marcher

Et jamais, au grand tord

D’avoir été ; heureux

En marchand, muet tranquille

Et criant des mots doux

Brillent sur ton corps, tes yeux, musiques

 

Avant que je parte, reparte sur l’ile

D’étoiles

Désert,

Achevé de ma solitude ;

 

Reviens à moi.

 

Rien, cela n’est rien que l’ombre pareil

En ces lieux que seul le temps lui-même traverse sans rien abimer

 

 

 

 

A rien, à tout à toi

 

Dans le bleu océan,

Il y avait des fougères

Qui rasaient les sols

Comme sur la terre.

 

Je ne regarderai plus les étoiles.

Jolies.

La faute a qui ? A quoi ?

A rien à tout. A toi !

 

Arrêtes un peu de bouger comme ça. Là

Restes près de moi.

Je ne regarderai plus les étoiles.

Ni le vague, ni les tours,

Elles sont grises. La faute à qui, à quoi ?

A rien à tout ! La faute à toi.

 

 

La petite fille du soleil

 

 

Quelle est cette mélancolie

Que je vois dans tes yeux 

 

Un accord ;

Une partition

 

Il y a longtemps déjà

Que je t’aime.

 

Serai-ce la nuit qui t’appelle

Ou l’inconnue liberté

Qui t’enlève à la loi

Je t’ai aimé il y a longtemps déjà

 

Tu es loin je le sais

Comme la pomme de jouvence

Il faudrait arrêter le temps.

 

Comme l’arracheur d’arbres

Et celui qui balaye les montagnes

A quoi bon partir à la conquête de la liberté

Si à l’amour nous ne voulons pas nous livrer

Comme la petite fille du soleil

Et le prince sur son cheval blanc

Je sais que tu m’attends.

 

 

L’idiot

 

 

Pourquoi mon esprit s’éternise t-il sur ce corps que je parcours sans rien savoir.

Le méli mélo du destin s’arrache à mon cœur

 Et les notes qui bougent pour moi cet éteint

N’ont pas fini de poser sur l’horizon défunt,

Leurs désirs sans pareils.

Et mon cœur qui déteint.

C’est vrai et si je continue d’écrire sans fin,

C’est que les misérables notes qui entourent mon enveloppe d’écrin

Brillent comme un  soleil sans amour qui s’éteint.

Et si mon cri traverse la glace et les miroirs, c’est qu’au fond fragile mis à nu,

Je pense mes blessures qu’infligées ; j’inflige ;

Pareil à l’idiot Je guerroie et ne sachant pourquoi,

 La vérité m’emmène laissant les injustices voler comme l’oie

A la surdité totale n’écoutant que les notes mon bel oiseau et son sourire dans mes bras.

 

 

 

 

 

 

Kim

Novembre

2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                    

 

 

 

                                           Nuit Perse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jérusalem

 

 

 

Jérusalem la belle

Jérusalem sans peines

 

En bas

Cents pas

En haut

Pour l’eau

 

Jérusalem la belle

Jérusalem Sans peines

 

 

 

Nuit Perse

 

Les étoiles sont tombées du ciel sans qu’ils ne puissent penser

Les étoiles ont joués sur le ciel rouge

Les amants sur le toit du palais envouté

Pour ne rien dire

Se sont embrassés

Ce doit être une nuit Perse

Rien et tout leur appartient

Les pensées, les fleuves, les contrées

Et toi, libre et enchantée

Amour pour cartes éparpillées

 

 

Poésie

 

Poésie

Dans ton temple tu m’accueilli

Il y avait des tableaux

Mon Dieu qu’ils étaient beaux

Il y avait des statues

Mon Dieu qu’elles étaient belles

Et il était permis aussi

Lorsque l’on était sage,

D’écouter la nuit

Dans tes bras petits

Je ne te ferai jamais de mal

Poésie Merci

 

 

Kim

2012