sympatique

aimer c'est toujours oui   b journée

au constat du temps morne,  présent ces jours ci  il n 'y a que l'amour qui sauve  .....oui.................b journée

très beau partage plein de messages

au sublime lien on y tient toujours oui

sous les plis d'une vie bien dit j'applaudis 

tant qu il reste encore de ce temps nous errons  

dans l'air du temps  on le ressent oui 

belle fusion toute passion sous tes mots 

Au pays de mes chimères
Je vois que passent les ans.
J'entends le dégoût des chants.
Je ressens le temps qu'on perd.

On peint tout ce qui est clair.
La réalité ......... On ment.
Quand se dresse le bilan.
Un mort a été enterré hier...

On a détourné le fleuve.
Quant aux idées, ils ne peuvent.
Faire du temps un appui
À la femme devenue veuve
Laissée, au péril , ces gens
Au regard de son enfant

..............................
Au pays de mes chimères
Je ferme mes yeux de peur.
Je veux vivre mon ailleurs.
Tout est en feu là-haut, sur chairs.

Dans un retour en arrière,
J’ai vu passer tant de gens.
Mais leur vice est au présent.
Cette paix-là serait à refaire.

Sur des flottes vues en mer,
Nos yeux sous le noir de ce ciel,
Leurs yeux sont eux aux logiciels
D'un monde de sous, couvert.

D'un monde dessous ouvert,
D'un monde dessus couvert,
D'un manège, à ne pas taire
Au pays de nos chimères

Je vois le rouge qui domine

Le jaune pale le pourchasse

Le bleu est toujours à sa place

Le blanc ira en belle mine

A l'appel du silence noir

Qui avec le temps; il domine

En gros point;  à l'encre de chine

Le standard ainsi ne rien voir

Quand, il efface les couleurs

Le beau vert clair vient au secours

De ces dites humeurs du jour

Et il dissipe cette peur

Dans l'ocre si lent de l'automne

Qui va avec le temps surgir

En l'amas des tons les saisir

Il prend son temps ,il badigeonne

l'enfant a de cette imagination si pure oui

Aimons-nous vivants ...oui c'est l'instant qui compte

Les jours s’en vont, les jours reviennent.
Le cœur léger, pendule oscillant ici et là.
Que de poignets, collés aux persiennes !
Et le temps passant module ces ébats.
Des pensées légères, d'autres cartésiennes
Quelquefois peuvent être bonnes, mais des fois sonnent le glas.
Des scènes défilent et nous retiennent
Dans le silence de l’Hermite, et de sa foi,
Qui goûte au suc de cette vie : la sienne,
Dans un verre, pour la énième fois.
Être ailleurs, ses idées ne le soutiennent.
Il supplie le Haut, que le bas change d’état.
Et il revêt un vêtement en soie et laine.
Comme au soleil se dissipe le froid,
Et le bourgeon éclate, ô la belle aubaine !

Il aime et toujours, la caresse d'une branche.
De sa paume et doigts, il la pare pour sa fête.
Au labeur, et au bonheur de l’Art, le poète
D'un regard au fond, au plus profond, il se penche

Sur son pouvoir et la perçoit d'un balayage.
Comme une âme, qui en son esprit le nourrit,
Il donne un âge; à cette muse , qui sourit.
D'un pas trop lent en l'air dansant, il est ce mage.

Au mort, il lui donne sa sève, au bout d'un rêve
Il est là-haut; l'âme, le cœur les deux s’élèvent
Dans une ronde sphère, remplie du beau de l'air

Ou' défilent des séquences lentes et brèves
Dans de beaux décors , ou' tout est or, et sans trêve
Sublimes songes qui s’allongent, quand il erre.

au naturel la vie est belle oui