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Brice Locteau

Inscrit(e) : 05 avril 2013
Hors-ligne Dernière activité : juil. 29 2013 10:25

Publications sur Toute La Poésie

Délit

13 juillet 2013 - 02:12

Je dépose délicatement

Dans le creux de son cou

Cette sensation de chaleur qui se répand

Jusqu'au bout de ses joues.

J'oublies un instant qui tu es,

Je cesse de lutter.

Et je me vois fouler l'herbe menue

Avec toi, ô chère ingénue !

 

Je dépose délicatement

Dans le creux de ton cou

Un rêve fou

Qui au loin, s'en va, clopin-clopant.

J'aime cette ardeur,

J'aime cette chaleur.

Toi qui sait ?

Toi, mon insomnie, ma liberté.

Délit

13 juillet 2013 - 02:12

Je dépose délicatement

Dans le creux de son cou

Cette sensation de chaleur qui se répand

Jusqu'au bout de ses joues.

J'oublies un instant qui tu es,

Je cesse de lutter.

Et je me vois fouler l'herbe menue

Avec toi, ô chère ingénue !

 

Je dépose délicatement

Dans le creux de ton cou

Un rêve fou

Qui au loin, s'en va, clopin-clopant.

J'aime cette ardeur,

J'aime cette chaleur.

Toi qui sait ?

Toi, mon insomnie, ma liberté.

La chaleur des hivers

13 juillet 2013 - 02:08

La voici, la chaleur des hivers,

Cette subtile caresse 

Qui se perd dans les souvenirs,

Ces subliminales qui ne cessent

D'apparaître pour disparaître,

Comme ce soleil qui a décidé d'se taire.

 

La voici, la chaleur des hivers,

Celle dont les flocons pleurent

D'être tombés par cette averse.

- À cet instant, dans un flot de pensées,

De pensées bien embrumées,

Elle s'avance, je tombe -

 

C'est la chaleur des hivers,

Que je baise lentement

(à m'en brûler une lèvre),

Que je baise indécemment.

Elle qui à sa cime

Est plantée une plume.

Belle inconnue

13 juillet 2013 - 02:01

Dis moi comment t'appelles-tu

Ô belle dame ?

Écris ton nom sur mes lèvres et charme

Moi, chère inconnue.

 

Je sens en moi ta splendeur qui m'agresse

Ainsi que mon coeur battant en syncope,

Ô chère inconnue, faisons comme tous ces couples

Ou alors comme ces rimes qui s'embrassent.

L'incertain

13 juillet 2013 - 01:57

Que dire de ces yeux

Dans lesquels je me noie ?

Que dire du bleu

De ce ciel dans lesquels je me vois?

Ou encore son parfum

Qui m'emmène loin, très loin,

Dans les soirs bleus d'été !

Non peut être sont-ce ses cheveux

Qui se mêlent à mes pensées ?

Est-ce mon esprit qui divague sur le vin

Ou est-ce moi qui m'évade sur ton sein ?

 

Bénie soit ta splendeur qui grandit,

Béni soit ton regard que je cherche,

Bénies soient tes hanches

Qui sont les portes du paradis.