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Une fleur en mon coeur venait de prendre vie,
Un rayon de soleil au milieu de la nuit,
Sa couleur était belle et sa senteur si douce,
Qu'on aurait dit un ange déposé sur la mousse.

Une fleur en mon coeur venait de me sourire,
Comme un cadeau du ciel qui ne veut plus partir,
Sa beauté était telle et sa douceur si tendre,
Qu'on aurait dit qu'un ange venait de s'y étendre.

Cette fleur en mon coeur n'est jamais repartie,
Elle s'y est installée et a chassé la nuit,
Et je sais à présent qu'elle y sera toujours,
Elle a aussi tes yeux, et on l'appelle amour.

Si tu l'avais voulu, j'aurais vendu mon âme,
Si tu l'avais voulu, moi, je t'aurais aimé,
Comme on aime un enfant, comme on aime une femme,
Avec pour seule joie celle de tout donner.

Je t'aurais fabriqué des parfums, des eaux rares
Pour embrasser ton corps et le rendre amoureux,
En faire cet autel où j'aurais dit ta gloire
Avec les mêmes mots que ceux qu'on dit aux dieux.

J'aurais gravi pour toi les sommets de montagnes
Plus hautes que le ciel, même au froid de l'hiver,
Et je me serais fait cet océan qui gagne
Et fait de la falaise un nouvel univers.

Si tu l'avais voulu, si j'avais eu la force
De crier cet amour, d'en faire une chanson,
De graver beaucoup plus qu'un prénom sur l'écorce,
Et de ne pas céder à d'autres tentations.

Et si, même aujourd'hui, tu le voulais encore,
J'oublierais tout du temps et des regrets aussi
Et je retrouverais tout au fond d'une amphore
Ce message pour toi que j'y avais enfoui...

Merci mon doux ami pour ces vers et ces mots
Pour cette page où s'écoule une amitié superbe
Votre poésie explose en magnifique gerbe
On y sent la passion à la fleur de votre peau

Racontez moi un peu ce qui anime vos pensées
Car voyez vous, mon coeur ne cesse d'accélérer
Et ressent votre douleur quand vous maniez le verbe...
Et que le sentiment se cache parmi les mauvaises herbes

J'aime à venir ici comme un trésor pour y lire
vos écrits naissants dans les cordes de votre lyre
Au sombre mystère de votre âme qui semble souffrir

Pourtant, l'écoute fidèle que vous portez aux gens
Est un don que tout être cherche au fin fond du néant
Et qui libère nos armures sinistres juste pour un instant...

 

En écoutant le vent chanter,
Dans la voilure des hauts sapins,
J’ai entendu de la forêt,
Comme un appel et un refrain.

 

Et je pense à elle croisée au bout d'un chemin,
Ne laissant à mes yeux qu’un regard détourné,
Je garde en souvenir son délicat parfum,
Laissé par son âme ou je me mets à rêver...

 

La lune rousse est bien plus rousse
Dans mon jardin où les poésies poussent...
Depuis que tes yeux remplis de lumière
Font briller mon cur sous le réverbère... 

Tout parait plus bleu dans tes yeux
que le reflet de la mer dans les cieux
comme une aurore boréale sur l'horizon
qui balaye d'amour mes sentiments, ma raison.
 

 

Si tu cherches un chemin que tu ne peux trouver,
Que tu cherches une route et que tu ne vois pas,
Quau loin ton horizon et quelquefois caché,
Sache que dans chaque lieu le soleil sera là...
Alors regarde l'étoile qui guidera tes pas,
Alors regarde l'étoile qui montrera la voie,
Et peut-être quun jour alors tu trouveras,
Ce que tu as cherché et qui est devant toi...

Si tu cherches un ami pour te sentir moins seul,
Si tu cherches un amour pour voir passer les heures,
Que tu cherches simplement ce que tous les gens veulent,
Que tu cherches simplement des moments de douceur,
Ne cherche plus l'étoile car elle est dans ton coeur,
Ne cherche plus l'étoile car elle est bien en toi,
Nous avons tous en nous ces instants de bonheur,
Il suffirait d'y croire, un peu plus chaque fois.
 

La pluie sur ma joue a laissé un diamant, 
Un peu comme une perle où se reflètent les nues,
Elle ne veut plus partir et reste obstinément,
Je me demande alors, si elle n’est pas perdue.

 

De ma fenêtre ouverte je regardais au loin,
Là où sen vont les rêves, où lhorizon sendort,
Là où le ciel et leau ne vont former plus quun,
Jimaginais un monde, aux milliers de trésors.

Où les fleurs sont si belles quon dirait des joyaux,
Et les oiseaux si beaux quon dirait larc en ciel,
Et les arbres si grands et les arbres si hauts,
Que le soir on y voit sy poser le soleil.

Je regardais au loin, là où s'en vont les rêves,
Par un matin d'hiver, là où le ciel est gris

Alors par la fenêtre et sans la moindre trêve,

j'ai rassembler en moi le meilleur de ma vie...

 

 

Alors sans plus attendre et sans la moindre trêve,
J'ai vu par la fenêtre le meilleur de ma vie...



 

 

Vous êtes un ange, et votre voix si douce
Que j'imagine en suppliant votre amour
Une peau si claire sous votre chevelure rousse
Ressemble à cette écume qui sans la mer court...

Le fond de vos yeux bleus ont avalé tant d'images
Que toutes mes idées se sentent dépourvues
Si bien que leur clarté jalouserait la lune sur le rivage,
Ou face à vous, ce poème semble décousu...

Il me reste à présent l'espoir d'une rencontre
Telle une éclipse qui ne serait jamais venue
Et j'entends encore la trotteuse de ma montre
Qui caresse en silence votre sourire dévolu...

Il est là simplement, au milieu de la nuit,
Au milieu de loubli, au milieu du néant,
Il joue pour lunivers sa douce mélodie,
Personne auprès de lui pour écouter son chant.

Alors dans le silence sélève vers les cieux,
Son chant qui dans la nuit senfonce et puis se meurt,
Personne auprès de lui pour le voir malheureux,
Le vieux piano est seul, et dans la nuit il pleure.

Alors, j'irai prisonnier des vents
Sur les mer, les océans
A la recherche de ton amour
Sur mon bateau au fil des jours.

Et sur les cartes j'écrierais ton nom
Sur chaque soleil, sur chaque rayon.
Trouver ton cur au bout du monde
Te donner mon âme vagabonde.

Instant d'échange  FIN :

 

Merci !
Vous êtes venu à moi sans mots dis
Et je vous ai accordé ma plus belle symphonie
Sur tous les sentiments de mon corps enfuis
Vous m'avez un instant donné la vie