Votre verbe transfigure une simple nage en un mariage quasi mystique avec la nature…
- Esterina et Laurence HERAULT aiment ceci
Posté par M. de Saint-Michel
- 06 juin 2025 - 12:14
Votre verbe transfigure une simple nage en un mariage quasi mystique avec la nature…
Posté par M. de Saint-Michel
- 26 mai 2025 - 11:56
Posté par M. de Saint-Michel
- 25 mai 2025 - 11:58
À ma mère morte
le parfum de mille roses
l’azur sans nuage
Posté par M. de Saint-Michel
- 24 mai 2025 - 11:48
Poème empreint d’un « réalisme magique » qui magnifie les plus humbles éléments de la nature et réveille en nous le sens du merveilleux…
Posté par M. de Saint-Michel
- 23 mai 2025 - 11:28
Votre poème est un hymne au bonheur d’être en vie au sein d’une nature familière !
Posté par M. de Saint-Michel
- 21 mai 2025 - 11:54
Belle évocation de l’insomnie et de ses affres…
Posté par M. de Saint-Michel
- 20 mai 2025 - 11:42
Posté par M. de Saint-Michel
- 09 mai 2025 - 12:11
Une île est toujours mystérieuse, fût-elle proche des terres… Elle incite au rêve et à la poésie.
Posté par M. de Saint-Michel
- 09 mai 2025 - 12:03
Posté par M. de Saint-Michel
- 09 mai 2025 - 12:00
« La paix est l’intervalle entre deux guerres « a écrit Giraudoux…
Posté par M. de Saint-Michel
- 05 mai 2025 - 03:58
chacun de nous comme une ombre couchée dans le ravin
Oui, parmi toutes les autres…
Merci pour votre lecture.
Posté par M. de Saint-Michel
- 05 mai 2025 - 11:52
L’homme et son hésitation entre l’être et le néant… .
Si l’amour-propre ne le possède pas, comment pourrait-il ignorer sa misère ?
Merci à vous.
Posté par M. de Saint-Michel
- 03 mai 2025 - 11:37
Posté par M. de Saint-Michel
- 03 mai 2025 - 11:29
combien de rencontres, combien d'oublis
combien de mystères nous constituent...
merci pour ce partage qui me parle véritablement
La poésie est une langue universelle, le véritable espéranto…
Merci à vous.
Posté par M. de Saint-Michel
- 03 mai 2025 - 08:48
Qui es-tu
Entre tes mains les étoiles glissent disparaissent
à l’unisson de ta moindre vertu
Les heures ne tiennent leurs promesses
Voici l’hiver
murmures-tu au milieu des sables
Grises les neiges roulent sur ta chair
Oh que de songes lamentables
Et cette faulx
qui bientôt ensanglantera ton bonheur frêle
Oui ce chemin vers l’échafaud
où la nuit à ton âme se mêle
D’espoir vain
en illusion tu sais le poids de l’absence
avec tant d’ombres couchées dans le ravin
tant de sanglots pris dans le silence
Nu venu
Nu au fond des nuits-poussières
Resteras-tu à tes yeux cet inconnu
avant que le plomb de l’oubli ne ferme tes paupières