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Gracia Lunda

Inscrit(e) : 20 mai 2013
Hors-ligne Dernière activité : mars 08 2017 11:57

Publications sur Toute La Poésie

Loin de moi

03 mars 2017 - 11:41

J’écris avec fougue et folie,
Car la vie est si surprenante,
Comme la jeune et très jolie,
Femme qui habite à Nantes.


Elle me reçoit souvent chez elle ,
Depuis quelques semaines rue Collette,
Mais nos sentiments si sont réels,
Comme nos ébats sous la couette.

 

Oh belle élue de mon cœur,
A la beauté si singulière

Et aux petits yeux de couleur,
Je t’aime d’un amour sincère.


Psyché ! Mon passé me suit,
Mais je n’ose point le lui dire,
De peur qu’elle doute, puis fuit
Loin de moi et sans rien me dire.

 

Gracia LUNDA - « Les rues de ma vie »

J'ai besoin d'amour

25 janvier 2017 - 03:43

Eros ! Je joue de la guitare,

En fredonnant  des chants tsiganes,
Avec les nymphes de Gibraltar,
Tout en fumant des fausses gitanes.

 

Le chagrin se lie dans leurs yeux,
Comme dans un livre ouvert,
Car l’amour n’est plus depuis peu,
Et ce constat les rend amères.

 

Mais pourtant, certaines rêvent toujours,
Du prince charmant, de promesse,
De jolis petits mots d’amour,
Ecrit, dit et redit sans cesse.

 

Moi aussi j’ai besoin d’amour
Et d’une histoire romanesque.
Je ne veux plus faire la cour,
A des femmes plus que grotesque.

 

Gracia LUNDA – « Les rues de ma vie»

Plus Rien Ne M'étonne

01 novembre 2016 - 09:47

Je coudoie depuis le jeune âge,
Des femmes mais de petites vertus,
Que je rencontre dans les rues,
Si lugubres d’Énencourt-Léage.

 

Ô ! je me souviens de quelques-unes,
Dont la si charmante Andy,
La native de Normandie,
Au beau regard clair de lune.

 

Mais en vérité je suis las,
De cette vie si monotone,
Où vraiment plus rien ne m’étonne,
Comme les mensonges de Lila.

 

Eros ! Je côtoie tant de femme,
Agréables à l’œil nue mais sottes,
Comme cette pauvre cocotte,
Que je trousse sans état d’âme.

 

​Gracia LUNDA - « Les rues de ma vie »

Plus rien ne m'étonne

01 novembre 2016 - 09:42


Je coudoie depuis le jeune âge,
Des femmes mais de petites vertus,
Que je rencontre dans les rues,
Si lugubres d’Énencourt-Léage.


Ô ! je me souviens de quelques-unes,
Dont la si charmante Andy,
La native de Normandie,
Au beau regard clair de lune.


Mais en vérité je suis las,
De cette vie si monotone,
Ou vraiment plus rien ne m’étonne,
Comme les mensonges de Lila.


Eros ! Je côtoie tant de femme,
Agréables à l’œil nue mais sottes,
Comme cette pauvre cocotte,
Que je trousse sans état d’âme.

 

​Gracia LUNDA - « Les rues de ma vie »

Laisse-moi T'aimer

22 septembre 2016 - 12:06

J’écris avec réticence,
De peur que cette dernière,
Ne m’accorde pas la chance,
D’exaucer toutes ses prières.

 

Trop de larme et de palabre,
Les rues de sa vie sont sombres,
Comme un passé macabre,
Et caché par la pénombre.

 

Douce chérie aux boucles d’or,
Les rêves sont plus beaux à deux,
Telles nos ballades près du port,
Main dans la main et heureux.

 

Psyché laisse-moi t’aimer,
D’un amour vrai et sans faille.
Oh ne fuit point dulcinée,
Vient et suis-moi où que j’aille.

 

Gracia LUNDA - « Les rues de ma vie »