Gracia Lunda

J’écris avec fougue et folie,
Car la vie est si surprenante,
Comme la jeune et très jolie,
Femme qui habite à Nantes.

Elle me reçoit souvent chez elle ,
Depuis quelques semaines rue Collette,
Mais nos sentiments si sont réels,
Comme nos ébats sous la couette.

Oh belle élue de mon cœur,
A la beauté si singulière

Et aux petits yeux de couleur,
Je t’aime d’un amour sincère.

Psyché ! Mon passé me suit,
Mais je n’ose point le lui dire,
De peur qu’elle doute, puis fuit
Loin de moi et sans rien me dire.

Gracia LUNDA - « Les rues de ma vie »

Eros ! Je joue de la guitare,

En fredonnant  des chants tsiganes,
Avec les nymphes de Gibraltar,
Tout en fumant des fausses gitanes.

Le chagrin se lie dans leurs yeux,
Comme dans un livre ouvert,
Car l’amour n’est plus depuis peu,
Et ce constat les rend amères.

Mais pourtant, certaines rêvent toujours,
Du prince charmant, de promesse,
De jolis petits mots d’amour,
Ecrit, dit et redit sans cesse.

Moi aussi j’ai besoin d’amour
Et d’une histoire romanesque.
Je ne veux plus faire la cour,
A des femmes plus que grotesque.

Gracia LUNDA – « Les rues de ma vie»

Je coudoie depuis le jeune âge,
Des femmes mais de petites vertus,
Que je rencontre dans les rues,
Si lugubres d’Énencourt-Léage.

Ô ! je me souviens de quelques-unes,
Dont la si charmante Andy,
La native de Normandie,
Au beau regard clair de lune.

Mais en vérité je suis las,
De cette vie si monotone,
Où vraiment plus rien ne m’étonne,
Comme les mensonges de Lila.

Eros ! Je côtoie tant de femme,
Agréables à l’œil nue mais sottes,
Comme cette pauvre cocotte,
Que je trousse sans état d’âme.

​Gracia LUNDA - « Les rues de ma vie »

Je coudoie depuis le jeune âge,
Des femmes mais de petites vertus,
Que je rencontre dans les rues,
Si lugubres d’Énencourt-Léage.

Ô ! je me souviens de quelques-unes,
Dont la si charmante Andy,
La native de Normandie,
Au beau regard clair de lune.

Mais en vérité je suis las,
De cette vie si monotone,
Ou vraiment plus rien ne m’étonne,
Comme les mensonges de Lila.

Eros ! Je côtoie tant de femme,
Agréables à l’œil nue mais sottes,
Comme cette pauvre cocotte,
Que je trousse sans état d’âme.

​Gracia LUNDA - « Les rues de ma vie »

J’écris avec réticence,
De peur que cette dernière,
Ne m’accorde pas la chance,
D’exaucer toutes ses prières.

Trop de larme et de palabre,
Les rues de sa vie sont sombres,
Comme un passé macabre,
Et caché par la pénombre.

Douce chérie aux boucles d’or,
Les rêves sont plus beaux à deux,
Telles nos ballades près du port,
Main dans la main et heureux.

Psyché laisse-moi t’aimer,
D’un amour vrai et sans faille.
Oh ne fuit point dulcinée,
Vient et suis-moi où que j’aille.

Gracia LUNDA - « Les rues de ma vie »

J’écris avec réticence,
De peur que cette dernière,
Ne m’accorde pas la chance,
D’exaucer toutes ses prières.

Trop de larme et de palabre,
Les rues de sa vie sont sombres,
Comme un passé macabre,
Et caché par la pénombre.

Douce chérie aux boucles d’or,
Les rêves sont plus beaux à deux,
Telles nos ballades près du port,
Tout en contemplant les cieux.

Psyché ! Laisse-moi t’aimer,
D’un amour vrai et sans faille.
Oh ne fuit point dulcinée,
Vient et suis-moi où que j’aille.

Un jour, peut-être

Les tourtereaux de ma résidence

Refont le monde avec éloquence

Je les écoute de ma fenêtre

Et puis je me dis : « un jour, peut-être »

Les années défilent comme les belles

Etoiles filantes qui brillent dans le ciel

Je les observe tout en buvant

Du vin dans le domaine Durand

Je repense aux putes de la Bavière

Et à nos nombreuses folles nuits d’hivers

Dès que la solitude me gagne

Comme celle de mon frère au bagne

Cupidon ! J’esquisse des rictus 

Devant la foule comme le gus

De Bebbanburg, afin de cacher

Le manque de mon amour Psyché

J'ai beaucoup votre style d'écriture

Au plaisir de vous relire

J'ai pris beaucoup de plaisir à te lire

Amitié de Gracia LUNDA

Dois-je

La joliesse naturelle

De cette femme est comme celle

D'Aglaé la divinité

Romaine de l'antiquité.

Pourtant aucun ne la courtise,

Faisant preuve de couardise

Tel Cyrano de Bergerac

Face à Roxanne près du lac.

De plus, j'ai ouï-dire qu'elle est

Toute seule depuis Juillet,

Dois-je à mon tour tenter ma chance

En lui récitant les romances

Du si jeune Dieu de l’amour

Et en lui faisant bien la cour

Mais le fait d'être ridicule

M'intimide alors je recule.

Gracia LUNDA (Ex M. Marcus LS)

Un Peu d'Amour

J'ai écrit auparavant,

Un peu d'amour à des femmes

Sublimes et douces tel le vent.

Seul allongé sur mon lit,

Les yeux rivés au plafond,

Je repense à la jolie

Maîtresse au regard profond

Au château de Bebbanburg,

Les mois défilent et je songe

Encore au grand amour

Éternel et sans mensonge.

L'espoir me fais vivre mais

Enténèbre mon futur,

Rédigé un soir en Mai

Par les trois Nornes à coup sûr.

Gracia LUNDA (Ex M. Marcus LS)

Muse

Le jour, je joue du piano

En buvant un verre de vin

Et le soir comme Cyrano,

J'écris des poèmes divins.

Comme fumer une cigarette,

Une belle idylle éphémère,

A la Romeo et Juliette,

Vraiment ne m'intéresse guère.

Ne regarde point en arrière

Et oublie enfin ton passé

Repense au beau baiser d'hier

Et qu'il inonde tes pensées

Muse, je ressens quelque chose

Pénétrant depuis peu mon cœur

Je ne sais le décrire en prose

D'après toi ! Est-ce le bonheur ?

Gracia LUNDA (Ex M. Marcus LS)

Belfort

Les yeux rouges, je noie ce matin

En buvant des bouteilles d’alcool

Comme ce bon vieux Sébastien

Mon triste chagrin qui me colle

Fou amoureux ou suis-je bête

De croire que l’amour est là

Présent dans son cœur, dans sa tête

Et beau tel des fleurs de Lila

En faire ma femme j’en rêve

A chaque instant, a tout moment

Jusqu’à ce que la nuit s’achève

Mais les doutes survient constamment

Dans le train direction Belfort

Je repense encore à Psyché

Mon amour pour elle est si fort

Mais pourtant je pars seul et fâché

J'aime beaucoup ton écrit

Amitié de M. Marcus LS

Séduite par un air de manouche,

Cette femme m’embrasse puis touche

Si doucement mon ventre et mon torse

Sur cette sublime plage Corse.

De l’amour réel mais éphémère,

Tel un cadavre au bord de la mer.

La passion alimente les rêves,

Que la faucheuse dérobe et crève.

Ma mère dit que je suis méchant

Comme les loups qui rodent près du champ.

Un vil démon prenant l’air d’un sage,

Déchaînant l’enfer sur son passage.

La vie endurci mon cœur meurtrie

Par un passé de larmes et de cries

Que je répudie de jour en jour

Un peu comme mon premier amour