J’écris avec réticence,
De peur que cette dernière,
Ne m’accorde pas la chance,
D’exaucer toutes ses prières.
Trop de larme et de palabre,
Les rues de sa vie sont sombres,
Comme un passé macabre,
Et caché par la pénombre.
Douce chérie aux boucles d’or,
Les rêves sont plus beaux à deux,
Telles nos ballades près du port,
Main dans la main et heureux.
Psyché laisse-moi t’aimer,
D’un amour vrai et sans faille.
Oh ne fuit point dulcinée,
Vient et suis-moi où que j’aille.
Gracia LUNDA - « Les rues de ma vie »