Au coin de ton plus beau sourire
Mon cœur y a laissé son dernier soupir
Douceur extravagante quand tu l’opposes
A la pâle lueur, de mes yeux, moroses
J’ai arpenté toutes ces heures solitaires
Désireux d’y croiser contre l’ennuie, le fer
Et au prélude d’une fraîche nuit d’hiver
J’ai trouvé de la chaleur dans ton atmosphère
Tu brilles et danses tel un feu de Bengale
Dans tes ombres je renais virginale
Le temps de faire dans tes bras escale
Et me voilà de retour à ton festival
A la caresse de ton plus doux regard
Mon cœur a pris un nouveau départ
Fontaine de jouvence de mes espoirs
Je plonge y chercher mon étandard
- M. de Saint-Michel, Selphie et patou27 aiment ceci