Princerl

Au coin de ton plus beau sourire
Mon cœur y a laissé son dernier soupir
Douceur extravagante quand tu l’opposes
A la pâle lueur, de mes yeux, moroses

J’ai arpenté toutes ces heures solitaires
Désireux d’y croiser contre l’ennuie, le fer
Et au prélude d’une fraîche nuit d’hiver
J’ai trouvé de la chaleur dans ton atmosphère

Tu brilles et danses tel un feu de Bengale
Dans tes ombres je renais virginale
Le temps de faire dans tes bras escale
Et me voilà de retour à ton festival

A la caresse de ton plus doux regard
Mon cœur a pris un nouveau départ
Fontaine de jouvence de mes espoirs
Je plonge y chercher mon étandard

Tu as fait pâlir mon soleil et éteint ma lune
Comme une éclipse se languissant sur ma hune
Ton absence a fait le lit douillé à mon infortune
M'offrant pour compagnie cette solitude inopportune

Il n'est plus de mélodie, plus de musique douce
Rien de plus que le son du silence qui mousse
Électrocardiogramme plat d'un coeur sans secousse
Terre brulée impropre à ce que l'amour y repousse

Depuis toi je ne suis que lambeaux de moi
Frêle esquisse d'un roi déchu aux abois
Qui se remémore les histoires d'autrefois
Quand à nous deux nous étions la joie

Perdu de vue ton regard et le bleu de tes yeux
Entre toi et moi les remparts s'élèvent jusqu'aux cieux
Ton corps s'érige en forteresse face à mon coeur amoureux
Contre lequel s'échouent tous mes assauts audacieux

Tu as fait pâlir mon soleil et éteint ma lune
Comme une éclipse se languissant sur ma hune
Ton absence a fait le lit douillé à mon infortune
M'offrant pour compagnie cette solitude inopportune

Il n'est plus de mélodie, plus de musique douce
Rien de plus que le son du silence qui mousse
Électrocardiogramme plat d'un coeur sans secousse
Terre brulée impropre à ce que l'amour y repousse

Depuis toi je ne suis que lambeaux de moi
Frêle esquisse d'un roi déchu aux abois
Qui se remémore les histoires d'autrefois
Quand à nous deux nous étions la joie

Perdu de vue ton regard et le bleu de tes yeux
Entre toi et moi les remparts s'élèvent jusqu'aux cieux
Ton corps s'érige en forteresse face à mon coeur amoureux
Contre lequel s'échouent tous mes assauts audacieux

Tu as fait pâlir mon soleil et éteint ma lune
Comme une éclipse se languissant sur ma hune
Ton absence a fait le lit douillé à mon infortune
M'offrant pour compagnie cette solitude inopportune

Il n'est plus de mélodie, plus de musique douce
Rien de plus que le son du silence qui mousse
Électrocardiogramme plat d'un coeur sans secousse
Terre brulée impropre à ce que l'amour y repousse

Depuis toi je ne suis que lambeaux de moi
Frêle esquisse d'un roi déchu aux abois
Qui se remémore les histoires d'autrefois
Quand à nous deux nous étions la joie

Perdu de vue ton regard et le bleu de tes yeux
Entre toi et moi les remparts s'élèvent jusqu'aux cieux
Ton corps s'érige en forteresse face à mon coeur amoureux
Contre lequel s'échouent tous mes assauts audacieux