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David Panier

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Publications sur Toute La Poésie

Les quatrains maternels

23 février 2014 - 11:35

  Les quatrains maternels

 

 

I.

Entraînée dans ses profondes inquiétudes

Elle pense le pire avec certitude

Nul âme ne peut vraiment la comprendre

Sans avoir vécu les mêmes méandres

II.

Une mère ne connait point de gratitude

Venant de son propre sang si peu rude

Son être semble destiné à son petit

Si on voit comment elle pense et agit

III.

L’enfant est dans une grande faiblesse

Elle attendra la venue de sa sagesse

L’apocalypse peut très bien arriver

Seule son dévouement sera y résister

IV.

Il devra donner ce qu’il ne pourra

Son indéniable dette infini sera

Son coeur ne battra que pour elle

Car elle le portera de ses grandes ailes

 

 

 

la solitude d'un mot d'art

16 février 2014 - 03:43

La solitude d’un mot d’art

I.

Les mots transcendent une pointe d’âme

Quand le sens d’une vie se proclame

L’art sort des abysses solitudes

Pour qu’une idée soit désuétude

II.

 Le changement n’est que spirituel

Car l’opinion n’est point éternelle

L’art est la sensation intime d’être

Une profonde séquelle de lettres

III.

Bien que l’altruisme vivant est susdit

Le poème n’est qu’un miroir maudit

Dont éclosent les peintures frêles

Digne de doux rêves sensuels

IV.

S’enamourer pour la vie d’essence

C’est être de ses baux  la quintessence

Car être est la raison de la vie

C’est la retranscrire dans ces récits

 

 

la solitude d'un mot d'art

16 février 2014 - 03:43

La solitude d’un mot d’art

I.

Les mots transcendent une pointe d’âme

Quand le sens d’une vie se proclame

L’art sort des abysses solitudes

Pour qu’une idée soit désuétude

II.

 Le changement n’est que spirituel

Car l’opinion n’est point éternelle

L’art est la sensation intime d’être

Une profonde séquelle de lettres

III.

Bien que l’altruisme vivant est susdit

Le poème n’est qu’un miroir maudit

Dont éclosent les peintures frêles

Digne de doux rêves sensuels

IV.

S’enamourer pour la vie d’essence

C’est être de ses baux  la quintessence

Car être est la raison de la vie

C’est la retranscrire dans ces récits

 

 

la solitude d'un mot d'art

16 février 2014 - 03:42

La solitude d’un mot d’art

I.

Les mots transcendent une pointe d’âme

Quand le sens d’une vie se proclame

L’art sort des abysses solitudes

Pour qu’une idée soit désuétude

II.

 Le changement n’est que spirituel

Car l’opinion n’est point éternelle

L’art est la sensation intime d’être

Une profonde séquelle de lettres

III.

Bien que l’altruisme vivant est susdit

Le poème n’est qu’un miroir maudit

Dont éclosent les peintures frêles

Digne de doux rêves sensuels

IV.

S’enamourer pour la vie d’essence

C’est être de ses baux  la quintessence

Car être est la raison de la vie

C’est la retranscrire dans ces récits

 

 

L'amour d'une âme

08 février 2014 - 11:35

L’amour d’une âme

I.

Nos idéologies épousent la belle

Nos intérêts ne sont pas impersonnels

Quand notre ego semble bien se dualiser

L’entéléchie est l’ataraxie des idées

II.

Car point d’orage sans le soleil

Ni  malheur sans fruits vermeils

Rien n’est acquis surtout une âme

Le duel  est un psychodrame

III.

Aimer sans intérêt est certes utopie

Car la dévotion est une perspective cosy

l’intégrisme est une abysse bien sombre

Car l’amour aveugle aussi encombre

IV.

Il n’existe point de perfection

 L’amour est une aberration

Quand elle naît point une vrai passion

Car cela demande compromission