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Mr Strangeweather

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Hors-ligne Dernière activité : nov. 07 2021 12:38

Messages que j'ai posté

Dans la publication : La chouette

03 juillet 2021 - 08:21

Moi aussi (pas de diérèse dans atténuée).

Dans la publication : La chouette

03 juillet 2021 - 06:42

Bonjour. Merci pour ce retour. L'usage du « et » en début de vers associé à une conjonction de subordination (et quand, et que, et pour, et si...) permet d'instaurer une continuité narrative, de marquer une énumération. J'ai eu, en la matière, d'illustres prédécesseurs :

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
II nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;

Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

Dans la publication : Borealis

11 janvier 2021 - 09:49

Merci pour ce retour. J’ai employé « Juste un souffle » dans le sens de « Il suffit d’un souffle ». Peut-être devrais-je m’en tenir à « il suffit » pour être plus clair...

Dans la publication : Si tu as peur de ton ombre ...

04 octobre 2019 - 05:25

C'est magnifique. Ce poème a une très grande puissance évocatrice.

Dans la publication : Toujours sur le chemin

28 juillet 2019 - 07:56

Merci pour vos commentaires. Les deux arbres premiers proviennent du Silmarillion de JRR Tolkien. Dans l’univers imaginaire créé par cet auteur, ils constituaient la seconde source de lumière sur le Monde avant d’être détruits. La lune est la dernière fleur de l’arbre d’argent, Telperion. Le soleil est le dernier fruit de l’arbre d’or, Laurelin. Le « peuple singulier » est le peuple des Eldar, les elfes. Mais comme toujours en poésie, les métaphores et les correspondances établies par le lecteur sont tout aussi légitimes que celles imaginées par l’auteur.