Philippe Le Pelvé
Inscrit(e) : 13 avril 2014Hors-ligne Dernière activité : nov. 14 2014 06:52
Mises à jour du statut

Philippe Le Pelvé
Deux bonheurs
Nous avons récolté deux passions si enjoués.
De ton véritable malheur, j'en suis fort navré.
Mais pourquoi s'est il acharné sur ton seul être ?
C'est un destin que personne ne veut connaître.
Nous sommes spoliés par l'existence ingrate.
Le mot choisi, le mot voulu et le mot exact
Me gerce vraiment les lèvres bleutées et gelées.
Bien que par notre physique très diminués,
Nous avons cette chance de vivre ensem...


Philippe Le Pelvé
Une voix qui résonne
Une voix qui résonne, enfouie
Depuis trente six ans, une vie,
Vient bercer alors mon écoute.
Elle vient, là, lever mes doutes.
Une voix qui s'est tu un beau jour,
J'avais renié un si bel amour.
Oh, fasse qu'elle se propage
Délivrant d'autres messages.
Une voix que je ne me lasse
M'étreint de ce temps qui passe.
Berhe ou Philippe Le Pelvé


Philippe Le Pelvé
C'est mon fils qui est étudiant à l'université de Bourgogne. Il a eu son master et rempile pour la prochaine rentrée.


Philippe Le Pelvé
Prenez le métro qui affiche les poèmes. Je ne me rappelle plus les lignes qui verront fleurir la poésie. Merci


Philippe Le Pelvé
Celui qui a envoyé une photo mensongère est :
Taieb Yanis Auteur. J'ai gardé le mail correspondant.
Berhe ou Philippe Le Pelvé


Philippe Le Pelvé
Sur mon compte circule une photo qui n'a rien à voir avec moi. J'ai essayé de la retirer. J'espère que cela fonctionne après l'alerte. Merci pour votre compréhension Philippe Le Pelvé


Philippe Le Pelvé
Hôtel California
Un internaute, par pur bonheur, met une lien
Que j'ai ouvert avec nostalgie,là , ce matin.
" Hôtel California " , que de souvenirs alors
Sont remontés en écoutant ce vrai trésor.
La voix est mélodieuse et vous chavire.
L'esprit explose de joie et puis délire.
Presque quarante ans et aucune ride,
Des coups de blues, de cafard, elle déride.
J'avais seize ans quand j'avais pu l'écouter.
A plus de cinquante ans, je l'ai partag...


Philippe Le Pelvé
La poésie qui mendiait
Ce matin, je l'ai retrouvée
Baignant dans un sans d'encre.
Elle gisait dans son seul chancre
Qui ne fut pas postérité.
Ces mots étaient tous disloqués.
Éparpillées sont ses lettres.
Ainsi, il me faut l'admettre.
Elle a été ignoré.
C'est la mort qui l'a emportée.
Elle ne demandait qu'à être
Appréciée puis à transmettre
Son message bien déclaré.
Ce matin, j'ai alors pleuré...


Philippe Le Pelvé
Sous mon profil se trouve des poèmes à découvrir. Ce n'est pas un trésor
mais pour moi, tous mes ciselés mots ainsi reliés valent plus que de l'or.
