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Laroche

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Messages que j'ai posté

Dans la publication : Hauts-Clos

09 août 2016 - 08:45

Bonjour. Non, il n'y a pas de confusion: le titre évoque bien l'hôpital de Troyes, où j'ai passé une dizaine de jours, fin juillet. Les deux dernières strophes font d'ailleurs très directement allusion au paysage qui a été le mien durant ces journées. Et pour ce qui est du bilan, en effet, des moments comme celui-là y sont propices.

Amitiés.

Marc Laroche

Dans la publication : Porte de la Chapelle, soir d'hiver

03 août 2016 - 12:20

Bonjour. En effet; et j'ai voulu que le vers hendécasyllabique ne soit pas qu'une simple curiosité ou un hommage à Verlaine, mais aussi, avec la déconstruction des segments, un moyen de mettre en scène ce lieu "chaotique" qui ne fait pas partie du "beau" Paris mais qui mérite aussi d'être mentionné.

Cordialement.

Marc Laroche

Dans la publication : Jouer la montre

16 février 2016 - 01:37

Bonjour, Diane. La satire est là, c'est vrai; cependant le projet visait aussi à une interrogation de nature spiritualiste; elle n'est sans doute pas passée.

Cordialement.

Dans la publication : Jouer la montre

15 février 2016 - 09:45

Bonjour. Et merci pour votre commentaire. Mes poèmes ne sont pas qu'un discours, ils sont aussi une forme. Le sonnet doit condenser en 14 vers, et au prix de contraintes nombreuses, ce que veut dire l'auteur. Parfois il ne veut rien dire, et les poèmes sont de pure forme. Les miens, je souhaite les faire marcher sur deux jambes, précisément un contenu et une forme. Ici, le contenu touche à ce devoir d'inventaire que chacun est amené à dresser sur sa propre vie. A cet égard, la question soulevée par monsieur Séguéla sur ce qui fait dire à quelqu'un, passée la cinquantaine, qu'il a réussi ou raté sa vie, est passionnante. Mais la réponse -la montre suisse de grande valeur marchande- était celle d'un homme qui, ayant consacré sa vie professionnelle à promouvoir des produits de consommation, semble ne plus savoir mesurer la valeur des choses, mais surtout des êtres, qu'en terme financier. Il existe un article passionnant, paru dans Le Monde en 2004, et où le philosophe Robert Redeker oppose la propagande, qu'il rejette, à la publicité, qu'il valorise. J'ai toujours été profondément rétif à la propagande, qui a presque systématiquement des relents de régimes dictatoriaux, mais contrairement à Redeker, la publicité n'est pas non plus ma tasse de thé, car si elle est un mal nécessaire pour les échanges, elle demeure une pollution qui ravage les relations humaines. Ici, c'est ce que je tâche à synthétiser dans le vers 9, mais mon poème n'est peut-être pas réussi du tout, si l'on n'y voit qu'une attaque contre un personnage public. Je tenterai de faire mieux la prochaine fois.

Cordialement.

Marc Laroche

Dans la publication : En rupture de siècle

22 novembre 2015 - 10:06

Je retrouve ici cette sorte d'étrange colère verbale, à la fois donnant l'impression de partir dans tous les sens et d'une remarquable perfection formelle, qui caractérise les chansons les plus fortes d'un Léo Ferré.

Marc Laroche