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Champdefaye

Inscrit(e) : 13 juin 2014
Hors-ligne Dernière activité : avril 29 2015 03:01

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Découverte gourmande (chez Wang)

29 avril 2015 - 10:31

Bonjour Cyraknow,

serais-tu d'accord pour que je publie ton poème sur mon propre blog ?

Sous la signature de Cyraknow ? ou bien sous ton nom ?

Merci.

Champdefaye

Dans la publication : Ô Capitaine ! Mon Capitaine ! (pour R. W. ma traduction d...

13 août 2014 - 06:44

Superbe poème, que je ne connaissais pas. A dire debout sur une table, comme Ethan Hawke, pour dire adieu à l'acteur Robin Williams.
Autre triste nouvelle ce matin: Lauren Bacall est morte.
Avec cette réplique de "To have and have not", ses longs cheveux blonds et son regard bleu, elle entrait magnifiquement dans le cinéma en 1944.
"If you need me, you just have to whistle. You Know how to whistle, don't you, Steve?"

Dans la publication : Aphorisme

08 août 2014 - 10:37

Vous en expliquer la raison? Non, désolé, je ne le peux... (Ce n'est pas la première ni sans doute la dernière fois que telle ou telle publication "agit" ainsi... et la quantité de mots employés dans icelle n'a que peu d'importance.)

Mais vous, de votre part, pourriez-vous m'expliquer pourquoi, dans la 1ère partie de votre précédent commentaire, vous avez contesté ma phrase anodine avant (sans vous en apercevoir, peut-être?) de vous y rallier...
D'avance, merci.

 

 

Je vois que nous  ne nous comprenons pas. Il faut dire que c’est compliqué. Je vais récapituler pour tenter de comprendre moi-même

  1. Votre aphorisme de départ dit que le poème en sait plus que le poète
  2. Mon premier commentaire dit : « non, il n’en sait plus, mais il en dit plus, autrement dit on lui en fait dire plus que ce que l’auteur y a mis
  3. Pigloo dit qu’il lit mieux « le poème en dit plus que le poète » que « le poème en sait plus.. »

Je crois que votre aphorisme disait exactement cela, mais en préférant utiliser savoir que dire.

Bon, tout ça devient abyssal et on pourrait peut-être s’arrêter là dans la décortication.

Ah, oui ! Vous souhaitez que je vous dise pourquoi j’ai contesté votre petite phrase.

Eh bien, justement pour ça, pour déclencher une discussion, faire naitre des réactions, provoquer parfois avec une logique inadaptée à la poésie, changer un peu des commentaires sibyllins, des demi-mots et sourires entendus.

Disons que j’ai partiellement réussi.

A la prochaine fois…

Dans la publication : Aphorisme

07 août 2014 - 08:23

J'ai dit:
"Par contre, parfois, le poème en dit plus que le poète, plus que le poète a voulu dire. Soit que linconscient du poète ait travaillé à la création, soit que lauditeur/lecteur y insinue ses propres idées, fantasmes ou illusions.

Vous avez répondu:
"3- Le poète ne sait de son poème que ce qu'il y a mis de façon claire, consciente, explicite. Mais le poème "sait" davantage le sens ou plutôt les sens qu'il infère (vous-même, d'ailleurs, parlez de "l'inconscient"...)
4- Le poète n'est pas propriétaire du sens de son poème: chaque lecteur (là aussi, vous l'évoquez..) peut l'entendre à sa manière et enrichir ainsi les significations de l'uvre."

Je ne vois là que deux façons différentes de dire la même chose!

Et Pigloo trouve une autre manière de dire la même chose que moi sur savoir et dire:
"c'est curieux car je lis davantage : " le poème en dit plus que celui qui l'a écrit""

Mais peu importe. Ce ne sont là que discussions raffinées.
Il y a une autre dispute que votre aphorisme à déclenché, une querelle raffinée, pleine de références, d'élégance et de courtoisie. Je l'apprécie à sa juste valeur , tout en me demandant si je n'ai pas manqué quelque chose, une finesse, un non-dit, une subtilité qui puisse expliquer sa naissance et son développement.
En effet, comment se fait-il qu'une phrase somme toute assez anodine, sans vouloir vous vexer, qui ne comporte que 8 mots et dont le sens voulu par son auteur prête aussi peu à confusion, comment se fait-il disais-je qu'une aussi petite chose, révérence gardée, ait déclenché un tel échange d'amabilités.
Vous qui êtes le déclencheur, irréfutablement involontaire, de cette volée d'élégantes apostrophes et qui en êtes l'hôte forcé du fait de l'actuelle l'inertie de la modération, pouvez vous m'en expliquer la raison?
Merci d´avance

Dans la publication : Aphorisme

07 août 2014 - 12:48

Un aphorisme n'est pas nécessairement paradoxal. Pas plus qu’un paradoxe ne constitue nécessairement un aphorisme, surtout si, comme celui-là, il est faux.

Le poème n’en sait pas plus que le poète.  Comment le pourrait-il ? C’est bien le poète qui l’a créé, non ? A moins d’avoir une vie propre après sa naissance, comment le poème pourrait-il en savoir plus que son créateur ?

Par contre, parfois, le poème en dit plus que le poète, plus que le poète a voulu dire. Soit que l’inconscient du poète ait travaillé à la création, soit que l’auditeur/lecteur y insinue ses propres idées, fantasmes ou illusions.

Il arrive aussi  que, parfois,  le poème en dise moins que le poète. Alors, on dit que le  poème est raté.