Bonjour Cyraknow,
serais-tu d'accord pour que je publie ton poème sur mon propre blog ?
Sous la signature de Cyraknow ? ou bien sous ton nom ?
Merci.
Champdefaye
29 avril 2015 - 10:31
Bonjour Cyraknow,
serais-tu d'accord pour que je publie ton poème sur mon propre blog ?
Sous la signature de Cyraknow ? ou bien sous ton nom ?
Merci.
Champdefaye
13 août 2014 - 06:44
08 août 2014 - 10:37
Vous en expliquer la raison? Non, désolé, je ne le peux... (Ce n'est pas la première ni sans doute la dernière fois que telle ou telle publication "agit" ainsi... et la quantité de mots employés dans icelle n'a que peu d'importance.)
Mais vous, de votre part, pourriez-vous m'expliquer pourquoi, dans la 1ère partie de votre précédent commentaire, vous avez contesté ma phrase anodine avant (sans vous en apercevoir, peut-être?) de vous y rallier...
D'avance, merci.
Je vois que nous ne nous comprenons pas. Il faut dire que c’est compliqué. Je vais récapituler pour tenter de comprendre moi-même
Je crois que votre aphorisme disait exactement cela, mais en préférant utiliser savoir que dire.
Bon, tout ça devient abyssal et on pourrait peut-être s’arrêter là dans la décortication.
Ah, oui ! Vous souhaitez que je vous dise pourquoi j’ai contesté votre petite phrase.
Eh bien, justement pour ça, pour déclencher une discussion, faire naitre des réactions, provoquer parfois avec une logique inadaptée à la poésie, changer un peu des commentaires sibyllins, des demi-mots et sourires entendus.
Disons que j’ai partiellement réussi.
A la prochaine fois…
07 août 2014 - 08:23
07 août 2014 - 12:48
Un aphorisme n'est pas nécessairement paradoxal. Pas plus qu’un paradoxe ne constitue nécessairement un aphorisme, surtout si, comme celui-là, il est faux.
Le poème n’en sait pas plus que le poète. Comment le pourrait-il ? C’est bien le poète qui l’a créé, non ? A moins d’avoir une vie propre après sa naissance, comment le poème pourrait-il en savoir plus que son créateur ?
Par contre, parfois, le poème en dit plus que le poète, plus que le poète a voulu dire. Soit que l’inconscient du poète ait travaillé à la création, soit que l’auditeur/lecteur y insinue ses propres idées, fantasmes ou illusions.
Il arrive aussi que, parfois, le poème en dise moins que le poète. Alors, on dit que le poème est raté.