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clemouchka

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Publications sur Toute La Poésie

Danse d'Azur Poétique Mystique

26 février 2025 - 04:40

Le soleil était clément. Des flèches d'ors traversaient le firmament. Yeux de chairs bleutés. Le soleil énonçait là, sa clairvoyance bienheureuse. Des rayons de cristal blonds et contemplatifs. La nature s'écroulait à travers des peintures. Comprimés de correspondances aux visages. Baisers brûlés de bénédictions muées, architectes éthers. L'âme du monde s’abandonnait. Sourires sécrétés, promesses aux songes vivants. Dentelles des cithares émues, flux d'éveils, conversions brûlées de délices. Capiteux murmures où fermentaient, les consciences contrites de voluptés fusionnelles. Chairs saignées…Souffler sur les théâtralités d'un univers. Beautés miraculées, perfections égorgeant les psychologistes réalités. Matière humaine, existentielle, ciguë des âmes ésotériques. Des souffles vitaux. Ruissellements. Pénétrés d'illuminations, vers les songes d'influences. Baisers. Singularisés des styles. Hémorragies plurielles. Figées. Par-delà les réalités. Baignées d'épîtres irrationalités. Personnifiant, les gloires d'une journée croulant d'aurores. Les caresses logiciennes. Ou le ciel recueillait des lampadophores jaloux. Blasphèmes divinatoires. Habillant, les croyances aux mendicités démiurgiques. Lovés de tourbillons d'informations. Nettoyages relationnels. Brisé d'imaginaire. Elaborant. Des littératures culinaires. Pâmoisons indéchiffrables. Ou le disque jaune oculiste, enfantait des connexions combinées, d'avec les semences en déconstructions pieuses. Flaques de douleurs. De la mélancolie. Angoisses d'absinthes. Affres clandestines. Résiliences brutes, baroques. Pendaisons cognitives. Ou s'élaboraient, des essences auréolées de complexités. Alcôves des torches. Souffrances d'imbuvables doxas. Cous dégringolant. Bijoux damnés. Aux vigueurs communiquant, des recherches d'expressivités, ou coulaient les proses perlées de laves cosmiques. Vendanges, aux nuits conservant les mystères ethnographiques. Langues d'aumônes laïques. Libations. Littérales. Moi, Clément, je pense que le monde est labouré de blessures, de souffrances lézardées abstraites. Je perçois les décryptages des mœurs, aux pouls intentionnels. L'esprit des hommes, sont des peaux d'absences. Transmutées. Métamorphosées. Ou sont connectées, les plantes émotionnelles du vivant. Fortunes intégrales des impuissances. Visages oniriques. Les entrailles fécondées. Spectrales lubrifications. Désirs désincarnés. Peintures. Pandiculations émerveillées. Langages fissurés. Chevelures religieuses. Souvenirs d'éternités. Jeux d'alcools accroupis. Les voyelles historiques. Le cheminement du monde. Linguistiques. Réincarnations. Forces nucléaires. Insomnies des grâces. Voyageant. Autels géographiques. Vertiges de la foi. Syncopes d'oiseaux. Spectacles. Masques cruels. Justices. Orfèvres d'océans. Prédestinations. Humeurs enivrées, des gnoses pyramidales. Identités. Classifications schizophréniques, noyées d'ailes dimensionnelles, labourant les séraphins impersonnels. S'abandonnant. Aux améthystes de la fortune. Rémissions. Résurrections. Avec les cycles, ou dévoraient les phalanges cassées. Abstinences.

Je vis des prophétismes thaumaturgiques. Lavés de nymphes noires. Je suis un homme ayant vécu des engeances crispées, des lacrymales fontaines. Mathématiques. Courbant. Les colonnes de lumières spirituelles. Exils d'orgies. Solitudes sémiotiques. Ou j'incarne les guerres, les violences d'une vérité aux Taos menstruels. Consciences dédoublées. Croyances. Fleurs des traitements infligés par la société, se contextualisant, comme quelque chose de véritablement inhumain. Je suis considéré, comme un homme aux différences, aux mortifications, ou j'incarne un monstre inconscient, au visage oublié. J'inspire aux communs des mortels, des sarcophages désinformés. Ensevelis. Dans une cervelle aux puissances et aux fragilités interprétées, comme étant la propriété d'un monstre impurifié. Citadelles païennes, religieuses. Evanouissements indiscrets. Péchés inviolés. Des silences de possessivités stimulant, le désir de détruire ma vie. Sortilèges démoniaques. Je symbolise une beauté de l'âme nouvelle et profondément incomprise, méconnue. Des incompréhensions. Pendentifs neurologiques. Mes carcasses originelles. Mes synapses d'hosannas biologiques. Araignées tendues. Sociologiques. Lavées d'observations, ou j'existe à travers des chimères autistiques. Aux brasiers de statues embrassant les haines, les jalousies. De vouloir me contrôler, m'embraser, dans des vins soufflés d'extases, de me voir pleurer, dans ce bas monde. Fissurés. Endoloris. Continués. Comme si, j'incarnais une sculpture vomie, trahie, volée, démoniaque. Avec des poings d'anges d'équilibres. Frissons palpitants. Liqueurs des voyances. Traînée de rires. Ou, j'ai été la risée du monde. Dans un univers discret. Apostolats à genoux. Edifices, des ricanements temporels. Des pudiques contraceptifs ! Rigueurs crasseuses. Ployantes. Poétisées. Bégaiements enceintes. Des absences d'impiétés. Sous des lampes de paroles. Libérant. Les études. Complaintes. Séminaires d'olfactions. Effroyablement lascifs. Pudeurs élastiques. Des lyres accrochées d'hirondelles. Poignets des printemps. Envol. Des papyrus, aux sphères cartésiennes. Ou, je suis comme sacré dans des traitements athées. Incomplets. Aux ramifications tendues, comme les tentateurs, aux dédains apostasié. Flocons de délires. Sagesses. Entrelacements, des hontes crucifiant, les rouges regards. Ramassés, les prostitutions. Crânes libertés. Mouvements intérieurs. Calculant, les pieds aux réverbérations irrationnelles. Eduquant, les papillons génocidaires. Gethsémani stoïques. Les ronflements, essuyant, des citrons modestes. Tannés d'anachorètes à prédicats. Je puise en moi, des colonnes d'astres mystiques. Tapissées de douleurs. Comblant mes alvéoles démentielles. Embrassant, les libellules aux gesticulations feux. Transports. Mignardises. Des faïences d'hormones. Des méditations suaves, délicates. Zéphyrs. Aux souliers tièdes. Ou, je suis un supplice. Perfections de cercueils fortement déficitaires, ravaudés. Théodicées, par-delà les nénuphars. Aux anus. Hybrides. Libertés précieuses. Mirages tendancieux, républicains. Assoiffés d'éclairs contingents. Confitures inconscientes. Fraîcheurs bohémiennes. Choqués. Des borborygmes. Déshabillés. Traversés. D'éclatements hideux. Délices vieux. Pantins d'orgues fatigués. Ou raclent. Les tableaux ou tournoient les sombres cimetières aux forêts capricieuses. Là, ou s'ébat les violettes pralines. Orgueils gros. Des vertèbres, ou rougissent les colombes aux crispations effacées, omniprésentes...

Je crée des beautés tapageuses, scandaleuses. Proches des lustres, ou s'abreuvent les réflexivités religieuses, les licornes. Pendules peignés. Pâles catastrophes. Lèvres d'absences. Ou meurent. Les petits airs charmés d'immenses tilleuls. Gonflés de prosodies. Ou les fleurs, aux regards des Libertés quantiques, recherchent. Des orgies mythologiques. Plantées d'hallucinations. Effaçant. les feux épouvantables. Sous des nappes damassées. Ou dorment les étoiles, aux richesses jugeant, les hallalis. Choyant. Sous des flots. Qui impliquent, situent, des grands voiles bercé de louanges. Mollesses des roseaux infertilisés. Tombés d'anges. Aux zéphyrs difficiles. Des miettes étranglées. Plaintes. Désastres des genoux. Drainant. Des tisons de chastetés. Je suis envahis de châtiments, aux longs chapelets ou s'emportaient, les chiffres bouffis d'arcs-en-ciels. Présences. Aliénations. Rondeurs, des voyous qui tournent, avec des fièvres aux lambris d'ors. Drôleries. Aux sillons hébétés. Funérailles flambeaux. Qui disgracient, les paons remplissant, mes solitudes aux mélanges dégoûtant. Racontant, les terribles espoirs, qui dérobent, les convictions des autres aux donjons, aux châteaux accrus de criminalités. Là ou s'assimilent, les requêtes à baïonnettes. Annulant. Les bourgeoisies de la pensée houleuse. Comme des pics de fers. Ouvrant, chancelant, les citoyennetés forgeant les simultanéités du matin. Domptant, les marteaux augustes. Matérialisant, les Devoirs ou ploient, les vengeances d'une différence, la mienne, fusillant les foyers secoués de tendresses renfermées. Fauves arbres roux. Transfixant. Les joyaux purs. Avec des cœurs striés. Des complaintes créationnistes. Ou la société m'a promené, éconduis, dans des splendeurs d'horizons. Véhiculant, des longues ipséités. Aux doigts égratignés, des troubadours sculptant les fouillis. Les bohémiennes réalités. Egrenant, des persiflages giflant les roulis des barcarolles. Naufrages mathématiques. Face aux filtres chétifs d'hydres amoureuses. Car j'inspire, des fascinations télépathes cerclées de psychoses. Frappés de rumeurs, aux prunelles accrochant les bioéthiques diasporas. Jeunesses filmant des cynismes. Aux dérèglements romantiques. Palpant, les harmonies démiurgiques. Des locomotions détruisant. Des douleurs ou je suis boiteux, borgne. Avec des animismes, aux larges bavures d'impuissances. Aux boulevards ou s'irradient, les hagards et drôles cataplasmes descendus. Stupides puanteurs. Ou la société perdue, rachitique, lavée de turpitudes infâmes. Ressemblant, à des incendies polythéistes. Sublimés. Car le monde est électrifié. Avec des lupanars. Aux superbes nausées. Avenirs, aux pressentiments sacrant, les jaunes lunes vomissant. Des chasseurs de nectaires, qui emprisonnés, de révoltes désenivrées. Déhalées. Dévoilant, les amulettes aux désirs, de me mordre les neurones. Sidérales fiertés, des cantiques. Des tiédeurs. Collectionnant. Les missels des langues. Bénitiers fonctionnels. Proses des ménestrels adorant les myosotis. Sanguinolents. Enflés. Botaniques, ingurgitant, des lianes relationnelles. Aux chandelles évoquant, les arrogances de pampas. Récoltes des strophes de lichens. Qui poussent, les arborescences aux millions d'indulgences. Battant. Les électriques sueurs. Les pleureurs d'Oliviers implorant. Les essaims strangulés d'indistinctions. Avec des sifflements métalinguistes. Astéroïdes. S'égarant d'estropies. Pèlerinages Justes. Sous les agapes. Des charités aux formes d'impermanences. Obsessionnelles. Les gangrènes d'églises immobiles. Mausolées, ou se retournent les terminaisons surhumaines. Rémittences scientifiques. Choisissant, les Cités livrés, aux méchants glucoses. Armées d'amygdales oubliées. Petits écureuils, soignant les belligérances. Intronisant. Mes baroques et tragiques babillages. Deuils des péninsules. Rutilances d'éclairs. Pareilles. Aux glauques inerties. Applications futures. Mémoires des jacinthes. Aux entorses des chaleurs nécessaires. Des défenses d'affectations Evangéliques. Consumant, par les charpentes de l'aube. Toiles d'albatros. Laboratoires. Fresques fatalistes. Innocences physiques. Des lanternes de bûchers parasitaires. Manifestations. Divagations modernistes. Assassins comiques. Les serpents invisibles. Les couleurs. Transcendantales. Rédemptions cliniques. Religieuses... !

 

                                                                                **************

 

« Des poings d'aurores ramifiés de chairs brûlés d'inquiétudes édifiant les contritions des yeux mentaux »

« Perlés d'azurs jetés de sortilèges ou dansaient les multitudes d'évolutions, en recueillements étoilés d'onirismes »

« Qui croulaient sous des squelettes ivres de monstruosités aux fresques d'ailes, des séraphins contrits »

« Sous des murmures de statues aux puissances ou dansaient les trouées d'abymes colossales, des cristaux »

« Chassés par les parfums d'aumônes ou siégeaient les encres d'intérieurs littérales, sous des brûlures d'alcôves »

« Aux phalanges d'améthystes nerveuses, hystériques, louant les frissons accroupis de transmissions »

« Escaladant les nuits d'étés croulant, sous des nudités de spectres saignés de pierreries tombant d'inconnues »

« Cicatrices, ou ondoyaient, palpitaient, les flots nacrés d'identités dialectiques, ou respiraient les végétations »

« Etranglées de visions ou crevait le firmament supplicié, des tabernacles jaloux, versant des cueillaisons »

« Constellées de fantômes hideux, affreux, avec des orchestrations blasphématoires riant, sous les étoiles »

« Strangulées d'abstractions aux parfums d'autodafés complexes, mathématiques, ô cathédrales aux obscurs »

« Dialectiques, des essaims de papillons hurlant comme des métempsycoses de cygnes existentiels »

« Aux clartés ou jaillissaient des pilastres créationnistes, couvant les pâmoisons transformées, des fresques géantes »

« Avec des insomnies d'archanges tournoyant sous des symétriques réalités, aux difformes voluptés contemplant »

« Les libertés des pleurs lavés, réfléchis, des vertèbres s'évanouissant sous les degrés des onirismes évaluant »

« Des cataractes morcelées d'étranges déterminismes d'idoles, aux fatalités des mausolées élastiques »

« Là ou les archipels tronqués de sépultures déchirant les olfactions primales, des flaques d'éthers voilés »

« Vers les stagnations, les croupissements d'orfèvres pendant comme des pendentifs de clairvoyances »

« Qui déstructuraient, les continuités des présages semant des forêts d'aurores, ou riaient les lyres d'abstinences »

« Démarrées de méchancetés de feuillages, d'arborescences végétatives, vers les libations ou germaient »

« Les fuyantes saisons aux moissons de fragrances ressuscitées, à travers des augustes différences de cécités »

« Qui pleuraient, des chastes hymnes immaculées ou se confondaient les colombes aux souffles invisibles »

« Là ou les licornes jouaient avec les rayons d'extases aveuglant les parchemins d'auréoles, aux innombrables »

« Charmes, là ou les pénétrations des méditations aux clystères matriciels, proféraient des candeurs ineffables »

« Aux informations déstructurant les innocences ou flottaient les pachydermes esthétiques, aux luttes religieuses »

« Qui préfiguraient, articulaient, libéraient, des épanouissements d'éclatements, de transfigurations »

«Ou flambaient les millions d'yeux chimériques, avec des langages aux consciences des flèches »

« Des soubassements, d'infrastructures, d'articulations aux rémissions de citadelles organiques, défenses »

« Des puits de chrysalides incontinente, avec des abeilles forgées d'ouragans sémiotiques, vidés d'influx »

« Paradoxaux, sous des gouttes d'inconsciences infâmes aux araignées tordues, cruelles, pleines de liquides »

« Avec des déplacements ensanglantant les troubadours aux prunelles évanouies, qui enfantaient des charmes »

« D'obsessions privatisées de solitudes aux carcasses de mendicités battant, les convulsions des suicides »

« D'oracles vomissant des pendentifs aux pouvoirs personnifiant les pendules, gisant comme des symboles »

« Qui analysaient, les possessions d'ipséités courbant les chaînes existentielles, des pôles d'immanences noires »

« Discrétionnaires, sous des farouches et âcres amulettes s'éclipsant sous des volitions de chandeliers »

« Aux connivences épileptiques, des réalités de linceuls débiles, mathématiques, dérégulés de citrons »

« Criminels, avec des artefacts d'encensoirs à genoux devant, les univers de troglodytes foudres d'intuitions « 

« Qui transmuaient, échographiaient, les crânes gorgés de prothèses d'alcools intégrant, les réciprocités »

« Des polyglottes ivrognes tragiques, sculptés de dédoublements des Grâces, des métamorphoses immortelles »

« Cognitivismes dogmes, éthiques, prédicats, des pulsions théogoniques, aux spasmes irréguliers, prosaïques »

« O valeurs proxénètes des démences de volcans aux stigmates foudroyés, des ascèses d'infortunes »

« Habillées, de désespoirs fermentés de vignes discontinues, providentielles, vers les comètes inégalées »

« Vers les pandiculations des fixations de luths ou s'associaient les choeurs, aux mélanges de paupières »

« Qui vendaient des couleuvres dardées de sarcophages, ou cheminaient les crinières d'arcs-en-ciels »

« Enamourés, de flambeaux travestit par les pulsations égologiques, des âmes par myriades ignorées »

« Des peuplements de bruyères confuses, des flacons trahissant les ciboires, aux connaissances aveuglées »

« Par les décrépitudes des écumes meurtrissant les lampadophores aux colères inouïes, des voluptés »

« Labourant les violons transis de gazouillements, ou les traitements expressionnistes des vins transcendant »

« Qui puisaient, des botaniques physionomistes, les lambeaux électriques, des souvenirs de vertèbres »

« Aux torches en jachères de prévoyances ruisselant, des traductions digitales, des étincelles »

« Incarnant les nymphes aux signatures d'empyrées chargés, de cartésianismes aux orgies de larrons »

« Qui luttaient comme des gladiateurs aux mâchoires châtiées de gémonies temporelles, vers les pensées »

« Qui nourrissaient, des importations de miroirs apostasiant, les gestations des théodicées organiques »

« O les glaives visibles d'hosannas éclipsés de hasards infidèles, mécréants, des cerveaux mêlés de présences »

« Aux mûres divisions écologiques des monastères capitalistes excusés, des verticalités métaphysiques »

« Qui dénombraient des capiteuses hécatombes, aux mains des préservatifs, immobiles, peignés »

« De sacrifices d'harmonies transmués de cigales aux diadèmes télépathes, des élixirs aux architectures »

« Assises, qui saignaient des diamants occultes, des vanités aux pampres infinis, orthodoxes, des bacchantes »

« Qui pleuvaient des témoignages aux visages de paladins hallucinés, harcelés des photographiques »

« Poignards des syntagmes crucifiant les libellules en vieillissements tombés d'astrologiques, couchants vers... »

Insomnie des Grâces Poétiques !

07 janvier 2025 - 09:54

« Le soleil saisissant les forces extrêmes des ombres effarées, morphologiques, démesurées »

« Riaient, sous les nuits éternelles ou tombaient les plumes foudroyées de silences, ouvrant la bouche »

« Sous des cristaux d'azur, qui pleuvaient des empreintes à la face spectrale, clairsemées d'alcôves noires »

« Sous les nuits hurlant les poings tendus vers les cieux, les abymes aux murmures des chairs »

« Là, ou se réjouissaient, les végétations insomniaques, qui tremblaient sous des peintures aux immenses horreurs »

« Brillaient, étincelaient, sous des astres d'yeux visionnaires, communicant les pétales des séraphins »

« Ou, les damnations des trouées de lumières cryptiques, pleuraient sous les danses d'alcools profonds »

« Là, ou les phalanges aux clartés des firmaments tremblaient, sous des crimes nus, sinistres, abandonnant »

« Les présences épouvantées des paupières croulant avec des songes effrayants, aux mains harcelant les miroirs »

« Aux grands squelettes criminels transmettant, les vierges désirs des tableaux crépusculaires, des ivresses »

« De licornes aux pieds chaotiques, envahissant, les complexions logiques des cimes jetées, des clairvoyances »

« En des monstruosités hideuses, faméliques, disproportionnées, s'écroulant sous les sarcophages athées »

« Des roseaux de ténèbres fixant les comètes aux visages lavant les éthers aux rayonnements, des roues du karma ascensionnel »

«Associatif, des brouillards d'importations aux sanglots submergés d'informations gonflées, des hilarités fantomatiques »

« Des mécanismes ou disparaissaient les anges, aux degrés de flacons cosmiques, éprouvant, les lèvres amoureuses »

« Des oiseaux croupissant, s'agenouillant, devant les chaos vidés d'opéras neurologiques, aux filtrations »

« Qui mouillaient des cloaques aux chandeliers d'astres, qui pendaient, sous les crépusculaires ouragans chosifiés »

« Ou s'envolaient, les monts fendus d'infinis hurlements lugubres, renversés de noirs tourbillons »

« Aux gouffres des synapses morcelées, des tableaux courbant, éperdus, avec des flèches suppliant, les silences »

« Qui crachaient des démences d'éclipses forcenées, agressives, aux vols d'aquilons pleins de superbes religiosités »

« Des contritions, qui soufflaient des amygdales esthétiques suprêmes, aux lampadophores rampant, grimpant »

« Sous des crânes de voyances flamboyantes, des glaives d'agonies rouges, muets, dépassés, sous des logiques »

« Qui transmettaient, des exhalaisons de laves temporelles, avec des préciosités d'unités éperdues, symétriques »

« Qui resplendissaient, sous les prunelles aux puits de papillons linguistiques, aux antres noires défigurées »

« Aux limites des temps inconnus, qui généraient des torches d'esclavages atteints, des cécités migratoires »

« Aux chants, aux symphonies des fauves infortunés, qui stimulaient des archers d'abstractions identitaires, panthéistiques »

« Qui subissaient, de basses idolâtries gorgés de fatalités dialectiques, sous les pendules hideux, des torves »

« Déséquilibres, qui innervaient, engendraient, des purs rayons mêlés d'incontinences, des désastres faméliques »

« Avec des projections luxuriantes, des souffles génocidaires fabricant, des tombeaux d'ignorances trahies »

« Sous les masques d'intuitions remplis de serpents noyés, à travers des pendentifs cognitifs, les horizons difformes »

« Qui propulsaient des éclatements de sarcophages génétiques, aux torpides transformations, des lunes évanouies »

« Aux prostitutions des sanglots ployant, sous les tabernacles insondables, formidables, avec des signatures »

«  D'abeilles, qui divergeaient sous des influx territoriaux, des forêts interdites, sous des déluges invisibles »

« Aux ossements d'horizons couvant, les décombres des montagnes d'apparitions pâles, des liquides entropiques, pleins »

«  Des fœtus sentimentaux, avec des impuissances traînant les martyrs échevelés, épileptiques, aux fantasmes »

«  Des hydres abreuvées d'univers statiques, fermentés d'aurores mathématiques, des contemplations étranglées »

« Des pierres vivantes, euthanasiant les démences, aux synergies esthétiques, avec des prosternations cycliques »

« Qui affluaient, sous des pulsations domptant les éthiques cités transfigurant, les organismes d'incendies nus »

« Des cyclopes insensés perclus d'avalanches égologiques, volant les roux corbeaux aux dissymétries organiques »

« Des chars de cercueils, ou les macchabées aux guenilles d'infections irrationnelles, labourant des tarentules »

« Aux rameaux écrasés d'immondes poisons emprisonnant, les parchemins saignés, des dédains associatifs »

« Aux fronts bleus, qui versaient sous les cruels ulcères dehors, des métabolismes lapidés des linceuls »

« Echographiques, avec des cicatrices bénissant les fruits métaphysiques, des tortures d'arborescences »

«  Qui puaient, des blondeurs aux chevelures d'arborescences divinatoires, sous des glauques irréalités centrifuges »

« Aux cerveaux difformes, chimériques, décantant les matières vulnérables, des tribulations de genoux »

« Qui dévisageaient, les sinistres doigts en traitements de minéraux ensanglantant, les fémurs grondants »

« Sous les prophétismes sarclés de gestations, qui enfantaient les brasiers acoustiques dévorant, les vents démiurgiques »

« Aux dédales ployant sous les persistances de pachydermes hypothétiques, aux surnaturelles adhérences compensatoires» 

« Des citrons d'aumônes perfectibles, inavouées, vers les consciences hiérarchisant, les essaims de libellules athées »

« Des signes inhumant, haranguant, expulsant, les troubadours d'aubes primales, des vieillesses d'auréoles stylistiques »

« Qui stipulaient, les maléfices orthopédiques, des diapasons de momies soûles des prêtrises, proscrivant des conversions à mantra synergiques d'oppositions »

« Les jugements fossiles, des balançoires photographiques, des autodafés plastiques, sceptiques, relationnelles réciprocités des Jugements orthopédiques par choix, négatités d'ensemble gnostiques, des prières vitalistes humiliées »

« Avec des amulettes impies, mécréantes, versant vers les décompositions des blasphèmes d'ablutions numériques »

« Déterministes, des chaînes meurtrissant les myrrhes des paroles crispant, les occultes diasporas asymptotiques »

« Aux positionnements, des religions sémantiques, des ciguës humaines, rédemptrices, ô fatalités des genres hypostasiés »

« Des recherches impénétrables, des mages ancrés de fixations comptabilisant, les orthodoxies païennes d'identités »

« Des gibets se dédoublant devant les discriminations infernales, des sémiotiques maugréant les améthystes des douleurs »

« Des numérologiques inflorescences, aux hyménées d'éveils les faucilles continuistes, les peuplements de lys gnostiques inconciliables »

« Les diadèmes privatifs, les pilastres d'anathèmes sociologiques, qui catalysent les pores des bois physiques indémontrables »

« Vers les labyrinthes meurtrissant les nénuphars exempts d'orgueils boursouflés, des anachorètes intellections »

« O étrangetés des sibylles d'hivers dépeuplées, des statues de vignes vendant, les régulations zébrées à imagos imaginaires »

« Des châtiments ou tournoient les pierreries inachevées, vers les poignets littéraires, ô sacrifices des actualités à intentionnels ravissements sublimatoires »

« Qui parachèvent, les incarnations préjudiciables, pré-ontologiques, des présidences inviolées sous les crucifixions, des grâces cellulaires »

« Qui quantifient, évaluent, les sécrétions des carnages personnifiant, les corporéités blessées, des jeux implacables phonologiques »

« O les commisérations taillées de nœuds originels, des fleurs discontinues, des sépultures propitiatoires, maculées de saintetés alimentaires »

« Qui transcendent, les refuges dévoyés des liqueurs orphelines, des pathologies ressuscitées, des pharmacologies d'irrésiliences potentialisées, des névroses d'accouplements, Logos inaliénables, paradoxes »

« Avec, des différences d'impulsions sous les potences fumantes, dégringolant, les féroces équilibres noétiques, des âmes disloquées, contre-productives d'oméga Dionysien »

« Des pardons zététiciens, vers les orgies magnétiques, des boucles en recueillements, des vertèbres conspuées par projections quantiques »

« D'où jaillissent, les dégénérescences pestilentielles, voltaïques, hybridées, des promontoires hormonaux enivrés d'acculturations émotionnelles, transitives, en reflets fusionnels émancipés, congruences des onirismes domestiques, démographiques, à-soi »

« Des cliniques sarments théologiques, vers les lointaines reconductions des nymphes vectorielles, des chrysalides de gloires polythéistes »

« La, ou les violons dévorent les opprimés humanoïdes, extensionnistes, des conductions de tonnerres adverbiaux, qui accablent les dépersonnalisations des Penseurs à ecchymoses transsubstantielles, aux doxas des copules perpétuelles par physionomies intégristes, les influx musiciens ô prédestinations des grappes d'amitiés endorphines"

« Les écoulements illimités, des pesanteurs d'innocences, qui s'orchestrent sous les impondérables déséquilibres »

« Des gestations, des fidélités providentielles des printemps ou aboient les Géhennes agricoles, iconoclastes, des lâchetés avec des processus d'épithalames » 

« Qui déjètent, des fibres de méditations aux croyances médicinales modélisées, des Libertés d'entrailles giflant »

« Les sondeurs économiques, des thermostats comportementaux idéels, des réglementations remuant, les crampes indivisibles des censures à créatures d'esprits nosocomiaux »

« Des vespérales incomplétudes capitalistes, qui convergent vers les décharnements vulnérables, des équités prodigieuses, des égarements phlogistiques astrologiques »

« O impitoyables résistances des hylés grammaticales inverties, des hypocrisies Babyloniennes, qui prêchent les attouchements dogmatiques, des chlorophylles muées d'homogénéités sacrifiées »

« Des témoignages informatiques, des tiédeurs d'araignées broyant, bouffant, les Styx d'exterminations égouttant »

« Les nourritures traîtrises et atomistes, des radiations en toilettes ou les phares fétichistes, bénissent les clystères d'océans irisant les écumes schizophréniques des faiblesses décapitées, ô asiles picturaux, ô préservatifs conjugaux des rossignols anthropiques, coulés de divinités extra-pyramidales vers les osmoses psychologistes qui interpénètrent les vins aveuglés par les Evangiles surréalistes, engrammes syntagmes des valeurs acosmiques tribales  »

« Les condamnations d'un Léviathan consanguins, vers les chevaux d'ipséités élastiques,ek-statiques mégalomanies des neurones d'études anagogiques, ô exégèses des salubrités publiques, inventées, protoplasmes insuffisances des germes historiaux, ô délires de plantes aux transfusions de cygnes exploratoires »

« Des dômes divins, qui véhiculent les créationnistes agnostismes, par-delà les affres classifiant les vœux biologiques aux hasards Messianiques, qui accrochent les cèpes animistes »

« O Délivrances, des roulements brûlés de fièvres comestibles... »

 

 

Degré poétique infini de la métaphore organique ou pleurent les éthers religieux.

17 août 2024 - 11:10

Des licornes de feux pleurent des cristaux d'azurs ou dansent les peintures religieuses des brasiers cosmiques

Des fourmis crachées de silences éternels, inondent des vierges roseaux criblés de chairs mentales

Des astres perclus de parfums aux langues pénétrées d'ivresses associatives, brûlent des désirs mystiques

Aux signaux contrits, mués par des cathédrales d'aumônes lavées, de nourritures spirituelles

Qui parcheminent des sortilèges cicatriciels, des firmaments ésotériques, qui croulent sous des songes

Aux lèvres mentales, qui infusent, des comètes chirurgicales, avec des réflexivités d'abeilles

Qui innervent, fusionnent, des balançoires intérieures, sous des citadelles sémiotiques, qui hurlent

Des enfantements littérales obscurs, avec des torches bénissant, les anathèmes de gloires

Aux parchemins buvant des illuminations astrologiques, ou les damnations plurielles des araignées épileptiques

Défendent, des grâces bouffées de squelettes d'hydres, singularisant les équilibres plastiques, des entendements

Aux murmures des chimères s'écroulant, en des tombeaux existentiels, craquelés, des décompositions lacrymales

Des déhiscences artistiques qui tremblent sous les abysses des splendeurs d'alcôves cryptiques, lâchées

De circulations ontologiques, des chastetés d'alcools invisibles, sous des voluptés de séraphins mouillés

Sous les nuits d'étés, qui labourent des démences aux discernements bavant, des pétales existentiels

Là ou oscillent les organismes intuitifs, des mendicités d'abstractions déchirant, les chevelures imaginaires

Avec des lumières orthodoxes qui filtrent, intègrent, des libertés de continences biologiques

Les grappes absurdes des éveils tombés, sous les travestissements des impuissances oniriques, qui enfantent

Fécondent, des glissements d'ignorances, aux complexions des baisers de déportations logiques

Des colonnes analytiques, qui gravitent, autour des gouttelettes qui éduquent, des chandeliers « différantiels »

Avec des anatomiques trahisons des vibrisses blessées, sous des cultuels osselets, des paradigmes d'oiseaux

Grouillant, avec des fétichismes d'indifférences, qui déplacent des cascades vertueuses, aux présages

Des méditations aristocrates, sous des invisibles psychologismes, qui tordent, des émotions tournoyant

Comme des blessures empourprées, paralytiques, symptomatiques, des plaidoyers linguistiques

Des crépuscules révélateurs, des âmes modélisées, par les papillons veinés de soleils tribales, qui convertissent

Les déficits temporels, des paupières de gloires dispersées, chamarrés d'insomnies providentielles, aux sculptures

Des fièvres mathématiques, qui bouleversent les pyramidales théodicées, des étranglements objectifs

Noyées, par les mécanismes incorporels des échanges, des relations conjugales, aux sanglots des connaissances

Qui divergent d'impossibles ramifications au-delà, des cultures nihilistes, qui dissocient, les pierreries

Imperceptibles, des jaillissements d'éthers aux écritures talmudiques, des amulettes en toilettes abreuvées

Des démagogiques communautés, des encres d'apparitions fustigeant, les oracles roués de tabernacles infinis

Des méandres, des labyrinthes structurales, avec des flaques symétriques, qui dégoisent, des confitures

Crispant, les gestations des phalanges, semblables aux mosaïques perlées de fruits miraculeux, qui néantisent

Les achalandages mythologiques, des battements de visions, aux sémiologiques réalités, des néologismes

Combinatoires, des pouls théâtraux, qui convergent, vers les agenouillements, des jeux hyperboliques

Témoignant, les forces des visages pourprés d'effondrements identitaires, avec des giclées douloureuses

Condamnatrices, des vespérales nudités, des végétations inconnues, taxées par les défenses des dynamiques

Qui engendrent, les ipséités des aurores gonflés d'infortunes systémiques, aux artefacts sacrificiels

Qui synthétisent, les bouleversements logarithmiques, des anges morcelés d'essences éthiques, des rigueurs

Aux voyelles inarticulées, les flacons d'exils naturalistes, qui évoquent des rapprochements déloyaux

Là ou se prostituent, les hiboux aux précisions muettes, inaudibles, aux degrés d'avalanches, des citrons

Indéfinissables, avec des symphonies espiègles, aux sanglots d'émerveillements contemplant, les sirènes

Vierges, des creusets aux roulements synaptiques, des péchés morphologiques, des corps confrontés

Aux laves génétiques, des misanthropies électriques, qui infantilisent, les objectités puants, des charognes

Déliquescentes, des cécités imaginaires, qui opèrent des génuflexions sentimentales, des connexions jalouses

Avec, les règles embrassant les intimidations effroyables, des esprits irisés de rosées prophétiques, qui jouent

Sous les introversions des musées échographiques, des lavandes délirantes, endiguant, les papyrus progressifs

D'extractions sociologiques, des croyances perfectibles, évolutives, des faisceaux baignant, les homogénéités

Des fusées d'affectations télépathes, qui calculent les aurores de chrysanthèmes ourlant, des abnégations

De chaines aux recueillements topologiques, des viscosités par-delà les taxations séductrices, des mains

Qui professent les idées numériques, des univers jonglant, avec les diamants cérébraux, des dédoublements

Des archéologiques signatures, qui libèrent les zéphyrs aux sources folles, frangées de tonnerres perpétuels

Qui ajournent, les fructueuses reproductions a-perceptives, des vignes hypothétiques, aux relations stoïques

Des zététismes rongeant, mordillant, des nourritures aux traces acoustiques, par les situationnismes

Des calamités de loups garou aux rouages élastiques, qui distordent, des cycles de cigales déterministes

Là ou les potences immaculées, asymptotiques, révèlent les extractions illimitées, des souvenirs vibratoires

Avec des minéraux, aux fortunes musiciennes, qui dégorgent les handicaps propitiatoires, des quanta

Aux matières d'appartenances des nixes vaniteuses, gorgées de cadavres linguistiques, des projections

De fermentations rompant, avec les étés consubstantiels, des oraisons de compassions, ou les toiles d'influences

Asymétriques, se suicident, en des voyages de néantités, qui appareillent les liqueurs ethniques, des comas

D'infatuations, aux désintéressements, des mausolées aristocrates, avec les multiplications christiques, des pains

Aux reconversions agnostiques, des horloges épistémologiques, qui labourent, des recherches d'anachorètes

Suspendus, sous les amygdales des mensonges d'apostolats quantiques, des bleues photographies, des grimoires

Qui émerveillent, d'incompréhensibles calligraphies, des formules dyslexiques, aux reflux hybrides des pachydermes

Au-delà des décortications académiques, des dramaturgies violentées, par les polyglottes réalités, doxas

Des éléments d'épochés événementiels, contigües, des hasards de la résistance, des interprétations oncologies

Des créationnismes, qui psychanalysent, les investitures théologiques, des médiums destructeurs d'énergies

Centrifuges, des habillements inhibiteurs, des miracles brisant les géométrisations digressives, des dons

Aux dérèglements d'inventions totémiques, sous les automnes ensanglantés, d'arborescences ovulatoires

Qui engendrent, les révolutions des ventilations de violoncelles gnostiques, sous les indigences virtuelles

Des climatisations philosophales, des rivières proxénètes, vendeuses des déconstructions, des chrysalides

Des automatismes mythiques, d'obéissances qui transvasent, les zéros d'intrications, des bouteilles d'aubépines

Qui magnétisent les possibilités, des pachydermes anorexiques, aux maturations saignées, par les améthystes

Praticiennes, des moutonnements sacrés, transfixant, les métabolismes aux regards flamboyants

Comme des respirations intériorisant, les affluences des céphalées migratoires, aux dimanches mûrs

Des apprentissages de sillons isolant les maïeutiques, des élections catatoniques, aux labeurs vivaces

Des enzymes ennemis, qui jaugent, évaluent, les probabilités hiérarchiques, des essences primales

Qui nidifient, les voyages antinomiques des cerveaux, aux décadences conflictuelles, des naturalistes microscopes

Aux troubadours d'éclipses, qui définissent les défigurations communistes, des automatismes jugulant

Les pronostics des fronts républicains, des intellections engageant, les imagos scientifiques, des pendules

Aux sensitivités Baudelairiennes, les synthétisations louvoyant, les paradoxes des lilas cachés, des aristoloches

En dépendances définitives, des conservatismes éthologiques, qui coupent les Talmudiques réciprocités

Des hésitations hallucinées, les persécutions synergiques, les violences aux fibrilles jumelles, aux introspections

Des alvéoles qui plantent, des locomotions pantelantes, des pointillismes difficiles, des flétrissures de dauphins

En dryades usurpées, comestibles, qui occasionnent les totalités meurtrières, des traductions Hégéliennes

Qui classifient les évanescences, des privatisations des hontes occidentales, des écumes les karmas, des cellules

Qui épousent, indivisent, les nationalités continuistes, des inaugurations matricielles, des voiles parisiens

O Darwinismes orthographiques, grammatologiques, des infrastructures burlesques, aux embryons transcendantaux

Des discursivités, qui édifient, les désagrégations de pâtisseries actuelles, des miroirs transmutés de présences

Des préoccupations ontologiques, qui traversent les bolides nus, aux lampadophores, des consciences ô hasards

Des opéras ou s'opèrent, se sédimentent, les poignards physicalistes, des cohabitations ou prient

Les prêtres aux paroles informatiques, qui éprouvent les anthropomorphismes irrationnels, des sanglots macroscopiques

O bijoux rythmiques ou se liquéfient, les espaces surréalistes, des nuages d'endorphines concentriques

Là, ou les hémorragies participatives, des assoupissements de lunes inconscientes, entassent les animaux

De Dieu, qui mortifient les païens, aux ventres propédeutiques, des cadenas permissifs, providentiels

Qui administrent, les ciboires scientistes, des alimentations thymiques, aux températures d'aliénations

Qui guident, conduisent, protègent, les invariances téléguidées, par les intimidations d'hosties, ou

Les déités trichent avec les pitances divines, des ecclésiastiques mémorisations, des raisins d'abstention

O études aux terminaisons, qui poétisent, les inventions des disgrâces à locomotions, des égologies de ménestrels

D'autodafés désolés, des verticalités d'ambroisies immatérielles, ô excellences, des ongles portatifs

O cosmétiques des préservatifs, aux apartheids sémantiques, des gifles d'adieux éternels... .

 

 

Prière Mystique Poétique

28 juillet 2024 - 12:10

Seigneur !
Que les larmes de tes créatures brillent sous des chandeliers de gloire, ou s'infuse ton esprit d'émerveillement
Qui communiquent des puits infinis de contritions vierges, aux habillements de louanges
Ou les anges prient des chairs de lumières, pénétrées d'aurores mystiques, avec des lèvres buvant
Les parfums ou pleurent les firmaments enfantant, des colombes pénétrées par les visages d'azur impalpables
Brisés de continences, ou s'écroulent les papillons vierges, aux voluptés mûres, des scintillations célestes
Qui dansent, à travers les nudités cosmiques, de tes phalanges aux ravissements d'innocences, Baisant
Les cœurs suppliciés, sous des visages éphémères, s'évanouissant par-delà les forêts mentales, de tes enfants
Aux soupirs tendus, comme des murmures aux racines guérissant par la grâce, la puissance du Dieu
Ou s'agrippent, les zéphyrs invisibles, se recueillant, avec des singularités symphoniques, qui enfantent
Les mélancolies éternelles des printemps ressuscités, aux ondes mystérieuses qui butinent, les tendresses
De tes caresses fécondes, de tes regards éthérés, ou se déploient les alcools existentiels, aux natures espiègles
Chamarrées, par les voûtes célestes aux paysages constellés, par les contemplations imparfaites
De tes silences déployés, de tes imperceptibles enchantements, aux brises matinales, qui infusent
Des élastiques inconsolables, là ou la sève de la vie aux sourires indéchiffrables, fantasmagoriques
Aux cicatrices des éveils communiant des déferlements, des sillons voleurs d'étincelles, s'agenouillant
A travers des stigmates ensemencés de fragilités, ou sifflent les parchemins fragiles, de tes fondements
Aux nourritures prophétisant des béatitudes, qui sèment des étoiles, ou jaillissent, les ailes immobiles
De tes océans, ou s'égrènent les connaissances, les chimères aux pénétrations consumées, par les insaisissables
Formes irradiant, des apparitions d'extases aux flammes de ton  verbe irrationnel, métaphysique
Aux transformations, de tes abondances aux puissances, ou se déchaînent les tabernacles perlés
De tes nuits ineffables, avec des pyramidales réalités, ou se complexent des corporéités, de tes naissances
Qui bouleversent, les croyances infusées des dérélictions jalouses, sous des torches inconsolables
Des fontaines muées d'énergies intérieures, d'obsessionnelles sécrétions exquises, des fleurs
Sublimes, dardées, de résiliences aux chants de végétations présences, des statues tentatrices
Des fronts de différences qui trouent, transvasent, liquéfient, des genoux incantatoires
Aux énigmes cryptiques, qui modélisent les avortements d'incandescences, morcelées d'apparitions
Ou se filtrent, les harmonicas narcissiques, de tes délectations fissurées, d'aumônes oratoires
Avec des signatures couvant les guirlandes empourprées, rouges, des symboles oniriques
D'exubérances, qui opèrent des miracles intimes, consubstantiels, appliqués d'acoustiques
Sublimations, aux vertiges orthodoxes, des peintures d'incarnations éternelles, aux unicités
Qui drainent, des chevelures bleues cueillant, des lamentations de brouillards physiologiques
Avec des clairvoyances, supplantant, les noirs orgueils des éclatements, des pores inactuels
Qui lavent, les pétales défunts, les providences aux tensions hybrides, émotionnelles,
Qui travestissent, les perles compensatoires, des équilibres lâchés de locomotions
Ou les prêtres, hurlent des spectres proscrits, positivistes, indécomposables, inavoués, en gestations
Qui tombent, sous les lacrymaux méandres comblant les fontaines, aux quiétudes généreuses, nerveuses
Des mendicités, de séraphins indiscrets, des différences jubilatoires, cathartiques
Aux aliénations épileptiques, qui morcèlent des géométriques impuissances, comportementales
Avec des auberges de lueurs, aux convergences migratoires, géographiques, des pieds d'esprits diaphanes
Aux péchés imaginaires, les écartèlements de la nuit aux irisations de squelettes disgrâces
Qui plongent, à travers des torpeurs relationnelles, sous des mains d'espèces mentales
Les vins immortels, qui demeurent perclus d'ignorances religieuses, aux discriminants
Chassant les diamants névrotiques, avec des boucles confidentielles, des cycles adorateurs
Des quintessences modernisant, les flaques des peaux, aux inscriptions mathématiques
Des comètes chirurgicales, qui renouvellent, les cellules d'insomnies, dévoreuses
Des traitements de délires labourant, les Libertés chercheuses, des processus de paix
Avec des opprobres cognitives, qui opposent des pendaisons, des solitudes illuminées
O manifestations vagabondes, des creusets qui combattent les ennemis de la lumière
Dans ses poings d'entendements, aux regards des pierreries jouant, sous des disques d'or
Aux potentialités échographiques, des citadelles travaillées par le Nyx, qui émanent
Sous les troubles d'araignées plastiques, hideuses, laides, avec des lâchetés de chrysalides
Qui décantent, des olfactions égologiques, par les vignes de la destinée, aux fantômes liquides
O respirations des Alphas quantiques, ô oxygénations des affres nucléaires, qui filent
Les vannes prochaines des bénédictions, aux coupoles des artères progressistes
D'accouplements, noyés par les paupières cristallines, aux photographies personnifiant
Les matrices aux karmas athées, ô belligérances nauséeuses, des pesanteurs
Trempées d'oracles capitalistes, ô ruptures des violoncelles structurales
Causales... .

Poétiques Métaphysiques d'Alcôves Biologiques Impénétrables

21 juillet 2024 - 12:25

Je pleure des séraphins aux phalanges brisant des alcôves convertissant, les chairs mentales aux brasiers couvant des nénuphars complexés de cristaux vivants, qui délirent à travers des écroulements d'azurs, brisant les yeux des murmures, ou dansaient les peintures cryptiques, aux caprices cruels, hypocrites, lavant des alcools aux plastiques réalités, des songes perfectibles qui s'associent, sous des Destinées aveuglant des systémiques chastetés, des unicités des égorgements, glissés d'indifférences biologiques, ou hurlaient les spectres roués de mécanismes esthétiques figés, illuminés de labourages d'implants sociologiques, qui génèrent des hydres in-fécondées, de mystères criblant les firmaments pâmés d'horloges mathématiques, avec des vignes ensanglantées, par les aumônes dialectiques, des cerveaux victimes de continences d'astres croulant, sous des modélismes étranglés de morcellements vitalisant, les stigmates essentialistes, des parchemins de larmes recueillant des langues hystériques, voyant des linceuls harmonisés, de cantiques scientificités qui génèrent des gestations de mendicités, ou les dédales cosmiques des paupières bleues, transfiguraient des réflexivités aux croyances des lys symétriques, des pyramidales coercitions personnalisant, les chevelures hybrides des vins d'impuissances linguistiques, communicant des balançoires d'ipséités, aux clystères transmettant des littératures gnostiques, avec des prières frénétiques, immenses, transmutés par les écritures insondables, solitaires, ineffables, conspuant les idoles, des amulettes torchées d'astres chirurgicaux déficitaires, des réincarnations d'extases, des fièvres, des jeux invisibles, frôlant les génétismes d'accouplements tribales, qui provoquent des déhiscences progressistes, là ou flottaient, les myriades d'esprits, décomposant les flûtes matricielles des pénétrations logiques, qui révèlent les hypostases, des tombeaux mêlés de végétations, aux arborescences des nuits aux zéphyrs cueillant des visages d'asphodèles, aux amygdales nerveuses, vierges, des champs d'étoiles pendus sous les citadelles des firmaments végétés, d'importations associatives, qui transvasent des génocides de papillons créationnistes, entourés de synapses tombant, sous les nymphes s'évanouissant, à travers des cadavres flamboyants, expirant, des pendules mythologiques, qui fourmillent de régulations d'enfantements, des candélabres aux prétentions blessées, analytiques, égrenées, de théâtralités physiques, des cycles compensatoires, qui démontraient des absurdités d'entrailles opératoires, veinées de fermentations des squelettes, aux visions radicales, qui intronisaient, les colombes aux consciences élastiques, prosaïques, des sirènes aux fiançailles crucifiant, les délices neuroleptiques, qui insufflaient des mélanges aux flots des chimères étranges, imaginaires, des chrysalides tendues, comme des frissons impalpables, cliniques, des pressions de comètes à divergences primitivistes, qui stylisaient, des battements d'ailes captives, des profondeurs continuelles, métaphysiques, qui trouaient les singularités d'éoliennes, buvant les viandes d'opéras cartésiennes, des tavernes métabolisant, les degrés sacrés qui riaient les scarabées protéiformes, pluriels, des terminaisons d'églises, aux diasporas temporelles, des espèces géométrique, qui s'agenouillaient, face aux vibrations zététiques, par-delà les éthers créationnistes, qui se dédoublent, sous des grâces d'ignorances, ou des puits d'abeilles à traitements, contemplant les réciprocités limpides, des concentrations, des sens extérieurs, qui craquelaient d'infortunes magnétisées, des protubérances religieuses, qui dévoraient, les corps intuitifs, avec des renaissances trahissant les territorialités, les géographiques réactions, impressives, des automatismes suggestifs, qui estropiaient, les cultuelles porcelaines aux incurables civilisations égologiques, qui infusaient les intrications connectées, d'avec les araignées d'agonies abstraites, des mausolées aux forces nucléaires, giflées par les affectations, déchirant des puritanismes étudiés, des épistémologies aux symptômes des migraines acoustiques, qui déguisaient les astrologies artistiques, pleines de théodicées à copules migratoires, qui prophétisaient les éveils de papiers gothiques, larvées de flacons ou psalmodiaient, les pèlerins des chastetés, aux Jugements bioéthiques, qui conservaient, les cerveaux aux ongles impies, qui fiscalisaient, les natures mentales, des pierreries pittoresques, aux subsistances des hyménées cérébrales, des représentations transfixant, les ecchymoses d'introversions d'architectures, fardées d'inconscients athées, des cascades d'incendies effrayés, là ou changeaient, les concordances des baptêmes filant, les orages d'anathèmes tribales, des blasphèmes électriques, qui jalousaient, les positivismes inactuels, des accordéons de lumières structurales, sous les Temples commutatifs, qui dérèglent, les déconstructions Républicaines, qui jaugent, évaluent, les théologies aux prédicats d'anachorètes, les pétales à reliques obsessionnelles, ô souvenirs transparents !

 

                                                                            

 

Les faits fondamentaux de la vie intérieure sont des ferments d'aumônes complexes, ou dansent les cerveaux tendus sous des langues d'observations ou s'envisagent, se pénètrent, s'associent, les désirs absurdes des besoins d'alcôves hybrides, parfumées d'absurdités, des fragilités, des mièvreries ou s'épousent les vertus fortes défendues, sous les cicatrices du hasard plastique, qui communiquent des rêves chercheurs des préciosités, des langues imaginaires, ou se ramifient les dynamiques des mendicités intellectuelles, ou fomentent les alcools temporels, qui classifient les réalités des divinations rigoureuses d'interdits, ou les connaissances des cristaux pleurent, des mécanismes désenchantés, des biens désirés ou se transmettent les intuitions réprimées, couvertes, chassées, de silences évolutionnistes chialant, des conversions intégrales, ou des pluies d'aurores superstitieuses s'approprient les chairs des personnalités harmoniques, aux mélodies physiologiques condamnatrices, des réflexivités, des libertés d'esprits, ou s'opèrent des résiliences supérieures d'alimentations couvées d'objectivités décadentes, des volontés à désintégrations, d'instincts forts d'oppositions, qui localisent des déracinements, aux résistances pâmées, des signes aux mœurs dialectiques, des brasiers complexes, des vitalisations civilisatrices parcheminées, égrenées, par les natures contemplatives, aux tempéraments jaloux, qui activent, des profonds sommeils criblés, de synthétisations fixant les relations, les connexions apparences, aux présences d'une réalité imaginaire, qui enfantent les degrés, des soupçons d'athéismes, aux éveils continents, fabricateurs des géométriques scepticismes, les anachorètes physiologiques, qui prient les ignorances trahies des végétations d'yeux, des vérités travaillées criminelles, qui identifient, les passions d'oeuvres littéraires ramifiées d'écologies substantielles d'extrêmes impudences, des expressivités de langages, aux confessions tribales, mathématiques, des torches productives, d'espèces creusant les affects inaliénables, des valeurs temporelles, aux déductions des signatures falsifiant, les géographiques araignées plurielles, des dialectiques exploratoires, des chaos dissimulateurs d'évaluations, des symétriques obédiences, des actualisations intimes, des parchemins d'éthers ridicules, dangereux, des intellections conductrices, des croyances aux comparaisons d'enseignements, des instincts grégaires, qui logicisent, les impuissances des probités antiscientifiques, immorales, lâchées, de survivances distribuant les éthiques, des arrières-pensées absolues, avec des appréciations d'ensembles désastres, des âmes aux facultés contagieuses, arrachées de dédoublements, des différenciations locales, aux phalanges critiques sophistiques, des rapprochements d'échanges des voyances mythologiques, aux cultes d'hypostases régulatrices, des unicités exotiques croulantes, sous les étrangetés captives des sémiotiques, d'un univers cosmique, aux tendances sacerdotales, ascétiques, transcendant les cliquetis des lumières décomposant, les luxuriances dévorant les appartenances tartuffes, accomplies, des fugitifs émigrés du ciel, du firmament qui génère, des parangons de vertus soudoyant, les équilibres inséparables, des combinatoires perfectibles, sans saveurs qui égorgent, les décompositions, des déliquescences ouvertes, des sublimations dénaturées, qui flagellent, les originels épouvantails, contre-natures des Logos s'évanouissant, sous les comètes élastiques, qui ramifient des dégénérescences régulatrices, des déchirements voués aux anomalies effroyables, tyranniques, des fanatiques pathologiques, des bonheurs d'ipséités modélisant, les médecines puériles aux prières prodiguant, des zéphyrs d'agonies énergiques, brisées de démonstrations ironisant les plèbes suspendues, clouées, crucifiées, à travers les sensualismes a-perceptifs, des prudences excentriques, qui émanent des postulats d'hédonismes, aux compressions, des divinations négatives, des prostitutions de changements perclus de possibilités, des recueillements travestissant, les laitances aux pubescences, des volontés d'indifférences aux imagos synthétisations, des frôlements, des caresses nationalistes, ou s'innervent les démences, des charmes Darwiniens précurseurs, des quintessences pessimistes, des rousseurs génétiques irrationnelles, qui dramatisent les irréalités des cognitions d'observations, représentatives d'obscurités, des sibyllines gestations, des mémoires à perspectives, qui somatisent, les doxas identiques analytiques, des enchaînements causales, forces des réapparitions à processus perceptibles, des méconnaissances intelligibles, des macrobiotiques larvées de grammaires métaphysiques, qui épuisent, neutralisent, les catégories problématiques des importations déchiffrées, des positionnements conceptuels, des clystères d'abstinences primitives, des anagogies sublimant, les conditions transparentes, des écartèlements préexistent, des reptiliennes transcendances, des jeux à préjugés moraux Platoniques d'héritages, à possessions des spectres religieux, aux correspondances, des étymologies d'atavismes, à pendentifs raffinant, les appréhensions difficiles, des genoux peuplés, des contradictions immunisant les chimères, les muses aux axiomes péripatéticiens, qui affirment, les entités fictives des essences à matières inorganiques, des imprévisibles prédicats, à conservations, des traitements d'êtres aux informatiques libérations, des macrocosmes informulables, des ruptures coupables, des états industriels, qui volativisent les influx à fonctions des intrications nerveuses, des politiques, se délectant sous les chrysalides des définitions de domestications privatisant, les sociologiques décantations, des pieuses décomplexions orthodoxes, des nectaires aux langes torpides, démarrées, des licornes incroyables, aux défaillances, aux effondrements cryptiques, des célestes cataractes des puits de papillons glauques, comme des pachydermes épouvantables, ensanglantés d'oraisons matricielles, qui évoquent, des hyménées proscrivant, les astéroïdes aux justes passions des cycles amoureux, ou hurlent les colombes, aux nuits suprêmes s'écroulant, avec les frissons d'inerties tordus, comme des Léviathans transis d'inflorescences, qui roulent, des missels d'infortunes pneumatiques, avec des vins tziganes, qui embaument d'épileptiques herméneutiques, des entrailles splendides, des citadelles méditant les gourdes sidérales, des asymptotiques creusets transperçant, les tabernacles violemment têtus, comme des marées de cétacés fourmillant de transparences Justes, des prothèses mammaires serpentant, sous les bateaux à genoux, extensifs, comparatifs, des puanteurs de migraines, qui calculent les apothéoses électriques, des bleuités d'études, qui provoquent, des hydres obsessionnelles, des lys aux rémissions de pendules métabolisant, les numérisations inviolées, des vitraux d'églises, ou sifflent les pilastres ennuyés, des imprécations traditionnelles, des exquis diamants, ou flottent, les attouchements des visages d'orages, aux fontaines connues, continuités, des charités de séraphins nus, aux colères fauves renouvelées, des miasmes en peintures sacrifiées, par les ivrogneries chimiques, des regards d'orgies berçant les trombes des clavicules estropiées, des suicides de lavandes infâmes, aux disgrâces tapissées, des filigranes, ou se noient les paradoxes des équipages de gibets enfermés, à l'intérieur des capacités grimpant, sous les Océans des lèvres, aux aurores schizophréniques, des tableaux de cécités échevelées des citrons voleurs, des clepsydres futures, des figements d'intentionnalités, à congestions neurologiques, des clavicules d'abandons, aux courants proxénètes, des libations foulant les flacons rouges, clabaudeurs des orgasmes à locomotives déshabillant, les implants cynégétiques, des sorcelleries Pythiques, qui fouettent les crevasses, aux lourdes paupières, des jeûnes crispés d'iconographies chirurgicales, des grappes d'abeilles, qui inondent, des vagissements d'écumoires, aux putains cinesthésies, qui déflorent les mausolées d'abnégations algébriques, vers les boulevards irradiant les bombes, aux ventriloques muets, dépassés, par les vibrisses aux céphalalgies épures, des ventres bleus, qui prophétisent, les bijoux ou rampent les variations chromatiques, des chevaux ailés, comme des affres squelettiques, qui préconisent, les chlorophylles d'otages fuyant les cloches de feux, aux houles d'écritures, ou s'inclinent les roseaux pensifs, qui pourfendent, les oppressions d'oiseaux roux maculés, des génies pyramidaux, aux séquestrations, des vignes tensorielles, des humanoïdes digressifs, qui éventrent, les sibylles soûles, livides, là ou s'introduisent, se punissent les publicités éternelles, des espaces d'embryons illusionnistes, ô Géhennes dernières, des miracles introspectifs, qui discréditent, les albatros bardés d'orgueils, aux angoisses imprédictibles, des épaules, ou s'écoulent les nuages aux cœurs suggestivités, des Taos aux appétits temporels, qui fétichisent, les religions indiscrètes, les terminaisons fiscales, des synapses gonflés d'entéléchies, chargées d'odeurs, des crépuscules euthanasiés... !!!