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clemouchka

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Publications sur Toute La Poésie

Danse des soleils poétisés d'absolu mystiques

20 février 2024 - 06:46

Des peintures d'azur pleurent les parchemins d'étoiles parfumées d'alcools en délires vierges d'entendements

Qui pleurent des songes de rémissions relationnels, avec des poings en sarcophages télépathes

Oubliant les torches rousses existentielles lâchées, de torpeurs perfectibles ou dansent les cristaux

Des araignées maudissant les rutilances des impiétés accroupis, sur les lèvres ensanglantées

D'impuissances mystiques lavées de cerveaux cultuels, aux élasticités d'abeilles noyées, crevant

Sous les Baisers tordus comme des comètes de désirs infâmes, avec des clystères télépathes

Des végétations victimes des Colombes mathématiques, qui pleurent des pétales d'aumônes dialectiques

Aux extases de bénitiers jaloux, crevant des cétacés de lumières enfantées, par les phalanges scientifiques

Aux nudités des vierges acoustiques cerveaux singularisés, devant les syncopes d'éthers aux stridences

D'anges mouillés, fissurés de bacchantes sociologiques égrenant, des alcôves d'impiétés aux chastes

Langues hypocrites, qui révèlent, incarnent les silences d'amygdales nerveuses, qui pensent

Des dévorations spirituelles aux ipséités, couvant les lyres invisibles, avec des étoiles de peaux

Spectrales, qui s'accouplent avec les sirènes biologiques, aux murmures d'abeilles défaillances

De présences s'écroulant, avec des céphalalgies aux continences de séraphins logiciens

La ou fermentent les cathédrales célestes, des organismes crevant les firmaments ramifiés

De pyramides des copulations d'hystériques brasiers, aux clystères effroyables, horrifiques

Dégorgeant, sous des tabernacles de soleils craquelés de photographiques calices, gorgés

De circulations d'éveils méditant, des nymphes croulant d'hypostases cantiques, fissurées

De vins des pubescences fermentant, des végétations de cygnes hybrides, aux réflexions esthétiques

Qui désirent des licornes aux nudités des nuits incubatrices des onirismes figés, de glauques

Extensivités, qui hurlent des insomnies réactionnelles, perclus d'automatismes, des sifflements

Des désordres, des pandiculations linguistiques abreuvant, les rousseurs lavées d'obsessions

Des saignements des genoux, aux sérénités phtisiques, moléculaires, épileptiques contraceptifs

Des églises anatomiques, des papillons jaunes aux étonnements parcheminés, de pleurs qui réfléchissent

Des myosotis aux floraisons des diamants d'essences, aux vignes folles qui complexifient, des ignobles

Microscopes inviolés, là ou s'illuminent les blondeurs relationnelles, qui cristallisent les rêves, des déplacements

S'agenouillant, sous les chrysalides d'espoirs magnétiques, qui insufflent, matérialisent, révèlent

Des pendules Socratiques aux communions cycliques, des tableaux de citrons les mendicités, des cueillettes

Pendues sous les mathématiques veines, aux cryptiques aliénations des zéphyrs, aux peaux chargées de pierreries

Qui communiquent des publicités, s'évanouissant sous les cimetières ontologiques des roulements, des grondements

En gésines, avec des symphonies microscopiques qui pavoisent, essentialisent, des ailes aux prolongements

Qui embrasent des Océans en détails morphologiques, qui puisent des capitalisations de désirs abstraits

Des fémurs absurdes, des ossements d'arbrisseaux qui peignent, voilent, défigurent, des impalpables matrices

Des souvenirs de laboratoires, ou coulent des démences aux transparences, des botaniques des cognitions

Des décompensations "d'irrésiliences" médiumniques, avec des gestations religieuses, qui tremblent

O prostitutions des dérèglements synaptiques, qui essaiment des libellules crispées d'harmonisations athées

Des mausolées assassins, qui perfusent des associationnismes d'objectités d'orages crépusculaires

Aux cicatrices d'un Léviathan anatomique, les nucléaire folies aux degrés d'imagos secoués, de présences pudiques

Des vulgaires nourritures qui paganisent, les voyelles aux Messes inappliquées, des mécanismes rythmiques

Qui vomissent des hermaphrodismes de pachydermes, aux génétiques d'étés scientifiques, ô syntagmes

Des recherches d'hydres comparatives, ô fantômes manichéistes....

 

Fontaine d'azur poétique mystique

20 février 2024 - 04:54

Je mange des chairs d'azurs ou dansent les abeilles aux cris hystériques

Prient des feux de désirs en peintures cryptiques, qui bavent des tissus d'aurores complexes

Je pleure des étoiles aux chevelures jalouses, se recueillant sous les cristaux aux mains chasseresses

Des décantations linguistiques, qui hurlent les songes aux pétales, des séraphins biologiques

Je me nourris d'asymptotes théâtralités, parcheminées d'aumônes d'oiseaux aux lèvres rousses, qui pensent

Des phalanges d'espoirs, aux tombeaux infinis murmurant des souhaits de comètes nerveuses, qui tremblent

Des cerveaux brûlés de pachydermes acoustiques, qui pleurent des torches précieuses

Aux sarcophages des symboles progressistes, qui oublient les parfums éthologiques, aux onirismes pendus

Sous des décapitations passionnelles, qui nourrissent des alcools fétichistes, aux pendules d'éthers télépathes

Des compréhensions systémiques, qui crèvent les papillons d'entendements sépulcraux, qui croulent

Sous des alimentations polythéistes, aux croyances égrenées par les Souvenirs chimiques, des voyances de licornes

Des esprits réactionnels, primitivistes, larvés de continences structurales, aux déploiements de chrysalides noires

Qui essentialisent des végétations humaines peuplées, de pyramides esthétisations, des lavandes en chairs nourrissant

Des confusions de balançoires d'améthystes intérieures, qui essaiment des neurologiques réalités

Aux doigts tournoyant avec des regards tordus, troublants, inquiétant, aux arborescences fusionnelles

Qui opèrent des archéologies passionnelles, aux voluptés d'hydres constellées, de magnétismes intelligents

Avec les brasiers impossibles, interdits, pâmés sous les mausolées systémiques nébuleux, frôlant des parjures

D' équilibres sociologiques, ô érotisations des pouvoirs mélancoliques, fissurés de nymphes égologiques

Aux transparences différentielles, qui éclatent des soleils singuliers, en délires d'observations décomposées

De langues hybrides, des émanations étranglées d'étrangetés traductrices, de prolongements inessentiels

Qui oublient les licornes aux mendicités mystérieuses, des communications de suggestions athées

Des harmonieuses réciprocités, des recompositions de foi en les personnalités géométriques, des Libertés

Qui accomplissent des degrés recommencés, des contemplations extatiques, qui volent les brasiers

Des Muses de silences dissolvant, des combinaisons littérales, confondant les maïeutiques des adages

Aux stigmates, qui déchainent des incommunicables tentations, des rêves défigurant, les Univers vomitifs

Des difficiles élasticités de pierreries, qui enfantent les aurores des codes, des numériques Présences

Qui égrènent, les libations génétiques des effroyables, épouvantables statues, euthanasiant

Les cycles de cygnes mathématiques, aux terminaisons narcissiques, des vertus de dépossessions

Objectivistes d'impuretés obsessionnelles, lavées de pandiculations subtilisant

Les objectivistes intimidations logiques, des arcs-en-ciels tendus, comme des artefacts transparents

Avec les calices circonflexes théâtralisant, les vins jaloux brisés, de sacrifices aux mélanges

Aux autels ambigus, clairsemés, habillés, enveloppés, de genoux vitalisant, les liens perfectibles

Des citrons relationnels, qui travestissent les Vérités des spectres bohémiens, qui accouchent

En des timidités de jasmins recouvrant, des polyandries esthétisées, qui épurent des araignées d'adieux

Aux Providences travaillant les fondamentalismes trempés, des tempes sécrétrices, des Hasards

Qui apparaissent en matière de syncopes anatomiques, machinistes, des ensembles de bouquets écrasant

Les anomalies de vertèbres traductrices, des symptomatiques imaginaires, improductibles

Des poignets féroces, animales, qui diffusent des paradoxes de traitements, baignés de tresses dissimulant

Les chimères aux champs d'incapacités de liquéfier, d'organiser, les ermitages progressistes, qui s'annulent

Les effarées rencontres des australopithèques bouffant, des isolations d'architectures théogoniques

Des déplacements de faunes, aux clartés cheminant sous les mosaïques, des réflexivités d'oublis théologiques

Des inflorescences mouillées de lys écartelant, des encensoirs allumés de chastetés élévatrices, des blondeurs

Des zéphyrs gondolés par les lourds Océans aux navires jouant, avec les flots aux vagissements, de diamants

Bleutés, qui diversifient, produisent, génèrent, des démences de Beautés irisant, les pores obstétriques

Des vagues muées, en des foudres liquides qui évoquent, ensemencent, des flacons d'ivresses

Face aux territoires, aux géographies symétriques, des matrices des langues de la Nature

Dans ses éternités pénétrant les dérèglements capiteux, des diapasons bleutés, aux radiances

Perfectibles des réalités, des créatures maritimes, aux formes d'orfèvres en contact d'avec les ADN d'ossements

Déconstruisant les transitivités d'un monde aquatique, aux ipséités conductibles, qui « informatisent »

Les noires immortalités des folies cathartiques, qui intronisent les ravissements spéculaires, des fronts roux

Aux hypostases régulatrices des signatures cois, dans des automatismes dédoublant, les réseaux

Des paradis morphologiques, des désastres analytiques, qui illuminent les inclinations purifiées

Des royaumes lourds comme des exhalaisons de printemps, ou la vie écrit ses Destinées de crapauds !... .

 

 

 

Prison des larmes

17 septembre 2023 - 07:26

« Des parfums d'azur communiaient avec les étoiles accroupies sur les anges biologiques qui dansent »

« Des séraphins en chair pleuraient les bleus degrés théogoniques des racines brûlant les firmaments, aux ailes absentes »

« Des stigmates pleureurs d'yeux idiots, immondes, noirs, hirsutes, déconfits, contorsionnés, puisaient en des cristaux d'éthers, cantiques sublimations des idoles abstraites, décompositions des Littératures personnifiant les hasards ensorcelés, bioéthiques réalités des microbiologies des oublis mythologiques  »

« Des amulettes géométriques aux contritions ou jasaient les torpeurs d'incendies illuminant les flaques de feux en prières, des lyres mentales »

« Des parjures d'astres volaient les cicatrices nerveuses, aux indolences lyriques ou fermentaient les encres aux lèvres hystériques, ô statues recueillant les Baisers estropiés, ô délices biologiques, aux spectres en délires »

« Des phalanges effroyables aux visages peignés d'amygdales délicieuses, aux peintures logiciennes, des noirceurs d'alcools s'écroulant sous les désirs caressant les tiédeurs aux miroirs électriques, ô torches métaphysiques »

« Des extases d'alcôves aux flacons nus, vierges, peinturlurés de méditations, couvant les Visions tribales, des roulements de langue aux pubescences linguistiques, des pâmoisons sidérales, qui hurlaient les peaux noyées, croulant, sous les aspérités familières, des piétés mystiques agenouillées, devant les élastiques temporels, des fragrances déformant les âmes aux Rires de libellules, accrochant les glauques symétries des nénuphars aux rythmicités illuminant, les Puissances étranges, singulières, des botaniques d'Espérances, des végétations infusées, de lactescences neurologiques, aux puits impudiques, atroces, glacés, voilant les nudités, des désastres vivants, craquelés, de Rémissions dépersonnifiant, en-soi, les brasiers aux âcres appétits boursouflés, par les cerveaux organiques, dichotomiques, à sursoir, aux éminences pleines de répulsions, aux poings pendant sur les clartés éternelles, des rutilements brisés, d'astéroïdes excessifs, «menstruelles consciences », des tremblements de vins, aux splendeurs mécanistes élocutoires »

« Des pyramides existentielles, aux hystériques pulsions d'araignées mathématiques, réfléchissant les colombes victimes des chrysalides noires maudissant les cataractes plaquées, lessivées, molestées, modélisées, par des sanglots de vieillards, aux ossements des Libertés, ou fourmillaient les Chevelures gemmeuses, des myosotis aux clystères crépusculaires, mendiant les décantations familières, des Cygnes aux essences grotesques, chimiques, là ou des couleuvres, aux prunelles insondables, indicibles, perclus d'irrégularités épileptiques, aux éclairs d'omoplates saignées, par-delà les cassures métaphysiques, qui manipulaient les fronts télépathes, des hygiénismes Conscientiels, ô littéralités d'hydres phénoménales, cognant les mélanges Narcissiques, des Océans de cerveaux aux naissances de porphyres, ou descendaient les terminaisons jaunes, des aurores fécondées, des traductions de pierreries mentales, aux inconscients perlés d'indiscrétions, aux Vigueurs grouillantes, ensemencées, tournoyantes, des liquides esthétiques jaloux, ô ipséités, des pendentifs déshabillés, dévoilant les pèlerins châtiés, punis, blasphémateurs, sacrilèges, des scientificités de désirs, aux vignes humaines bouffant les balançoires des Justices boiteuses, acosmiques, par-delà les pénétrations insomniaques, musicalités profanes, mécréantes, des récoltes incantatoires, aux sifflements des nectaires impraticables, des insectes ensanglantés, par des pandiculations, aux Mains génétiques, des diamants inconnus »

« Des bouffons désenivrés déchiquetant les mécanistes échines des vacuités intemporelles, ployantes des Mal moléculaires, ô invisibilités hybris, des fièvres à chiffres nourris, consubstantiels, des Divinités aux dégoûts irrationnels, impalpables sotériologies, des grappes humaines Progressistes, aux intériorités filées, des sophistiques primats chimiques, aux pilastres suprêmes, des silences acoustiques, qui « aliénisent, » les cognitions physiques, des pachydermes roux travestit en idées graphologiques divinatoires, aux locomotions déteignant, chirurgicalement, les rachitismes de crapauds névrotiques, abreuvés de nuits déliquescentes, ô terribles orgies mu d'aumônes épistémologiques, aux bavures d'Espérances empuanties, par les dramaturgies, aux complexions de fifres cryptiques, soudoyés, ô voleurs d'ongles aux prostitutions philosophiques des univers dédoublés, aux Espaces matriciels, transmettant des fontaines d'archanges immobiles, là ou rient les violoncelles transparents, ô indiscrets glaïeuls, ou poussent les littératures impalpables, aux gonflements d'orchestrations "mimétisant", les Absolus sémantiques, des traitements de sangs, ou tombent les neiges expérimentales, aux pieds d'une Vénus violette, ô voyances d'horloges comparatives, aux crânes damnés, "arreligieux", ô appétences théologiques, des apothéoses bachiques, des papillons errants, linguistiques, sceptiques, ô filtres, des virgules aux lointains hallalis, ô tabernacles, aux céphalalgies parcheminant, les erreurs lépreuses, joyeuses, des Nirvanas inviolés, passionnels, isolés par rupture Talmudique des Lois "méta-cognitives", ô douleurs gueulant les écoutilles des automatismes microscopiques par démences associatrices des essences auréolées proches d'un cartésianisme alimentaire, des bombes matérialisant les tresses d'ors aux algébriques fonctionnalités, des métabolismes aux chapelets d'antiquités parcheminées, d'abstinences intuitives, ô adorables nuques, aux efficiences futures des chants fauves, ô tapages quantiques, aux hyperboles génocidaires, des maïeutiques aux structuralismes, des diffamations privatisées d'infinies Justices, des labourages griffant, les cieux inharmoniques, fractales, ô schèmes photographiques ! »

 

 

« Les chevelures d'azur pleurent des Baisers jaloux, aux parfums de brasiers capiteux qui dansent sous des murmures de chairs mentales »

«  Les larmes de ton silence embrasent mes nonchaloirs mélancoliques, parcheminés de lèvres qui pleurent »

« Les oiseaux de mes songes intimidés, hurlent les pétales sacrificiels, qui lacrymale les jalousies de tes murmures, aux invisibles visages, qui prient les différences religieuses des torches réflexives, des ailes évanouies »

« Les firmaments étranges s'écroulent, sous les phalanges mystiques de tes fontaines ensanglantées, des mendicités biologiques, des interdits contemplatifs »

« Les cimetières de tes yeux aveuglés gisent, en des insomnies d'arc-en-ciels, qui prophétisent les peaux de tes murmures contrits »

« O connaissances des voyelles chimériques, qui enchantent les créatures mythologiques, par des Océans de charmes, aux présages des sibylles les zéphyrs, ployant sous les sarcasmes des yeux bercés, indolents, des cyprès ravissant, les rousseurs d'horloges aux mystères décomposés, par les alcôves des nuits tendues, comme des végétations existentielles, qui se recueillent d'unicité à présences organiques, des intelligences de cristaux »

«  Des peintures aux contritions éternelles, esthétisent les puissances orgueilleuses, des stigmates aux Libertés dévorées, des flaques constellées d'appétits suspendus sous tes paupières diaphanes, qui égorgent les araignées infâmes, aux calices d'espoirs vitalisés d'obscures convalescences, des statues vierges, qui décompensent, les intériorités des soleils fusionnant, d'avec les délires conspués, des sifflements d'astéroïdes délicieux »

«  Des floraisons d'alcools plaquent les feux expressionnistes, de tes larmes méchantes, cruelles, voleuses des crispations de libellules, aux accroupissements d'amygdales nerveuses, ô biologies des élastiques d'églises, qui intronisent les exhalaisons pâmées des souvenirs, aux communions spectrales, des bohèmes fluant les incendies des aumônes, aux pulsions des lampes aux clartés d'éveils maudissant, les pilastres des nœuds existentiels, qui profanent les lichens morphologiques, des singularités des violons passionnels, qui rutilent sous les échafauds, des céphalalgies primales, ô erreurs inviolées des chrysalides égorgées, par les puanteurs symphoniques, des infâmes décantations, aux tiédeurs infortunées, ô hystéries des photographies pubescentes, qui temporisent les lunes religieuses, des cicatrices polythéistes noyées, par les pénétrations des vins sociologiques, aux degrés maladifs des bénitiers transcendantaux. »

 

 

 

Délires poétisés ô tableaux biologiques littéraires hallucinés !

05 août 2023 - 10:15

« Des statues de feux hurlent les Chimères éclatées des Cieux hystériques »

« Ou choient les licornes d'azurs psychiques »

« Des phalanges brûlées d'orfèvreries intérieures »

«  Dansent sous des pouls aux mysticités vierges croulant les enfantements »

«  Avec des élastiques de Chairs électriques »

«  Pâmés sous les mystères éclatés des firmaments »

«  Aux yeux veufs des pachydermes mentaux, transcendants »

«  Qui chantent les étoiles chimiques, acoustiques »

«  O pèlerinages d'adieux invisibles, ô caresses des chevelures aux Religions »

«  Communicant des araignées logiques »

«  Qui dansent les parfums télépathes »

«  Des soleils couvés d'harmonies aux contritions »

«  Des nénuphars temporels »

«  Qui enflamment les corps amoureux »

«  Des murmures neurologiques aux peintures d'étoiles brisées d'intériorités plastiques, intuitives »

«  O paganismes épileptiques, les squelettes ultra violets dépassés »

«  Aux ailes d'anges filtrés d'inflorescences nerveuses »

«  Avec des insomnies prophétiques, des Pensées aux fragrances morcelées,modélisées, déconstruites, a-structurales »

«  Avec des alcôves linguistiques, des alcools puissants »

«  O génétiques, des Silences surréalistes »

« O violons aux chapelets d'hydres aux essences de cygnes, phalanges stylisant, vacuités d'orgasmes »

« Parfumant les jachères phénoménales, circonflexes »

«  Des Cieux d'onirismes perfectibles »

«  Qui transgressent les pierreries d'un Sourire détergent, Alimentaire »

«  O matrices aux Bohèmes baignées »

«  Des cristaux sociologiques »

«  Des diamants divinatoires » 

«  O vignes complexes... . »

 

Clochers des songes

05 juillet 2023 - 01:48

« Les cristaux intelligents de mes pensées dansent avec des chairs d'azurs aux horizons des silences biologiques »

« Je rie des soleils aux virginités des rémissions qui tremblent sous des fleurs vivantes crevant les firmaments inconscients des équilibres étrangers qui pleurent les élastiques de tes chevelures aux poings chimériques abandonnés, ô clochers des songes noyés sous les désirs de tes extravagances printanières qui croulent sous les délires suspendus de tes éveils harmonieux d'éternités des flaques aux nuits tordues, pleines d'effusions des tristesses étranglées de silences ou pleurent les cathédrales vierges de tes murmures profonds aux éternités d'alcôves ou fermentent les religions aux défaillances inouïes de tes yeux ou chantent les gouttes incroyables de tes éclatements ou germent les rêves jaloux par des étranglements acoustiques aux flacons mentaux d'ipséités transis par les blancheurs lumineuses des silences mangeurs de réalités élastiques des éveils aux charités mystiques, des absences aux fleuves mélancoliques en contritions des regards chimiques, ô réalités des étoiles aux indiscrétions orchestrées par les torches rousses aux immenses baisers, ô fragrances des décantations aux murmures d'alcools, ô hystéries temporelles... ! »