Des peintures d'azur pleurent les parchemins d'étoiles parfumées d'alcools en délires vierges d'entendements
Qui pleurent des songes de rémissions relationnels, avec des poings en sarcophages télépathes
Oubliant les torches rousses existentielles lâchées, de torpeurs perfectibles ou dansent les cristaux
Des araignées maudissant les rutilances des impiétés accroupis, sur les lèvres ensanglantées
D'impuissances mystiques lavées de cerveaux cultuels, aux élasticités d'abeilles noyées, crevant
Sous les Baisers tordus comme des comètes de désirs infâmes, avec des clystères télépathes
Des végétations victimes des Colombes mathématiques, qui pleurent des pétales d'aumônes dialectiques
Aux extases de bénitiers jaloux, crevant des cétacés de lumières enfantées, par les phalanges scientifiques
Aux nudités des vierges acoustiques cerveaux singularisés, devant les syncopes d'éthers aux stridences
D'anges mouillés, fissurés de bacchantes sociologiques égrenant, des alcôves d'impiétés aux chastes
Langues hypocrites, qui révèlent, incarnent les silences d'amygdales nerveuses, qui pensent
Des dévorations spirituelles aux ipséités, couvant les lyres invisibles, avec des étoiles de peaux
Spectrales, qui s'accouplent avec les sirènes biologiques, aux murmures d'abeilles défaillances
De présences s'écroulant, avec des céphalalgies aux continences de séraphins logiciens
La ou fermentent les cathédrales célestes, des organismes crevant les firmaments ramifiés
De pyramides des copulations d'hystériques brasiers, aux clystères effroyables, horrifiques
Dégorgeant, sous des tabernacles de soleils craquelés de photographiques calices, gorgés
De circulations d'éveils méditant, des nymphes croulant d'hypostases cantiques, fissurées
De vins des pubescences fermentant, des végétations de cygnes hybrides, aux réflexions esthétiques
Qui désirent des licornes aux nudités des nuits incubatrices des onirismes figés, de glauques
Extensivités, qui hurlent des insomnies réactionnelles, perclus d'automatismes, des sifflements
Des désordres, des pandiculations linguistiques abreuvant, les rousseurs lavées d'obsessions
Des saignements des genoux, aux sérénités phtisiques, moléculaires, épileptiques contraceptifs
Des églises anatomiques, des papillons jaunes aux étonnements parcheminés, de pleurs qui réfléchissent
Des myosotis aux floraisons des diamants d'essences, aux vignes folles qui complexifient, des ignobles
Microscopes inviolés, là ou s'illuminent les blondeurs relationnelles, qui cristallisent les rêves, des déplacements
S'agenouillant, sous les chrysalides d'espoirs magnétiques, qui insufflent, matérialisent, révèlent
Des pendules Socratiques aux communions cycliques, des tableaux de citrons les mendicités, des cueillettes
Pendues sous les mathématiques veines, aux cryptiques aliénations des zéphyrs, aux peaux chargées de pierreries
Qui communiquent des publicités, s'évanouissant sous les cimetières ontologiques des roulements, des grondements
En gésines, avec des symphonies microscopiques qui pavoisent, essentialisent, des ailes aux prolongements
Qui embrasent des Océans en détails morphologiques, qui puisent des capitalisations de désirs abstraits
Des fémurs absurdes, des ossements d'arbrisseaux qui peignent, voilent, défigurent, des impalpables matrices
Des souvenirs de laboratoires, ou coulent des démences aux transparences, des botaniques des cognitions
Des décompensations "d'irrésiliences" médiumniques, avec des gestations religieuses, qui tremblent
O prostitutions des dérèglements synaptiques, qui essaiment des libellules crispées d'harmonisations athées
Des mausolées assassins, qui perfusent des associationnismes d'objectités d'orages crépusculaires
Aux cicatrices d'un Léviathan anatomique, les nucléaire folies aux degrés d'imagos secoués, de présences pudiques
Des vulgaires nourritures qui paganisent, les voyelles aux Messes inappliquées, des mécanismes rythmiques
Qui vomissent des hermaphrodismes de pachydermes, aux génétiques d'étés scientifiques, ô syntagmes
Des recherches d'hydres comparatives, ô fantômes manichéistes....
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