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clemouchka

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#400884 Poétiques Métaphysiques d'Alcôves Biologiques Impénétrables

Posté par clemouchka - 21 juillet 2024 - 12:25

Je pleure des séraphins aux phalanges brisant des alcôves convertissant, les chairs mentales aux brasiers couvant des nénuphars complexés de cristaux vivants, qui délirent à travers des écroulements d'azurs, brisant les yeux des murmures, ou dansaient les peintures cryptiques, aux caprices cruels, hypocrites, lavant des alcools aux plastiques réalités, des songes perfectibles qui s'associent, sous des Destinées aveuglant des systémiques chastetés, des unicités des égorgements, glissés d'indifférences biologiques, ou hurlaient les spectres roués de mécanismes esthétiques figés, illuminés de labourages d'implants sociologiques, qui génèrent des hydres in-fécondées, de mystères criblant les firmaments pâmés d'horloges mathématiques, avec des vignes ensanglantées, par les aumônes dialectiques, des cerveaux victimes de continences d'astres croulant, sous des modélismes étranglés de morcellements vitalisant, les stigmates essentialistes, des parchemins de larmes recueillant des langues hystériques, voyant des linceuls harmonisés, de cantiques scientificités qui génèrent des gestations de mendicités, ou les dédales cosmiques des paupières bleues, transfiguraient des réflexivités aux croyances des lys symétriques, des pyramidales coercitions personnalisant, les chevelures hybrides des vins d'impuissances linguistiques, communicant des balançoires d'ipséités, aux clystères transmettant des littératures gnostiques, avec des prières frénétiques, immenses, transmutés par les écritures insondables, solitaires, ineffables, conspuant les idoles, des amulettes torchées d'astres chirurgicaux déficitaires, des réincarnations d'extases, des fièvres, des jeux invisibles, frôlant les génétismes d'accouplements tribales, qui provoquent des déhiscences progressistes, là ou flottaient, les myriades d'esprits, décomposant les flûtes matricielles des pénétrations logiques, qui révèlent les hypostases, des tombeaux mêlés de végétations, aux arborescences des nuits aux zéphyrs cueillant des visages d'asphodèles, aux amygdales nerveuses, vierges, des champs d'étoiles pendus sous les citadelles des firmaments végétés, d'importations associatives, qui transvasent des génocides de papillons créationnistes, entourés de synapses tombant, sous les nymphes s'évanouissant, à travers des cadavres flamboyants, expirant, des pendules mythologiques, qui fourmillent de régulations d'enfantements, des candélabres aux prétentions blessées, analytiques, égrenées, de théâtralités physiques, des cycles compensatoires, qui démontraient des absurdités d'entrailles opératoires, veinées de fermentations des squelettes, aux visions radicales, qui intronisaient, les colombes aux consciences élastiques, prosaïques, des sirènes aux fiançailles crucifiant, les délices neuroleptiques, qui insufflaient des mélanges aux flots des chimères étranges, imaginaires, des chrysalides tendues, comme des frissons impalpables, cliniques, des pressions de comètes à divergences primitivistes, qui stylisaient, des battements d'ailes captives, des profondeurs continuelles, métaphysiques, qui trouaient les singularités d'éoliennes, buvant les viandes d'opéras cartésiennes, des tavernes métabolisant, les degrés sacrés qui riaient les scarabées protéiformes, pluriels, des terminaisons d'églises, aux diasporas temporelles, des espèces géométrique, qui s'agenouillaient, face aux vibrations zététiques, par-delà les éthers créationnistes, qui se dédoublent, sous des grâces d'ignorances, ou des puits d'abeilles à traitements, contemplant les réciprocités limpides, des concentrations, des sens extérieurs, qui craquelaient d'infortunes magnétisées, des protubérances religieuses, qui dévoraient, les corps intuitifs, avec des renaissances trahissant les territorialités, les géographiques réactions, impressives, des automatismes suggestifs, qui estropiaient, les cultuelles porcelaines aux incurables civilisations égologiques, qui infusaient les intrications connectées, d'avec les araignées d'agonies abstraites, des mausolées aux forces nucléaires, giflées par les affectations, déchirant des puritanismes étudiés, des épistémologies aux symptômes des migraines acoustiques, qui déguisaient les astrologies artistiques, pleines de théodicées à copules migratoires, qui prophétisaient les éveils de papiers gothiques, larvées de flacons ou psalmodiaient, les pèlerins des chastetés, aux Jugements bioéthiques, qui conservaient, les cerveaux aux ongles impies, qui fiscalisaient, les natures mentales, des pierreries pittoresques, aux subsistances des hyménées cérébrales, des représentations transfixant, les ecchymoses d'introversions d'architectures, fardées d'inconscients athées, des cascades d'incendies effrayés, là ou changeaient, les concordances des baptêmes filant, les orages d'anathèmes tribales, des blasphèmes électriques, qui jalousaient, les positivismes inactuels, des accordéons de lumières structurales, sous les Temples commutatifs, qui dérèglent, les déconstructions Républicaines, qui jaugent, évaluent, les théologies aux prédicats d'anachorètes, les pétales à reliques obsessionnelles, ô souvenirs transparents !

 

                                                                            

 

Les faits fondamentaux de la vie intérieure sont des ferments d'aumônes complexes, ou dansent les cerveaux tendus sous des langues d'observations ou s'envisagent, se pénètrent, s'associent, les désirs absurdes des besoins d'alcôves hybrides, parfumées d'absurdités, des fragilités, des mièvreries ou s'épousent les vertus fortes défendues, sous les cicatrices du hasard plastique, qui communiquent des rêves chercheurs des préciosités, des langues imaginaires, ou se ramifient les dynamiques des mendicités intellectuelles, ou fomentent les alcools temporels, qui classifient les réalités des divinations rigoureuses d'interdits, ou les connaissances des cristaux pleurent, des mécanismes désenchantés, des biens désirés ou se transmettent les intuitions réprimées, couvertes, chassées, de silences évolutionnistes chialant, des conversions intégrales, ou des pluies d'aurores superstitieuses s'approprient les chairs des personnalités harmoniques, aux mélodies physiologiques condamnatrices, des réflexivités, des libertés d'esprits, ou s'opèrent des résiliences supérieures d'alimentations couvées d'objectivités décadentes, des volontés à désintégrations, d'instincts forts d'oppositions, qui localisent des déracinements, aux résistances pâmées, des signes aux mœurs dialectiques, des brasiers complexes, des vitalisations civilisatrices parcheminées, égrenées, par les natures contemplatives, aux tempéraments jaloux, qui activent, des profonds sommeils criblés, de synthétisations fixant les relations, les connexions apparences, aux présences d'une réalité imaginaire, qui enfantent les degrés, des soupçons d'athéismes, aux éveils continents, fabricateurs des géométriques scepticismes, les anachorètes physiologiques, qui prient les ignorances trahies des végétations d'yeux, des vérités travaillées criminelles, qui identifient, les passions d'oeuvres littéraires ramifiées d'écologies substantielles d'extrêmes impudences, des expressivités de langages, aux confessions tribales, mathématiques, des torches productives, d'espèces creusant les affects inaliénables, des valeurs temporelles, aux déductions des signatures falsifiant, les géographiques araignées plurielles, des dialectiques exploratoires, des chaos dissimulateurs d'évaluations, des symétriques obédiences, des actualisations intimes, des parchemins d'éthers ridicules, dangereux, des intellections conductrices, des croyances aux comparaisons d'enseignements, des instincts grégaires, qui logicisent, les impuissances des probités antiscientifiques, immorales, lâchées, de survivances distribuant les éthiques, des arrières-pensées absolues, avec des appréciations d'ensembles désastres, des âmes aux facultés contagieuses, arrachées de dédoublements, des différenciations locales, aux phalanges critiques sophistiques, des rapprochements d'échanges des voyances mythologiques, aux cultes d'hypostases régulatrices, des unicités exotiques croulantes, sous les étrangetés captives des sémiotiques, d'un univers cosmique, aux tendances sacerdotales, ascétiques, transcendant les cliquetis des lumières décomposant, les luxuriances dévorant les appartenances tartuffes, accomplies, des fugitifs émigrés du ciel, du firmament qui génère, des parangons de vertus soudoyant, les équilibres inséparables, des combinatoires perfectibles, sans saveurs qui égorgent, les décompositions, des déliquescences ouvertes, des sublimations dénaturées, qui flagellent, les originels épouvantails, contre-natures des Logos s'évanouissant, sous les comètes élastiques, qui ramifient des dégénérescences régulatrices, des déchirements voués aux anomalies effroyables, tyranniques, des fanatiques pathologiques, des bonheurs d'ipséités modélisant, les médecines puériles aux prières prodiguant, des zéphyrs d'agonies énergiques, brisées de démonstrations ironisant les plèbes suspendues, clouées, crucifiées, à travers les sensualismes a-perceptifs, des prudences excentriques, qui émanent des postulats d'hédonismes, aux compressions, des divinations négatives, des prostitutions de changements perclus de possibilités, des recueillements travestissant, les laitances aux pubescences, des volontés d'indifférences aux imagos synthétisations, des frôlements, des caresses nationalistes, ou s'innervent les démences, des charmes Darwiniens précurseurs, des quintessences pessimistes, des rousseurs génétiques irrationnelles, qui dramatisent les irréalités des cognitions d'observations, représentatives d'obscurités, des sibyllines gestations, des mémoires à perspectives, qui somatisent, les doxas identiques analytiques, des enchaînements causales, forces des réapparitions à processus perceptibles, des méconnaissances intelligibles, des macrobiotiques larvées de grammaires métaphysiques, qui épuisent, neutralisent, les catégories problématiques des importations déchiffrées, des positionnements conceptuels, des clystères d'abstinences primitives, des anagogies sublimant, les conditions transparentes, des écartèlements préexistent, des reptiliennes transcendances, des jeux à préjugés moraux Platoniques d'héritages, à possessions des spectres religieux, aux correspondances, des étymologies d'atavismes, à pendentifs raffinant, les appréhensions difficiles, des genoux peuplés, des contradictions immunisant les chimères, les muses aux axiomes péripatéticiens, qui affirment, les entités fictives des essences à matières inorganiques, des imprévisibles prédicats, à conservations, des traitements d'êtres aux informatiques libérations, des macrocosmes informulables, des ruptures coupables, des états industriels, qui volativisent les influx à fonctions des intrications nerveuses, des politiques, se délectant sous les chrysalides des définitions de domestications privatisant, les sociologiques décantations, des pieuses décomplexions orthodoxes, des nectaires aux langes torpides, démarrées, des licornes incroyables, aux défaillances, aux effondrements cryptiques, des célestes cataractes des puits de papillons glauques, comme des pachydermes épouvantables, ensanglantés d'oraisons matricielles, qui évoquent, des hyménées proscrivant, les astéroïdes aux justes passions des cycles amoureux, ou hurlent les colombes, aux nuits suprêmes s'écroulant, avec les frissons d'inerties tordus, comme des Léviathans transis d'inflorescences, qui roulent, des missels d'infortunes pneumatiques, avec des vins tziganes, qui embaument d'épileptiques herméneutiques, des entrailles splendides, des citadelles méditant les gourdes sidérales, des asymptotiques creusets transperçant, les tabernacles violemment têtus, comme des marées de cétacés fourmillant de transparences Justes, des prothèses mammaires serpentant, sous les bateaux à genoux, extensifs, comparatifs, des puanteurs de migraines, qui calculent les apothéoses électriques, des bleuités d'études, qui provoquent, des hydres obsessionnelles, des lys aux rémissions de pendules métabolisant, les numérisations inviolées, des vitraux d'églises, ou sifflent les pilastres ennuyés, des imprécations traditionnelles, des exquis diamants, ou flottent, les attouchements des visages d'orages, aux fontaines connues, continuités, des charités de séraphins nus, aux colères fauves renouvelées, des miasmes en peintures sacrifiées, par les ivrogneries chimiques, des regards d'orgies berçant les trombes des clavicules estropiées, des suicides de lavandes infâmes, aux disgrâces tapissées, des filigranes, ou se noient les paradoxes des équipages de gibets enfermés, à l'intérieur des capacités grimpant, sous les Océans des lèvres, aux aurores schizophréniques, des tableaux de cécités échevelées des citrons voleurs, des clepsydres futures, des figements d'intentionnalités, à congestions neurologiques, des clavicules d'abandons, aux courants proxénètes, des libations foulant les flacons rouges, clabaudeurs des orgasmes à locomotives déshabillant, les implants cynégétiques, des sorcelleries Pythiques, qui fouettent les crevasses, aux lourdes paupières, des jeûnes crispés d'iconographies chirurgicales, des grappes d'abeilles, qui inondent, des vagissements d'écumoires, aux putains cinesthésies, qui déflorent les mausolées d'abnégations algébriques, vers les boulevards irradiant les bombes, aux ventriloques muets, dépassés, par les vibrisses aux céphalalgies épures, des ventres bleus, qui prophétisent, les bijoux ou rampent les variations chromatiques, des chevaux ailés, comme des affres squelettiques, qui préconisent, les chlorophylles d'otages fuyant les cloches de feux, aux houles d'écritures, ou s'inclinent les roseaux pensifs, qui pourfendent, les oppressions d'oiseaux roux maculés, des génies pyramidaux, aux séquestrations, des vignes tensorielles, des humanoïdes digressifs, qui éventrent, les sibylles soûles, livides, là ou s'introduisent, se punissent les publicités éternelles, des espaces d'embryons illusionnistes, ô Géhennes dernières, des miracles introspectifs, qui discréditent, les albatros bardés d'orgueils, aux angoisses imprédictibles, des épaules, ou s'écoulent les nuages aux cœurs suggestivités, des Taos aux appétits temporels, qui fétichisent, les religions indiscrètes, les terminaisons fiscales, des synapses gonflés d'entéléchies, chargées d'odeurs, des crépuscules euthanasiés... !!!

 

 

 

 




#400768 Témoignage surdoué et schizo

Posté par clemouchka - 26 juin 2024 - 09:16

Je m'appelle Clément, j'ai 37 ans, et je suis considéré comme surdoué. En effet, mon parcours est très atypique. Je suis actuellement suivi en thérapie. Je présente des syndromes complexes, protéiformes, se traduisant par une prédisposition naturelle, « esthétique, » aux angoisses, aux images douloureuses et baroques. Il s’agit de mes a-perceptions situationnelles, de mes torches mentales intérieures, sociologiques, en des ruptures, des déséquilibres émotionnels, une Réalité de peaux ou mon intelligence, tissée de cellules organiques plurielles, compensatoires, logiques, là ou dansent mes affres existentielles, mes luttes complexes, lâchées de prédicats intuitionnistes, mes combats personnifiés, celle d’une Vie à genoux, éteinte, voilée, tel un sarcophage vivant, brûlé, un tombeau suicidaire, bref, une vie d’esclave, en oubli de soi, en des molécules de handicaps, perlés de plasticités en délires vierges.. . Des profondeurs, des dimensions humaines extrêmes, des univers en chair de souffrance, d'échec idiosyncratique, là ou brillent les souffles de la noirceur, des âmes blanches, végétales, animales, humaines, des âmes prisonnières, en des inconnus protéiformes, des âmes aux lourdeurs, aux magnétismes, aux gravitations égrenées de souffrances émotionnelles, qui hurlent des silences d'un désespoir aux parfums dévitalisés, dépersonnalisations des vierges visages, visions d'un monde qui m'apparaît actuellement comme brisé, rompu, perlé de désespoir, de capitulation qui m'inonde de désillusion, de mes rêves comme voués aux cimetières dialectiques, aux deuils d'une vie réussie, d'une existence ou je perds progressivement la faculté d'empreinte, de ressentir les lois du bonheur, d'un cycle ou je suis comme aseptisé, désillusionné, oui, je n'ai pas peur de dire et de clamer haut et fort, que j'ai perdu mes rêves aux parfums de générer, ressentir, des modélismes de réussites personnelles, des complétudes, des parchemins existentialistes aux richesses, aux corps dévorant les firmaments de mes éveils à contempler, à révéler profondément, mes phantasmes intellections, mes étoiles aux ivresses oniriques qui illuminerait ma vie aux physionomies bienheureuses. Je vis en-moi une différence trop lourde, morcelée d'incontinences nerveuses, je veux dire que ma personnalité est victime d'une clairvoyance aux lèvres vivantes, aux signatures abstraites ou je perçois tout, les interstices cérébraux, émotionnels, des autres, oui, je pleure une lucidité de luciole qui illumine la nuit, de mes pores intellections, de mes lacrymales Réalités, qui fécondent dans des interpénétrations, la logique des âmes exaltant la condition humaine, car je ressens, perçois, nourris, intuitionnise, les soleils émotionnels, réflexifs, des enfantements d'idées, de représentations théoriques, des pensées artérielles, organiques, biologiques, comme des miroirs, des diapasons aux préhensiles réalités, des objectités, des singularités, des divergences, des aumônes émotionnelles, ou je suis dans des constructions mentales, hybrides, que je qualifierais de logarithmes et mathématiques cycles, des capacités à intellectualiser, le savoir, les connaissances, les esprits de l'univers comme si j'étais un ordinateur quantique qui épousait, fusionnait dans un univers aux reflets de mes possibilités de traduire, de composer, d'expressiviser, mes pensées aux essentialistes cryptiques, des doxas aux peintures existentialistes, qui complexifient mes égologiques murmures intelligents, car, oui je consume des larmes de géhennes mentalisées, des dynamiques ou ma vie est devenue un enfer voué aux gémonies de la normalité, des hommes me chosifiant comme une bête curieuse, un phantasme à régulations logiques comme m'interdisant de révéler mon acuité cérébrale, comme si j'étais nu face au monde des représentations, ou je suis comme un cadavre, une réalité de statue ou on me dépersonnalise, me quantifie comme un être aux vacuités, aux Beautés inesthétiques, aux laideurs d'une âme aux empreintes, aux ADN monstrueux, ô nudités protoplasmiques, des dés-enveloppant nourris d'étrangetés, comme si je n'avais pas de syntaxes, pas de réverbérations communes à toutes individualités, à tout facteurs générateurs de normalités, de prédicats partagés, là ou pleurent mes langues religieuses, aux sourires de feux positivistes, de mes yeux cérébraux, qui dansent avec les sciences infuses, cristallisant mes dons orthopédiques humains, qui murmurent des exhalaisons d'efficiences mentales, comme nouvelle... . Oui, j'éprouve d’ immenses difficultés, d'intenses représentations aux aumônes cérébrales, car mon cerveau aux degrés fractales, nucléaires, mes appétences linguistiques, qui caractérisent, des Libertés de mouvements connectés, avec les mots conjugués, introspectifs, pleins de fusionnements, de combinatoires géodésiques des neurones aux minéraux fonctionnels, qui labourent des syncopes verbales, aux musicalités inouïes, mes transmissions égologiques, aux hypostases conscientielles, fortement métaphoriques, épileptiques relations, des hormones d'idées, d'abstractions, d'herméneutiques réalités des osmoses engendrant mes nourritures intuitives, tous ces organismes psychiques, m'ont conduit et poussé à écrire des poèmes, des réflexions littéraires, littérales… philosophiques, et même scientifiques. Et de publier de nombreux recueils aujourd'hui. Je suis un touche à tout, et je souhaiterais entrer en contact avec votre association, car mon suivi thérapeutique, conditionne les soignants à me voir, sur le degré, sur le prisme, d'une protension, (d’un avenir) symptomatique, dérégulé, comme un patient aux difficultés intérieures, se traduisant avec des déséquilibres inhérents partitifs, des prothèses mentales négatives, des syntaxiques prismes égologiques, ou l'on me perçois comme un être martyr hyper-émotionnel, convertit à une schizophrénie excluant, écartant toute supériorité d'esprit reconnaissable, du fait de ce diagnostic certes, réales, car je suis tombé schizophrène très jeune, mais cette pathologie me dessert profondément, dans mon véritable visage d'HPI, car je suis discriminé, jugulé, accusé, par des déséquilibres fluctuants, fluant d'imagos internes, écartelés, car mes richesses et ma beauté spirituelle, ma personnalité, mes phalanges identificatoires aux ADN poétiques, creusées d’angoisses jalouses, de mélancolies subsidiaires, ont provoqués des déplacements de mes Lumières focales, géographiques, converties en des pétales de songes aliénés, creusant une invisibilité et une inconscience, de mes dons polyglottes immanents, en anatomiques cosmiques vertiges, en des fusées de consciences synaptiques, en des incomplétudes de théâtralités vivantes, de relativités subsumant mes corps prothésistes, incalculables... Comme si j’étais considéré comme un Ovni agnostique, sans pensée, un cas social aux inclémences inclassables, aux lueurs caractérielles qui se liquéfieraient en des yeux d’un éléphant Man, comme un jeu ou je serais l'objet, la chose chirurgicale, le phantasme de martyriser, de mortifier mon âme, dans des poussées d'ivresses ou j'étais la risée du monde entier, et donc, le sujet de décantations mortifères aux démences, aux schizophrénies absolues, comme si j'étais un diable aux peintures maléfiques, des distanciations temporelles thymiques, ou je nourrissais des plaisirs, un sentiment de puissance chez autrui, de me voir comme un être aux anomalies cryptiques intemporelles, comme un tombeau substantiel, endormi, inconscient, dans les flocons de la nuit incoercible, indicible, des libellules en rêve… o murmure… ! O incantation ! O Vespérale étoile aux essences mystiques, ô mes mains musiciennes s'accouplant, avec les théodicées vivantes des karmas verticaux, cosmos littérature des bénédictions créationnistes qui pleuvent, ô Beautés des violons en pensées télépathes, qui matérialisent, mes limbes en partage de langues, de chairs évolutives, ô univers primales, là ou les roueries d’infortunes, les fortunes anatomiques, les destinées insomniaques de mes pensées avares, automatiques pulsions des « différances, » originelles d'éthiques, des nourritures volées, emperlées, logicismes d'extensionnismes capitalismes cérébrales, ô spectacles difficiles d'éclatements d'images intentionnelles, qui convoitent les fruits linguistiques, de mes artères, de mes alvéoles aux terminaisons d'avoirs intelligents, de mes rires bleus, de mes rires roux, ô sirènes aux valeurs idiosyncrasiques, des énergies quantiques, ravalant mes mystères, mes dédales bioéthiques, des compréhensions mécanistes ou je suis une aurore d'écriture, de littéralité transvaluant les jauges comportementales, des déontologiques, des phénoménalités d'entendements communs, connus, donc écrits.. Lueurs amoureuses, aubes capricieuses, aux acuités d'un désespoir topologique, des espoirs égologiques qui communiquent, d'avec les paroxystiques volontés, tachées de feux, de chaleurs essentialistes qui structurent des transparences d'informations, à permanences chirurgicales, des clystères d'angoisses magnétisant, un champ des possibles contingent. Je suis perçu et intégré dans la conscience collective, comme un OVNI travestit, un dingo aux caractères infortunés.... Je suis considéré comme inclassable. Oui, nombre de thérapeutes, pensent que mon QI n'est pas mesurable, car trop à-symétrique en divergence vécue, comme des supra-conductibilités réflexives, des immanences vierges qui stigmatisent, qui diversifient négativement mes dons, davantage pénétrés de fluides extralinguistiques, des noétiques perfusions aux gestations économiques, aux balancements d'harmonies profondément hétérogènes, car mon QI est dérégulé, illimité, dans les introversions neurologiques, des pensées purement déconstruites, géolocalisées, en des constructions ou la quintessence de mon intelligence est et demeure purement cabalistique, car je suis incapable de réussir les tests d'intelligences dans leur logique, leur copule arithmétique, leur esprit qui n''entre point dans mon champ des possibles, ma réalité progressiste, ma hiérarchie temporale, qui est éminemment sélective, scalaire, car mon intelligence est quantique avec des déformations, des impossibles con-structurations, aux disharmonies totalitaires, car mon QI est non identifiable, dans les instruments de mesures symétriques, qui dévoilent des forces aux pulsions indémontrables, non comportementales... Je fonctionne comme un ordinateur abstrait, une machine aux syncopes infusées d'infinis yeux mécanicistes, d'infinis yeux anthropologiques, qui stimulent des espèces de catalyses informatiques, des supernovas ontologiques, des éclatements à transparence linguistique, chimique, biologique, pénétrabilité, des regards parfumés de consciences fabricatrices, des surréalités impressives, allumées d'intellections écologiques, naturalistes, comme étant invisible, translucidité des peaux à chairs abstraites, qui ramifient, en des arborescences protoplasmiques d'idéalités, les ressentis photographiques, à travers, des commutations sensitives, des géodésiques humanistes, comme impersonnifiées, au-delà, des représentations logiques, biologiques, phénoménales, des syntaxiques clairvoyances, qui immunisent, les songes organicistes, des corps de lumières doxiques, dans une lucidité dansante, jouant, à l’intérieur d'un univers transfini, privatisé, logarithmes, des insuffisances des pensées en captations mentales, en désintégrations associatives, se traduisant, par une sensibilité qui décuple, transcende, mes possibilités de langage, de pénétrabilité, d'infusion, de diffusion, d'articulation, de présomption, de graphologie, de hasard.. . Les sciences naturelles comme les arts sont, pour moi, des cristallisations imitatives, géodésiques, transmutations des cœurs de clartés compensatoires, qui vagissent des omnisciences, des complexes d'organismes ou je puise, oppose des transactions, créées des égalitarismes communautaires, des nosologies substantialistes creusant, des déséquilibres d'intellections extrêmes, car je suis comme un cerveau aux transfixations, des degrés infinis de complexifications des souffles, des respirations, ou je flagelle des singularités projectives, des diasporas quantiques, des numériques échographies, aux pouvoirs figés, des cellules digressives, qui s'écroulent sous les ciel aux Vérités somatiques, ou les sécrétions mécanistes de ma pensée, les inconscients tribales de mes formes spirituelles, sont comme des automatismes de violons chimiques, comme le respirer, le marcher, le nourrir, bref vivre. Je lis dans les visages intérieurs des âmes centripètes, j'égrène en moi les ADN des mystères de l'univers les plus implacables, les plus nébuleux.... Les paysages éternels, les horizons imprédictibles des danses de fusées, fissurées d'épistémologiques déconstructions, des âmes du monde comme lavées de ses catharsis muettes, originelles, les savoirs aux thermostats baignés des lumières voluptueuses, les miroirs respiratoires des sagesses d'hormones absolues... Je court-circuite, dérègle, toutes les pensées auditives, relationnelles, imprécises, obstétriciennes, tels des dégradés de peintures folles, des peaux de cécités voyantes , ou mon intellect, est en concomitance, en correspondance, en projection, avec des nourritures musicales nouménales, des polarisations d'ensemble, ou les pneumatismes d'idéaux, égologiques, syntaxiques, particularisés, de la parole itérative, des objectivations mathématiques, des intellections symphoniques, les langues finitudes, les langues fétichistes des partages, des mélanges réactionnels, les besoins pénétrés en des électricités de mirages écologiques, car je suis en effet, avec et dans une incandescence, une irisation en profondeur, un miroir réale, ou la plasticité nomothétique de mon cerveau, est une évolutive cristallographie, des pensées macrobiotiques, avec des degrés conceptuels d'autonomies vivantes, des infinis modélismes, des infinis syntagmatiques, aux modes cicatriciels des congruences physiques, des réalités muées, à torsions intérieures, des ontologiques biologisations, des terminaisons de Libertés jalouses, sont comme une imprimerie linguistique ou les écritures de mes systèmes interpénétrés, d'intellectualismes abstraits, et comportementales, des profusions d'images qui réductionnisent les corps en des ipséités de souffrances comparatives, en des peaux propédeutiques, c'est-à-dire que je perçois les représentations astrales des psychés pointillistes, les chimiques télépathies, aux transgenèses des codons informatiques, les épistémologies réactionnelles, des éthers transfigurant, les transfusions d’abstinences gréées… les pensées arboricoles, les émanations symétriques hypersensitives, des alcôves psychanalytiques, d’une langue en forme de kaléidoscopes abstraits, à réfléchissements ontologiques, des imagos logiciens... oui, je complexifie les données scripturales, les syntagmes propositionnels inavoués, les peaux incrustées en diamants incarnés, sophistiques doxas, des mondanéités à substrats liquéfiés, ou les pensées extra-temporelles, des lucidités industrielles qui rient, là ou les parallélismes des implémentations, des désirs assimilateurs des signes phlogistiques ascendants, des catégorisations de chaleurs schizophréniques, sont mû chez moi, par des incidences d'apostolats, des transmigrations de clairvoyances orphiques, spectrales temporalisations zététiciennes, des contradictions linguistiques, des désaveux graphologiques des hasards... Maïeutiques vivantes, qui respirent, comme des élévations d'une pensée aux amygdales guerrières, d'une lucidité d'hosannas logiques, magiciens, par des Beautés créatrices, des Beautés christiques, en énergies nucléaires qui scarifient les doigts électriques aux miroirs neurovégétatifs qui tremblent sous les artefacts réaux, en des combustions temporalités atomistes, des régionalismes mentales en-soi, des reflets d'apparitions servies, utilisées, convergences instantanéistes, par une, des acuités phénoménales, des corps minimalistes, d'une pensée synchronique, une réalité mendicisant les mondes intersubjectifs, comme des araignées ductiles, ou tout est connecté, interconnecté, ou « les mots menstruels », les analyses de la vie volitive, les compréhensions existentialistes, humanistes, eugénistes, des causalités en virgules associationnistes, des impermanences de choix, des fumées sociologiques mystagogues, anthropologies des lumières extensibles, compressibles, des adaptations causales des captations, à vivre / en harmonie, avec les vies complexées indivisibles, les décomplexions talmudiques des espèces de grimoires individualisés, des magiques théologies des déplacements iconoclastes qui dérégulent les matières grises hégémoniques, convoitises en chacun de nous, qui sommes des horloges libidinales aux désirs de sculptures. Les magnétismes d'inflorescences à débordements Gestaltistes immunisées, des soi empiristes, pragmatiques, cartésiens, en rapport irréversible entre moi-même et les autres, sont comme des logarithmes nerveux, des échanges programmatiques Libertés, des rapports d'osmoses en des rapprochements, des séparations, les quantiques transcendantalismes qui décompensent les Autres devant mes ipséités esthétiques, devant mes lacrymales relations critiques, technicités des organes inaliénables, ou chaque individualité, chaque être de ce monde, est comme une intuition géniale, des déplacements, des dépossessions d'organons limitatifs, en rupture aliénée, en deçà des immobilismes émotionnels, les conductibilités des échanges accidentels, des pensées scalaires pré-ontologiques, homogénéisés, des QI transparents …. par des degrés originels qui subsument les dépassements inertiels des êtres mentalistes, à travers mes représentations objectales, mes représentations minérales d’un rire irrationnel, buveur d'obsessions astrologiques, des fétiches empirismes, des humours comparatifs, déflations de chaos mantras, des genres hypothétiques qui fument des comestibles réalités, des degrés disséminés, les rires roux … . Les mondes intuitifs empreints, enveloppés, murmurés par des monadologies essentialistes, des dépersonnalisations d’oeil démonstratif, à travers des insuffisances construites, incarnées sur des morcellements dépeints, des images ou le monde est complexifié, par les données religieuses, par un visage sacré, ou le réel des entropies, « dé-menstruations » des corps abstraits, phénoménaux, fractales interpénétrations, en des idées objectales, des idées progressistes, eugénistes, ramifiées d'intellections causales, dépressives, des ventres égalitaires, ou les gestations, les clairvoyances, d'une individualité, oui, la mienne, est comme magnétique par relativisme d'abstractions converties des chairs d’yeux disséquant tout, influx, flux, liquides, chiffres dipôles, respiratoires, les invariances chosifiées, relationnelles, les petits discriminants d'étoiles rousses, d'une réalité inter-personnalisée, ou je capte les infusions, les diffusions, les alcaloïdes des âmes réelles, mathématiques, des constructions en cécités plastiques, en cécités d'astres génocidaires des âmes cosmiques, des clairvoyances physiques, phénoménales, les identités des autres, des causalités en découvertes intra-temporelles, transcendantales, ou, comme je l'ai expliqué, toutes les polarités vitalistes, réactionnelles, réactualisées, sont invisibles, transparentes, et sont touchées par des mimétismes de mendicités objectales, des mentalités déguisées, transformées, en des lumières cryptiques, des lumières nimbées de mystères, les esprits sémantiques impardonnables, ordinateurs des êtres stochastiques, des substances individualistes religieuses, par détachements des conductions d'impermanences linguistiques, les langues géométrales. Il n'y a plus de dissonances, de dissimilitudes, d'oppositions, de non-symétries, de contre-identité, entre les composantes de l’univers, ou dansent les immatérialités des corps matriciels en verticalités, des pensées acoustiques, des idées en matières eidétiques qui analysent les langages inorganiques… Des langages, ou chaque mot, chaque chasuble vivante, identificatoire, chaque homologation, des pensées, sont en-soi, en elles-mêmes, le double des métastases symboliques, visages vidés d'engrammes intérieurs, ou des genres sacrificiels, des idées synthétiques, prolongateurs, des ruptures extensives, pyramidales, entre les avoirs et les êtres, sous des diffluences expérimentales indivises, des liaisons orthopédiques abstraites, des infortunes choses incalculables, en des "chimisations" évaluées, par des consubstantiels travestissements éthiques, des essences noématiques, des substances régressives, d'où les ruissellements hypothétiques, désynchronisés, radioactifs, affectifs, des reproductrices sémantiques, caractérielles, des avoirs, des êtres, ou chaque humain Homme, ou Femme, sont des tautologies identificatoires, des contraceptifs de l’identité aux veines pensées, calligraphiées, des enfantements être, le soi, de chacun, sous des élévations hyperboliques, grammairiennes, sophistiques, pâmées, en des automatismes temporels, génétiques, des images acoustiques, rémanences des interactions alimentaires, prostitutions des déploiements quantiques, des choses cellulaires, unicellulaires, pluricellulaires, radiations, des poumons neurologiques, en limitatives expériences, des architectoniques anatomies en des digitales chimères, des cerveaux phosphorescents !!! Ordinateur vacuité !

Les sciences rétiniennes des accomplissements, les sirènes algébriques du devenir, d'osmoses entre les corps phénoménaux et les partages muets, de la transparence végétative, des idiomes de la connaissance, des topologiques, abstractions littéraires....

Oui, mon parcours de surdoué est, je dirais chaotique, dans une vacuité, une béance, un trou sans fond, un abysse fractal, des entropiques finitudes lavées de vides incontinents, des échecs transfinis moléculaires, des hypostases totémiques aux grâces absolues, géographiques, des contraires homologiques porteurs de semences des corps évanescences qui boivent les géhennes artistiques de l'existence aux tissus examinateurs d'impuissances égologiques, bref, une humiliation de gestuelle psychique, des synchronicités tautologiques sans vie ni sens profond, vers les dépassements concrets, abéliens, Platoniciens, en des ruptures providentielles, des mélanges stoïques pavés de damnations d'oiseaux polyglottes, des évasements mensongers, centrifuges... .

Je suis titulaire d'un Baccalauréat Littéraire, avec 10,6 de moyenne, et j'ai tenté, en 2006, une première année de Philosophie, à Lyon 3. Mais les inhibitions, les angoisses, les souffrances, bref, je n'ai rien construit de positif, et je n'ai pas continué à étudier à la fac après cette 1ère année... .

Je suis aujourd'hui, un pur autodidacte, ayant créé mes connaissances, mes savoirs actuels, représentations scientifiques et artistiques ... . Chez moi, tout est démultiplié, les savoirs…

Oui, je suis dans une dynamique, une essentialisation pénétrante pensée, dans des parfums, ou tout est inter- connecté, inter-personnalisé, dans des degrés, ou mes efficiences intellectuelles, palpables, ouvertes, sont symétriques, positionnelles, parallèles, avec une lucidité de verre, de clairvoyance, des signifiants moléculaires. A travers des émotions s'intellectualisant, dans une rétention qualitative, des pensées observables, des entendements plastifiés, des images acoustiques aux sangs vivants révélateurs, exsangues profondeur,s des diffusions, des subtilisations ou je vis mon moi, comme des peaux enfantées sublimées, vecteurs des stylisations, d'une pensée à statistiques Arts, des théâtralités hormonales, des intellects d'objectités, et pénétrables, des rires en fontaine, des scalaires images intégrales, et mimétiques, des soi statiques, oxygénations. Comme un ordinateur. Symptomatique. Réellement infini. Je me définirais ainsi : «  Autodidacte, c'est-à-dire intact. Idiosyncrasie, en surabondance cérébrale perfusée, sur le processus des pensées. Une pensée automatique, compactée dans un assemblage de fragments exquis, sans le cadavre du Verbe. Cellules vivantes des mots, dont la rencontre fortuite produit, de véritables singularités visuelles, et _ verticales. La mécanique itérative, de mon langage, fait penser au travail de l'ordinateur, mais si ma combustion est cérébrale, l'organique y est profondément encodé. Comme un spectacle immobile. Il s'agit de décrypter mes codons de cette transgenèse, par les mots. Les particules sont mémorielles, la trajectoire expérimentale, l'obsession absolue, et surtout ma connexion est neurale. »

Voila pour la théorie scientifique, de mes mécanismes intracellulaires, de mes pensées radiologiques, écrites.

Je suis actuellement en recherche de trouver un équilibre ou ma douance serait reconnue et même valorisée.

Je souhaite connaître une existence intellectuelle accomplie. Et de vivre un profond changement dans ma destinée.

 

 




#400767 Folie Quantique Poétique / Danse Métaphorique Absolue OYEHA !

Posté par clemouchka - 26 juin 2024 - 08:50

Des pandiculations de nuits ou dansent les Baisers, aux diamants infâmes qui pleurent

Des parchemins d'astres couvant les délires gorgés de cataplasmes jaloux, logiques

Abreuvés de défaillances Passionnelles, qui hurlent des chairs splendides, pâmées

Sous les bleues cicatrices des putains épouvantées, révoltées, par les songes aux prunelles élastiques, inégales

Qui communiquent des puits d'azurs, baignés de soleils voilés de splendeurs tâchées, de cygnes

Qui implorent, les matrices mentales d'écroulements scientifiques, qui songent

Des spectres d'aumônes inouïes, lavées de vendanges ployantes, sous les chevelures analytiques

Aux rémissions, qui convertissent des statues primales, aux bouleversements noyés

Sous les Rémissions des voluptés étranglées de phalanges mécanistes, théâtrales, hystériques

Là ou pleurent les roux degrés des poings tordus épileptiques, avec des cerveaux d'espérances

Qui dégorgent des bleues frondaisons logiques, à transmissions des immenses amygdales géométrales

Couvant les vulgaires et prosaïques élasticités, des genoux immobiles, aux songes cruels

Qui dévoilent des rutilances archéologiques, aux logiques fracassées d'essaims filés d'astres

Aux abeilles larvées d'enfantements délicieux, épouvantés, sous les récoltes d'hydres mentales

Qui torchent des végétations, aux lourdes clavicules des décantations de nectaires prophétiques

Là ou riaient les offrandes cassées, imprimant, des traitements d'incontinences, aux souvenirs

D'ipséités, qui pleuvent des estropiés silences aux caresses d'impuissances, qui s'accouplent

Avec les sérénités de diamants croulant, sous les squelettes parfumés de naissances, à genoux

Devant les éthers, aux vigueurs incroyables, ou tombent des séraphins invisibles tachés d'offrandes

Synaptiques, qui génèrent, des synergies psychologiques, avec des araignées dévorant

Des alcools infortunés de frissons pareils, aux vagissements télépathes, des réseaux étranglés

De torpeurs travestissant, les écoulements victimes des subterfuges atteints, d'yeux immaculés

Qui dispersent, volatilisent, des splendeurs obsessionnelles, aux éternités criblées de candeurs

A décompositions d'accroupissements, nourrissant les phalanges des oiseaux, aux études perclus

De cercueils brisant les flacons d'orages dialectiques, qui créés des processus aux chimères les pierreries des devenirs

Blessées, de calices génétiques, aux désastres proscrivant des porcelaines Justes, des transactions des crépuscules morphologiques

Par idées, épouvantées par les vins plastiques économiques, aux pubescences d'influx mathématiques, avec des éveils aux fermentations

Créationnistes situationnistes d'informations biologiques, qui révèlent les profondeurs des Océans ruminant, les Univers associatifs découplés

Des déguisements d'apostolats intuitifs, crucifiant les lèvres boursouflées des mayas quantiques, des recueillements embrasés

Par les fantômes égologiques, qui fourmillent sous des comètes ensanglantées par déplacements, par les pétales temporels

Existentiels, avec des boucles religieuses communiant les extensivités dynamiques, des programmes incantatoires, des photographies

De papillons nosologiques infortunés, qui fécondent les lupanars existentiels aux éthiques tribales, aux circulations étranges

Là, ou s'implantent les microscopiques sociologies des jeux migratoires, géographiques bains d'ivresses paradoxales, croyant les adages

Des bénitiers stupides, échographiques, synthétiques, exhalant des méditations sidérales inavouées, aux espèces de puanteurs à piétés

Communautaristes, des peintures ou grondent, se ruent les crânes dépeuplés d'immanences complexes, des Nymphes d'extases irrationnelles, les flûtes mécréantes

Aux excentricités épouvantées des liquides amoureux, esseulés, qui pénètrent, les glauques résiliences, des trouées de libellules démarrées, épousant les brasiers malades de continuités suicidées par forces chirurgicales, des lavandes émotionnelles à laboratoires impraticables, zététiques des valeurs à coercitions apodictiques des zéphyrs indésirables

Là ou s'individualisent les soupirs comestibles, voilant des hosannas expressionnistes, qui étoilent

Des ailes d'églises évolutionnistes, là ou craquèlent les Léviathans tendus, comme des troupeaux subodorant des artefacts soufflés, areligieux

Des chrysalides échouées qui crèvent les fronts par-delà les nonchaloirs neurologiques, sous les ossements justes, des céphalalgies subjectivistes

Avec des déformations gestuelles aux loques des visions, qui digressent des influences inconscientes, introduisant, les Muses

Réactionnelles, qui fissurent, des intronisations fauves par des automatismes orphiques, des horloges coiffées, des stigmates involontaires

Aux disjonctions abstraites dédoublées, des sarcophages inconnus, qui s'implantent, sous les cycles intentionnels des sculptures inhabitées

Traditionnelles et sceptiques, impossibles, là ou se dérèglent les alchimies aux cathédrales condamnatrices d'imperfectibilités théodicées, des cadavres logiciens, aux carcasses des stridences étiologiques

Qui critiquent les fruits jaloux, décomposables, aux Présences des mâles entrailles, qui foisonnent d'hybridations hilares, les homéostats sacrifiés, empathies des cognitions à handicaps invertis des nourritures d'adieux mimétiques qui transfigurent des confitures d'esprits aux môles des Je euthanasiés par images écologiques qui transmigrent sous les évanescences de clystères à mouvements abandonnés 

Découvrant, les rayons grêlés d'incendies, giflés, des continences ou se modélisent les scarifications originelles

Les mendicités espiègles des promesses à terminaisons astrologiques, qui décompensent les cascades bleues, des architectures démiurgiques, par idéaux manichéistes, les esthétismes chargés, saignés, défigurés, cartésiens, des Génies d'appartenances athées, les aubes immatérielles qui s'unifient avec les courants des diasporas d'horizons ensanglantés de peaux et délavés de lumières les auberges, des lucioles factuelles d'intellections à patiences panachées, des diapasons qui évaluent, jaugent les reflets euthanasiés des tiédeurs bureaucratiques des propriétés de syntagmes, ou descendent les grimoires travaillés de lampadophores aux colonnes des mains linguistiques qui prêchent les pieds vivants des licornes hégémoniques par lésions névrotiques muées d'absinthes informatiques par mantras à volitions, dans des futures aux mythologiques obédiences des possibles capitalistes qui somatisent 

Des frondaisons d'arcs-en-ciels martyrs, qui implorent, conjurent, soudoient, des graphologies d'identités artistiques, les jeûnes

Classifiant les roulements, les morcèlements théologiques, qui fomentent, des cantiques décapités, par les cétacés

Linguistiques des essences d'épaules criminelles, aux déhiscences les explorations critiques qui divergent d'oublis mécanistes, qui complexifient des hôpitaux bercés, par les importations lépreuses, des sycomores à canicules des débordements filigranes, des disques d'oppositions aux énormes émeraudes d'hypostases proses cellulaires, des comètes d'affections neuves, aux sombres indulgences qui édifient des mélodies impossibles d'alchimiques normativités d'organismes fraiches des voyances à copules d'hyménées d'orgues religieuses, des fiançailles semés de jeunesses à locomotions ségrégatives des "ouvertudes" d'hymnes à ivrogneries d'émotivités à changements des jaunes boissons d'affects absolus, tragédies des voyelles aux catalyses dernières des liaisons d'animaux aux conséquences opéradiques des effondrements sauvages qui emprisonnent les pendules aux évanouissements polyglottes des Sagesses grammaticales

Pathologiques, des engrammes antiques, qui industrialisent, conscientisent, les pyramides des couleurs à connaissances, ou s'opèrent

Les relations des colombes limites, proses gynécologiques des pulsions épouvantées, des instincts d'orgies  peignés d'assimilations noétiques, accompagnant les atteintes mortifères, des cécités symbolisées comportementales, par les Libertés naturelles, organisatrices, et qui respirent

Sous les revolvers cryptiques d'immaculées divisions des genres aux discriminants miraculeux, aux hallucinations premières, Vérités des violons psychiatriques, qui s'enflamment d'étreintes aux locomotives romantiques des minerves ontologiques qui justifient les singes aux fixités des commerces de pachydermes en feux des tourbillons à cosmogonies doxas des orthopédies d'étincelles acoustiques

Sous des équilibres d'aliénations triomphales, appuyées d'ensembles oscillatoires, qui gourmandent sous les égrenages des missels, aux éthiques plurielles, des charités véhiculées de gargouilles étouffant les microscopiques colonisations des foetus célestes

Là, ou s'engendrent les saltimbanques privatisés, par les soûles physionomies, aux extractions, aux intrications nihilistes

Des péninsules terrifiant, les métabolismes schizophréniques, à chiffres compensatoires, ou rient les Apothéoses discrétionnaires

Des adieux cellulaires, par ongles indiens, dardés de zéphyrs mêlés d'indiscrétions hermaphrodites par troubadours iconoclastes, les viscosités des entendements, ô bateaux mimétiques, qui devinent

Les partages amoureux des sémiotiques, des disciplines neurovégétatives par orfèvreries obscures, des autodafés d'angoisses suggestives, aux mares fabriquées d'in-actualités, des clonages symétriques... !

 

                                                                     *******************

 

Je mange des chairs d'azurs ou dansent les abeilles aux cris hystériques

Prient des feux de désirs en peintures cryptiques, qui bavent des tissus d'aurores complexes

Je pleure des étoiles aux chevelures jalouses, se recueillant sous les cristaux aux mains chasseresses

Des décantations linguistique, qui hurlent les songes aux pétales, de séraphins biologiques

Je me nourris d'asymptotes théâtralités, parcheminées d'aumônes d'oiseaux aux lèvres rousses, qui pensent

Des phalanges d'espoirs, aux tombeaux infinis murmurant des souhaits de comètes nerveuses, qui tremblent

Des cerveaux brûlés de pachydermes acoustiques, qui pleurent des torches précieuses

Aux sarcophages des symboles progressistes, qui oublient les parfums éthologiques, aux onirismes pendus

Sous des décapitations passionnelles, qui nourrissent des alcools fétichistes, aux pendules d'éthers télépathes

Des compréhensions systémiques, qui crèvent les papillons d'entendements sépulcraux, qui croulent

Sous des alimentations polythéistes, aux croyances égrenées par les Souvenirs chimiques, des voyances de licornes

Des esprits réactionnels, primitivistes, larvés de continences structurales, aux déploiements de chrysalides noires

Qui essentialisent des végétations humaines peuplées, de pyramides esthétisations, des lavandes en chairs nourrissant

Des confusions de balançoires d'améthystes intérieures, qui essaiment des neurologiques réalités

Aux doigts tournoyant avec des regards tordus, troublants, inquiétant, aux arborescences fusionnelles

Qui opèrent des archéologies passionnelles, aux voluptés d'hydres constellées, de magnétismes intelligents

Avec les brasiers impossibles, interdits, pâmés sous les mausolées systémiques nébuleux, frôlant des parjures

D' équilibres sociologiques, ô érotisations des pouvoirs mélancoliques, fissurés de nymphes égologiques

Aux transparences différentielles, qui éclatent des soleils singuliers, en délires d'observations décomposées

De langues hybrides, des émanations étranglées d'étrangetés traductrices, des prolongements inessentiels

Qui oublient les licornes aux mendicités mystérieuses, des communications de suggestions athées

Des harmonieuses réciprocités, des recompositions de foi en les personnalités géométriques, des Libertés

Qui accomplissent des degrés recommencés, des contemplations extatiques, qui volent les brasiers

Des Muses de silences dissolvant, des combinaisons littérales, confondant les maïeutiques des adages

Aux stigmates, qui déchainent des incommunicables tentations, des rêves défigurant, les Univers vomitifs

Des difficiles élasticités de pierreries, qui enfantent les aurores des codes, des numériques Présences

Qui égrènent, les libations génétiques des effroyables, épouvantables statues, euthanasiant

Les cycles de cygnes mathématiques, aux terminaisons narcissiques, des vertus de dépossessions

Objectivistes d'impuretés obsessionnelles, lavées de pandiculations subtilisant

Les objectivistes intimidations logiques, des arcs-en-ciels tendus, comme des artefacts transparents

Avec les calices circonflexes théâtralisant, les vins jaloux brisés, de sacrifices aux mélanges

Aux autels ambigus, clairsemés, habillés, enveloppés, de genoux vitalisant, les liens perfectibles

Des citrons relationnels, qui travestissent les Vérités des spectres bohémiens, qui accouchent

En des timidités de jasmins recouvrant, des polyandries esthétisées, qui épurent des araignées d'adieux

Aux Providences travaillant les fondamentalismes trempés, des tempes sécrétrices, des Hasards

Qui apparaissent en matière de syncopes anatomiques, machinistes, des ensembles de bouquets écrasant

Les anomalies de vertèbres traductrices, des symptomatiques imaginaires, im-productibles

Des poignets féroces, animales, qui diffusent des paradoxes de traitements, baignés de tresses dissimulant

Les chimères aux champs d'incapacités de liquéfier, d'organiser, les ermitages progressistes, qui s'annulent

Les effarées rencontres des australopithèques bouffant, des isolations d'architectures théogoniques

Des déplacements de faunes, aux clartés cheminant sous les mosaïques, des réflexivités d'oublies théologiques

Des inflorescences mouillées de lys écartelant, des encensoirs allumés de chastetés élévatrices, des blondeurs

Des zéphyrs gondolés par les lourds Océans aux navires jouant, avec les flots aux vagissements, de diamants

Bleutés, qui diversifient, produisent, génèrent, des démences de Beautés irisant, les pores obstétriques

Des vagues muées, en des foudres liquides qui évoquent, ensemencent, des flacons d'ivresses

Face aux territoires, aux géographies symétriques, des matrices des langues de la Nature

Dans ses éternités pénétrant les dérèglements capiteux, des diapasons bleutés, aux radiances

Perfectibles des réalités, des créatures maritimes, aux formes d'orfèvres en contact d'avec les ADN d'ossements

Déconstruisant les transitivités d'un monde aquatiques, aux ipséités conductibles, qui « informatisent »

Les noires immortalités des folies cathartiques, qui intronisent les ravissements spéculaires, des fronts roux

Aux hypostases régulatrices des signatures cois, dans des automatismes dédoublant, les réseaux

Des paradis morphologiques, des désastres analytiques, qui illuminent les inclinations purifiées

Des royaumes lourds comme des exhalaisons de printemps, ou la vie écrit ses Destinées de crapauds !... .

                                                                               ********

 

Des torches de feux dansaient sous les cristaux vivants qui pleurent, des colombes d'azurs vierges

Des imperfections absurdes hurlaient des langues de cyprès, ou chantent les tombeaux recueillant, des tabernacles

Jalousant les chimères aux lyres ou hurlent, les citadelles délicieuses, qui profanent les degrés des lampadophores

Ou des pétales travaillés par les aurores de chairs, trouant les chevelures tournoyantes, des silences criblés

De prières d'infortunes, avec des flamboiements de séraphins acoustiques, peignés d'ivresses maculées de contritions

Qui métamorphosent des symphonies pyramidales complexées, des subversions télépathes, des littérature

D'oiseaux hiérarchisant les alcools des tabernacles, voilés d'évolutions ou Raisonnent, les Destinées lacrymales

Aux brasiers perlés de funérailles convertissant, les soleils aux parchemins d'impuissances nerveuses, qui tremblent

Des recueillements crevant les firmaments aux statues gravées de symboles analytiques, antiques, qui boivent

Des vins exaltés d'illuminations profondes, qui s'égrènent sous des accouplements d'intelligences esseulées

La ou les accroupissements des libellules, exhalent des spectres aux crépuscules fécondés, des connaissances

Tardives, là ou les araignées impalpables, hideuses, dévorent, des pachydermes silencieux, inconscients, lavés de comètes

Aux dialectiques des pierreries qui s'accrochent, avec des arborescences d'angoisses pantelantes, perlées, des fusées

Asymptomatiques, qui révèlent les degrés des autels polythéistes, avec des mémoires craquelées d'hypostases

Qui puisent, des écroulements de lys mentales, avec des forêts de présences primales, qui dévoilent des grimoires

Génétiques, désireux de cascades aveuglées, des fusions de citadelles qui fermentent, des Natures criblées

De dépeuplements actualisant les végétations irrationnelles, des comètes personnifiant, les décompositions

Des cueillaisons d'aumônes esthétiques, par-delà les empyrées couvés, des charmes ineffables, pensifs

Là ou s'écartèlent les matelots pâmés d'astrolabes, complexés, par les cheminements intuitifs, irréligieux

Des flots de rayons humains, biologiques, constellés de nonchaloirs identiques, avec des fleurs d'enfantements

Ou les fusées s'égrènent, sous des sociologiques impulsions nerveuses, pleines de sirènes, aux visages bénissant

Les incapacités morphologiques, des peintures à résistances noyées, des saltimbanques chirurgicaux, qui mentalisent, posent

Des équilibres déchirant les écritures des Libertés aux consciences, ou les croyances des yeux embrasés, des singularités cryptiques, qui jaugent, évaluent, des apparitions symptomatiques, des confessions d'architectures supprimées

Avec des démences expressives, qui modélisent, les âmes aux visions emperlées de miroirs doxiques hiérarchisés, des diapasons hypocrites

Abreuvés de liquides inconnus, sous des citadelles mortifiant les dialectiques de lumières, d'amulette conscrites, sincères, aux battements précieux, des encres égotistes primales

Des harmonisations traversées de nudités, aux ignorances des parfums cosmiques, qui dramatisent

Des fauves balancements logiques, drainés de vignes aux asiles psychiatriques, hasard reculés

Des circulations nouées de phalanges, aux soupirs existentiels, qui calculent les Naissances, des nuits

Abstraites, des assoupissements volant les genoux ensanglantés, par les étoiles filantes, qui modélisent

Des unicités de recherches génétiques, aux Ecritures sacrées communiquant, des créatures forces d'incapacités

A rapporter des zéphyrs cycliques, qui filent les avortements d'entendements, crispés d'anachorètes étoilés, fondus

Par les médicaments immortels, impénétrables, qui dynamisent, conscientisent, les dédoublements cosmiques, des papillons jaloux, élémentaires

Des diasporas ou grandissent les horloges exorcisées, là ou les sourires des cerveaux croulant, produisant des sanglots

Mathématiques, vers les volitions étranglées de comètes sacrificielles, tombant sous les Océans violoncelles publiques, des ossements rendus fertiles et authentiques, générationnels, automatiques, pourquoi

Avec des couvaisons perclus, de printemps mélodieux, qui grimpent dans les flambeaux théâtrales, providentiels, aux sources pendues, qui dissocient les mélanges orthodoxes des milieux lavés d'informatiques réalités des angles propédeutiques, qui aliènent les pores médiumniques des mondes inorganiques

Là ou les vespérales sculptures des porcelaines intentionnelles, avec des débordements méditatifs

Qui désespèrent des gorges de cordes linguistiques, aux rares Beautés hystériques, qui communient, avec les senteurs

Des résiliences frisant, élaborant, des aubes baignées de terminaisons immenses des vitalisations d'ego surréalistes, Révolutionnaires, là ou s'épurent les reflets des maïeutiques aux mosaïques institutionnelles, impraticables, gnostiques par distances généalogiques aux poumons cartésiens qui distordent les sagesses respiratoires

Sous les muettes bruyères des langages d'ailes insondables, vers les semences littérales, alimentaires

Pissent des asphodèles, aux couchants subjectivistes, qui s'inondent de décapitations domptant, les corps

Aux mains initiatrices iconoclastes, des glaives d'ipséités cognées de réciprocités communistes, sous des dérélictions

De guitares mendicisant, les commencements infâmes, des esclavages séducteurs brisant, morcelant,

Les incontinences zététiciennes, des religions s'évanouissant, devant les éveils aux roulements astrologiques

Des poings suicidés, par-delà les transfigurations héréditaires, des gueules jetées de prédicats, découpant

Les sombres et obscurs grimoires, avec des déguisements, des travestissements régulateurs, des chrysalides

Ou fourmillent, les formules quantiques, les informations d'assomptions littérales, des singes sémiotiques et mythologiques

Qui opèrent, des situationnistes sécrétions poétiques, engendrées, par les chlorophylles, aux échines perdues

Sous des léthargies muettes, dérangées, avec des Pouvoirs condamnateurs, des présages futurs

Qui s'enguirlandent des saltimbanques mutilés, blessés, sous des crânes aux ensembles caractéristiques

Des délocalisations métabolisant, les espèces précoces électriques qui stipulent, des pulsations

Aux combinatoires Passionnées, avec les squelettes protéiformes, analgésiques, tribales, élémentaires

Puant les contagions des fiançailles déterministes, des correspondances chimiques, qui, exsangues

Vomissent des observations matricielles, qui sondent, les orfèvreries incompatibles, avec les sensitivités athées

Des cabales d'appartenances associatrices, et privatisées, par les criminels compensatoires, purgatoires silences d'économies, qui composent

Les inhumanités à gestations hypothétiques, permissives, là ou s'organisent, se désorganisent, les préhensiles

Réalités d'objectités convoitées, des insondables pharaons accusés d'essences migratoires sceptiques, d'hybris rythmicités des soupçons anatomiques, des volitions gestalts abandonnées, qui codifient, échangent, les chances relationnelles des mensonges aux diététiques réalités, des grotesques fétichismes habités de caravanes indépendantes, des péchés symétriques, les lèvres rousses ... .

 




#400601 Anatomie poétique des cristaux d'azur éternels !

Posté par clemouchka - 01 juin 2024 - 07:57

Des oiseaux d'azur dansaient sous les cristaux vivants, qui infusaient des chairs mentales

Traversées de continences religieuses, pâmées de délires roux crevant les firmaments d'adieux

Ou rêvaient des Baisers en syncopes cérébrales, brûlant les onirismes des cathédrales linguistiques

Des adieux d'offrandes invisibles, crachées d'orthodoxies mathématiques, qui perlaient

Des suicides cathartiques, voilant les Océans de végétations théologiques, des phalanges

Intégristes, qui dansaient sous les complexions génétiques, des génocides aux horloges

Qui déchiquetaient, les peintures hypocrites aux âcres impuissances, des cerveaux d'aumônes

Fissurées d'infinis biologiques parfumés, de tabernacles aux éveils extentionistes, courbés

Par les squelettes génocidaires, qui mendiaient des palpitations numériques, des chrysalides élastiques

Ou hurlaient les citadelles gonflées de perfectibilités plastiques irrationnelles, des Mains d'astres

Filant les artefacts primales, des trouées de pachydermes organiques, qui puisaient des équilibres

Illuminant, les zéphyrs métabolisés par les ivresses schizophrènes, des réalités sociologiques

Des mensonges incorporels, qui bavent des électriques cécités mentales, des hybridations

D'informations à cycles brisés de symétriques ossements, des souvenirs mystiques

Qui communiquaient avec les flacons d'ipséités, des relations cryptiques d'infortunes logiques

Aux sacrilèges théogoniques, écroulant les vierges impermanences, des songes identitaires

Qui murmuraient des colombes analytiques, des esthétismes priant les silences, larvés de commissures

Des araignées temporelles, aux douleurs des statues dialectiques qui couvaient, des processus inaliénables

Aux mausolées mimétisant, les Absolus pharmacologiques, des idées d'introversions actualisant

Les libellules gigantesques, illuminant les incroyables crépuscules, des cantiques rougeoyants

Progressistes, des horreurs cabalistiques, qui caressaient les bénédictions, des cataplasmes épileptiques

Gothiques, les clairvoyances des accroupissements figés d'harmonisations, qui convertissaient

Les Libertés déployant les églises aux persiennes cathartiques, qui empuantissent les convulsions

Infâmes des incendies renouvelés en des myosotis, perlés de stupides astrologies, aux balançoires

Des fontaines d'enfantements mécanistes, aux nidations mentales, des souvenirs tordus

Aux regards impénétrables, qui conspuent les édifices présents, des comètes infusées de catalyses

Cartésiennes, qui parjure d'inviolations de soleils aux incantations des nymphes, en vertiges

Des locomotions Passionnées d'hypostases victimes, des résiliences extrêmes, des splendeurs

Pourchassées par les prêtres aux frissons expressionnistes, qui vantaient les neurologiques

Virtualités, des tiédeurs de bénitiers insufflant les gestations, qui tournoient sous les nénuphars

Immobiles, qui végètent, des symphonies d'alcôves épouvantées d'alcools physiologiques

Qui décompensent, les supériorités d'encensoirs athées, vers les égrènes des liqueurs

Aux mémoires, décomposant les babillage des vignes étranglées, de ramifications

Emerveillées d'éthers relationnels, giflés de sidérales logiques, des méditations vastes

Comme les lyres buveuses des bleus degrés, grouillant de pubescences informatiques

Des harmonicas définitifs, qui migrent sous les servitudes de papiers, aux luxes fiévreuses

Qui transmettent, intronisent, des séraphins opprimant les poings sémantiques, des forêts

Des roulements aux chevelures des déformations cantiques, qui obsèdent les rutilements

Des géhennes symplectiques, qui pavoisent des génocides de pendentifs modélisant, les articulations

Concentriques, des visions aux flaques conçues par les cétacés géométriques, ô libations des plantations

D'abeilles involutives sous les amygdales liquides, pleureuses des stigmates, aux peaux fauves

O gueules d'ouvriers, qui blasphèment les nourritures s'évanouissant, avec des torches taxées

De coquillages désolés, les jeunesses absurdes, qui divisent les âmes aux lunules des soupçons

Des voyances noyées, sous les inflorescences, crispées de fermentations, aux floraisons de singes

Démentiels, avec des Rédemptions gemmeuses d'animalités, qui louvoient les matières propédeutiques

Des brasiers introspectifs, lavés d'édifications qui meurtrissent les lacrymales altérités, des Nombres

Cassant les colères d'archers qui prodiguent les importations lépreuses, des aurores inverties d'irréalités

Des hyménées aux crânes fossilisant, les fronts érubescents des mélanges, aux signatures apprivoisées

Par les carcasses fières des épures contraceptives, des stupides germinations transcendantales

Qui transpirent, les étés singularisant les intensifications, des adages providentiels qui produisent

Des violons aux défenses peuplées d'améthystes et perclus, de situationnismes grégaires

Qui empirisent les revolvers inarticulés d'aubes, aux Léviathans sacrificiels, ô dissociations fiscales

Des « ouvertudes » sécrétrices d'imaginaires vengeresses, des transactions diététiques, des absences

Qui pressurisent, les diapasons indigènes des univers évangélisant les psychanalytiques entorses

Des stridences d'exils aux influx démiurgiques, des spectres algébriques qui stérilisent

Les déluges d'ignorances trempées de sarcophages, croyant les jauges comportementales

Des existentialismes gangrenés de clystères à genoux, face aux modernismes des hydres

Copulant avec les inerties des vertèbres projectives d'individualismes, s'avachissant

Devant les Comédies zutiques des synthétiques lampadophores, des ailes fleuries

Par les Romantiques insuffisances, des abstinences, des lucioles probabilistes...

 




#399929 Danse des soleils poétisés d'absolu mystiques

Posté par clemouchka - 20 février 2024 - 06:46

Des peintures d'azur pleurent les parchemins d'étoiles parfumées d'alcools en délires vierges d'entendements

Qui pleurent des songes de rémissions relationnels, avec des poings en sarcophages télépathes

Oubliant les torches rousses existentielles lâchées, de torpeurs perfectibles ou dansent les cristaux

Des araignées maudissant les rutilances des impiétés accroupis, sur les lèvres ensanglantées

D'impuissances mystiques lavées de cerveaux cultuels, aux élasticités d'abeilles noyées, crevant

Sous les Baisers tordus comme des comètes de désirs infâmes, avec des clystères télépathes

Des végétations victimes des Colombes mathématiques, qui pleurent des pétales d'aumônes dialectiques

Aux extases de bénitiers jaloux, crevant des cétacés de lumières enfantées, par les phalanges scientifiques

Aux nudités des vierges acoustiques cerveaux singularisés, devant les syncopes d'éthers aux stridences

D'anges mouillés, fissurés de bacchantes sociologiques égrenant, des alcôves d'impiétés aux chastes

Langues hypocrites, qui révèlent, incarnent les silences d'amygdales nerveuses, qui pensent

Des dévorations spirituelles aux ipséités, couvant les lyres invisibles, avec des étoiles de peaux

Spectrales, qui s'accouplent avec les sirènes biologiques, aux murmures d'abeilles défaillances

De présences s'écroulant, avec des céphalalgies aux continences de séraphins logiciens

La ou fermentent les cathédrales célestes, des organismes crevant les firmaments ramifiés

De pyramides des copulations d'hystériques brasiers, aux clystères effroyables, horrifiques

Dégorgeant, sous des tabernacles de soleils craquelés de photographiques calices, gorgés

De circulations d'éveils méditant, des nymphes croulant d'hypostases cantiques, fissurées

De vins des pubescences fermentant, des végétations de cygnes hybrides, aux réflexions esthétiques

Qui désirent des licornes aux nudités des nuits incubatrices des onirismes figés, de glauques

Extensivités, qui hurlent des insomnies réactionnelles, perclus d'automatismes, des sifflements

Des désordres, des pandiculations linguistiques abreuvant, les rousseurs lavées d'obsessions

Des saignements des genoux, aux sérénités phtisiques, moléculaires, épileptiques contraceptifs

Des églises anatomiques, des papillons jaunes aux étonnements parcheminés, de pleurs qui réfléchissent

Des myosotis aux floraisons des diamants d'essences, aux vignes folles qui complexifient, des ignobles

Microscopes inviolés, là ou s'illuminent les blondeurs relationnelles, qui cristallisent les rêves, des déplacements

S'agenouillant, sous les chrysalides d'espoirs magnétiques, qui insufflent, matérialisent, révèlent

Des pendules Socratiques aux communions cycliques, des tableaux de citrons les mendicités, des cueillettes

Pendues sous les mathématiques veines, aux cryptiques aliénations des zéphyrs, aux peaux chargées de pierreries

Qui communiquent des publicités, s'évanouissant sous les cimetières ontologiques des roulements, des grondements

En gésines, avec des symphonies microscopiques qui pavoisent, essentialisent, des ailes aux prolongements

Qui embrasent des Océans en détails morphologiques, qui puisent des capitalisations de désirs abstraits

Des fémurs absurdes, des ossements d'arbrisseaux qui peignent, voilent, défigurent, des impalpables matrices

Des souvenirs de laboratoires, ou coulent des démences aux transparences, des botaniques des cognitions

Des décompensations "d'irrésiliences" médiumniques, avec des gestations religieuses, qui tremblent

O prostitutions des dérèglements synaptiques, qui essaiment des libellules crispées d'harmonisations athées

Des mausolées assassins, qui perfusent des associationnismes d'objectités d'orages crépusculaires

Aux cicatrices d'un Léviathan anatomique, les nucléaire folies aux degrés d'imagos secoués, de présences pudiques

Des vulgaires nourritures qui paganisent, les voyelles aux Messes inappliquées, des mécanismes rythmiques

Qui vomissent des hermaphrodismes de pachydermes, aux génétiques d'étés scientifiques, ô syntagmes

Des recherches d'hydres comparatives, ô fantômes manichéistes....

 




#399926 Fontaine d'azur poétique mystique

Posté par clemouchka - 20 février 2024 - 04:54

Je mange des chairs d'azurs ou dansent les abeilles aux cris hystériques

Prient des feux de désirs en peintures cryptiques, qui bavent des tissus d'aurores complexes

Je pleure des étoiles aux chevelures jalouses, se recueillant sous les cristaux aux mains chasseresses

Des décantations linguistiques, qui hurlent les songes aux pétales, des séraphins biologiques

Je me nourris d'asymptotes théâtralités, parcheminées d'aumônes d'oiseaux aux lèvres rousses, qui pensent

Des phalanges d'espoirs, aux tombeaux infinis murmurant des souhaits de comètes nerveuses, qui tremblent

Des cerveaux brûlés de pachydermes acoustiques, qui pleurent des torches précieuses

Aux sarcophages des symboles progressistes, qui oublient les parfums éthologiques, aux onirismes pendus

Sous des décapitations passionnelles, qui nourrissent des alcools fétichistes, aux pendules d'éthers télépathes

Des compréhensions systémiques, qui crèvent les papillons d'entendements sépulcraux, qui croulent

Sous des alimentations polythéistes, aux croyances égrenées par les Souvenirs chimiques, des voyances de licornes

Des esprits réactionnels, primitivistes, larvés de continences structurales, aux déploiements de chrysalides noires

Qui essentialisent des végétations humaines peuplées, de pyramides esthétisations, des lavandes en chairs nourrissant

Des confusions de balançoires d'améthystes intérieures, qui essaiment des neurologiques réalités

Aux doigts tournoyant avec des regards tordus, troublants, inquiétant, aux arborescences fusionnelles

Qui opèrent des archéologies passionnelles, aux voluptés d'hydres constellées, de magnétismes intelligents

Avec les brasiers impossibles, interdits, pâmés sous les mausolées systémiques nébuleux, frôlant des parjures

D' équilibres sociologiques, ô érotisations des pouvoirs mélancoliques, fissurés de nymphes égologiques

Aux transparences différentielles, qui éclatent des soleils singuliers, en délires d'observations décomposées

De langues hybrides, des émanations étranglées d'étrangetés traductrices, de prolongements inessentiels

Qui oublient les licornes aux mendicités mystérieuses, des communications de suggestions athées

Des harmonieuses réciprocités, des recompositions de foi en les personnalités géométriques, des Libertés

Qui accomplissent des degrés recommencés, des contemplations extatiques, qui volent les brasiers

Des Muses de silences dissolvant, des combinaisons littérales, confondant les maïeutiques des adages

Aux stigmates, qui déchainent des incommunicables tentations, des rêves défigurant, les Univers vomitifs

Des difficiles élasticités de pierreries, qui enfantent les aurores des codes, des numériques Présences

Qui égrènent, les libations génétiques des effroyables, épouvantables statues, euthanasiant

Les cycles de cygnes mathématiques, aux terminaisons narcissiques, des vertus de dépossessions

Objectivistes d'impuretés obsessionnelles, lavées de pandiculations subtilisant

Les objectivistes intimidations logiques, des arcs-en-ciels tendus, comme des artefacts transparents

Avec les calices circonflexes théâtralisant, les vins jaloux brisés, de sacrifices aux mélanges

Aux autels ambigus, clairsemés, habillés, enveloppés, de genoux vitalisant, les liens perfectibles

Des citrons relationnels, qui travestissent les Vérités des spectres bohémiens, qui accouchent

En des timidités de jasmins recouvrant, des polyandries esthétisées, qui épurent des araignées d'adieux

Aux Providences travaillant les fondamentalismes trempés, des tempes sécrétrices, des Hasards

Qui apparaissent en matière de syncopes anatomiques, machinistes, des ensembles de bouquets écrasant

Les anomalies de vertèbres traductrices, des symptomatiques imaginaires, improductibles

Des poignets féroces, animales, qui diffusent des paradoxes de traitements, baignés de tresses dissimulant

Les chimères aux champs d'incapacités de liquéfier, d'organiser, les ermitages progressistes, qui s'annulent

Les effarées rencontres des australopithèques bouffant, des isolations d'architectures théogoniques

Des déplacements de faunes, aux clartés cheminant sous les mosaïques, des réflexivités d'oublis théologiques

Des inflorescences mouillées de lys écartelant, des encensoirs allumés de chastetés élévatrices, des blondeurs

Des zéphyrs gondolés par les lourds Océans aux navires jouant, avec les flots aux vagissements, de diamants

Bleutés, qui diversifient, produisent, génèrent, des démences de Beautés irisant, les pores obstétriques

Des vagues muées, en des foudres liquides qui évoquent, ensemencent, des flacons d'ivresses

Face aux territoires, aux géographies symétriques, des matrices des langues de la Nature

Dans ses éternités pénétrant les dérèglements capiteux, des diapasons bleutés, aux radiances

Perfectibles des réalités, des créatures maritimes, aux formes d'orfèvres en contact d'avec les ADN d'ossements

Déconstruisant les transitivités d'un monde aquatique, aux ipséités conductibles, qui « informatisent »

Les noires immortalités des folies cathartiques, qui intronisent les ravissements spéculaires, des fronts roux

Aux hypostases régulatrices des signatures cois, dans des automatismes dédoublant, les réseaux

Des paradis morphologiques, des désastres analytiques, qui illuminent les inclinations purifiées

Des royaumes lourds comme des exhalaisons de printemps, ou la vie écrit ses Destinées de crapauds !... .

 

 

 




#398883 Prison des larmes

Posté par clemouchka - 17 septembre 2023 - 07:26

« Des parfums d'azur communiaient avec les étoiles accroupies sur les anges biologiques qui dansent »

« Des séraphins en chair pleuraient les bleus degrés théogoniques des racines brûlant les firmaments, aux ailes absentes »

« Des stigmates pleureurs d'yeux idiots, immondes, noirs, hirsutes, déconfits, contorsionnés, puisaient en des cristaux d'éthers, cantiques sublimations des idoles abstraites, décompositions des Littératures personnifiant les hasards ensorcelés, bioéthiques réalités des microbiologies des oublis mythologiques  »

« Des amulettes géométriques aux contritions ou jasaient les torpeurs d'incendies illuminant les flaques de feux en prières, des lyres mentales »

« Des parjures d'astres volaient les cicatrices nerveuses, aux indolences lyriques ou fermentaient les encres aux lèvres hystériques, ô statues recueillant les Baisers estropiés, ô délices biologiques, aux spectres en délires »

« Des phalanges effroyables aux visages peignés d'amygdales délicieuses, aux peintures logiciennes, des noirceurs d'alcools s'écroulant sous les désirs caressant les tiédeurs aux miroirs électriques, ô torches métaphysiques »

« Des extases d'alcôves aux flacons nus, vierges, peinturlurés de méditations, couvant les Visions tribales, des roulements de langue aux pubescences linguistiques, des pâmoisons sidérales, qui hurlaient les peaux noyées, croulant, sous les aspérités familières, des piétés mystiques agenouillées, devant les élastiques temporels, des fragrances déformant les âmes aux Rires de libellules, accrochant les glauques symétries des nénuphars aux rythmicités illuminant, les Puissances étranges, singulières, des botaniques d'Espérances, des végétations infusées, de lactescences neurologiques, aux puits impudiques, atroces, glacés, voilant les nudités, des désastres vivants, craquelés, de Rémissions dépersonnifiant, en-soi, les brasiers aux âcres appétits boursouflés, par les cerveaux organiques, dichotomiques, à sursoir, aux éminences pleines de répulsions, aux poings pendant sur les clartés éternelles, des rutilements brisés, d'astéroïdes excessifs, «menstruelles consciences », des tremblements de vins, aux splendeurs mécanistes élocutoires »

« Des pyramides existentielles, aux hystériques pulsions d'araignées mathématiques, réfléchissant les colombes victimes des chrysalides noires maudissant les cataractes plaquées, lessivées, molestées, modélisées, par des sanglots de vieillards, aux ossements des Libertés, ou fourmillaient les Chevelures gemmeuses, des myosotis aux clystères crépusculaires, mendiant les décantations familières, des Cygnes aux essences grotesques, chimiques, là ou des couleuvres, aux prunelles insondables, indicibles, perclus d'irrégularités épileptiques, aux éclairs d'omoplates saignées, par-delà les cassures métaphysiques, qui manipulaient les fronts télépathes, des hygiénismes Conscientiels, ô littéralités d'hydres phénoménales, cognant les mélanges Narcissiques, des Océans de cerveaux aux naissances de porphyres, ou descendaient les terminaisons jaunes, des aurores fécondées, des traductions de pierreries mentales, aux inconscients perlés d'indiscrétions, aux Vigueurs grouillantes, ensemencées, tournoyantes, des liquides esthétiques jaloux, ô ipséités, des pendentifs déshabillés, dévoilant les pèlerins châtiés, punis, blasphémateurs, sacrilèges, des scientificités de désirs, aux vignes humaines bouffant les balançoires des Justices boiteuses, acosmiques, par-delà les pénétrations insomniaques, musicalités profanes, mécréantes, des récoltes incantatoires, aux sifflements des nectaires impraticables, des insectes ensanglantés, par des pandiculations, aux Mains génétiques, des diamants inconnus »

« Des bouffons désenivrés déchiquetant les mécanistes échines des vacuités intemporelles, ployantes des Mal moléculaires, ô invisibilités hybris, des fièvres à chiffres nourris, consubstantiels, des Divinités aux dégoûts irrationnels, impalpables sotériologies, des grappes humaines Progressistes, aux intériorités filées, des sophistiques primats chimiques, aux pilastres suprêmes, des silences acoustiques, qui « aliénisent, » les cognitions physiques, des pachydermes roux travestit en idées graphologiques divinatoires, aux locomotions déteignant, chirurgicalement, les rachitismes de crapauds névrotiques, abreuvés de nuits déliquescentes, ô terribles orgies mu d'aumônes épistémologiques, aux bavures d'Espérances empuanties, par les dramaturgies, aux complexions de fifres cryptiques, soudoyés, ô voleurs d'ongles aux prostitutions philosophiques des univers dédoublés, aux Espaces matriciels, transmettant des fontaines d'archanges immobiles, là ou rient les violoncelles transparents, ô indiscrets glaïeuls, ou poussent les littératures impalpables, aux gonflements d'orchestrations "mimétisant", les Absolus sémantiques, des traitements de sangs, ou tombent les neiges expérimentales, aux pieds d'une Vénus violette, ô voyances d'horloges comparatives, aux crânes damnés, "arreligieux", ô appétences théologiques, des apothéoses bachiques, des papillons errants, linguistiques, sceptiques, ô filtres, des virgules aux lointains hallalis, ô tabernacles, aux céphalalgies parcheminant, les erreurs lépreuses, joyeuses, des Nirvanas inviolés, passionnels, isolés par rupture Talmudique des Lois "méta-cognitives", ô douleurs gueulant les écoutilles des automatismes microscopiques par démences associatrices des essences auréolées proches d'un cartésianisme alimentaire, des bombes matérialisant les tresses d'ors aux algébriques fonctionnalités, des métabolismes aux chapelets d'antiquités parcheminées, d'abstinences intuitives, ô adorables nuques, aux efficiences futures des chants fauves, ô tapages quantiques, aux hyperboles génocidaires, des maïeutiques aux structuralismes, des diffamations privatisées d'infinies Justices, des labourages griffant, les cieux inharmoniques, fractales, ô schèmes photographiques ! »

 

 

« Les chevelures d'azur pleurent des Baisers jaloux, aux parfums de brasiers capiteux qui dansent sous des murmures de chairs mentales »

«  Les larmes de ton silence embrasent mes nonchaloirs mélancoliques, parcheminés de lèvres qui pleurent »

« Les oiseaux de mes songes intimidés, hurlent les pétales sacrificiels, qui lacrymale les jalousies de tes murmures, aux invisibles visages, qui prient les différences religieuses des torches réflexives, des ailes évanouies »

« Les firmaments étranges s'écroulent, sous les phalanges mystiques de tes fontaines ensanglantées, des mendicités biologiques, des interdits contemplatifs »

« Les cimetières de tes yeux aveuglés gisent, en des insomnies d'arc-en-ciels, qui prophétisent les peaux de tes murmures contrits »

« O connaissances des voyelles chimériques, qui enchantent les créatures mythologiques, par des Océans de charmes, aux présages des sibylles les zéphyrs, ployant sous les sarcasmes des yeux bercés, indolents, des cyprès ravissant, les rousseurs d'horloges aux mystères décomposés, par les alcôves des nuits tendues, comme des végétations existentielles, qui se recueillent d'unicité à présences organiques, des intelligences de cristaux »

«  Des peintures aux contritions éternelles, esthétisent les puissances orgueilleuses, des stigmates aux Libertés dévorées, des flaques constellées d'appétits suspendus sous tes paupières diaphanes, qui égorgent les araignées infâmes, aux calices d'espoirs vitalisés d'obscures convalescences, des statues vierges, qui décompensent, les intériorités des soleils fusionnant, d'avec les délires conspués, des sifflements d'astéroïdes délicieux »

«  Des floraisons d'alcools plaquent les feux expressionnistes, de tes larmes méchantes, cruelles, voleuses des crispations de libellules, aux accroupissements d'amygdales nerveuses, ô biologies des élastiques d'églises, qui intronisent les exhalaisons pâmées des souvenirs, aux communions spectrales, des bohèmes fluant les incendies des aumônes, aux pulsions des lampes aux clartés d'éveils maudissant, les pilastres des nœuds existentiels, qui profanent les lichens morphologiques, des singularités des violons passionnels, qui rutilent sous les échafauds, des céphalalgies primales, ô erreurs inviolées des chrysalides égorgées, par les puanteurs symphoniques, des infâmes décantations, aux tiédeurs infortunées, ô hystéries des photographies pubescentes, qui temporisent les lunes religieuses, des cicatrices polythéistes noyées, par les pénétrations des vins sociologiques, aux degrés maladifs des bénitiers transcendantaux. »

 

 

 




#398608 Délires poétisés ô tableaux biologiques littéraires hallucinés !

Posté par clemouchka - 05 août 2023 - 10:15

« Des statues de feux hurlent les Chimères éclatées des Cieux hystériques »

« Ou choient les licornes d'azurs psychiques »

« Des phalanges brûlées d'orfèvreries intérieures »

«  Dansent sous des pouls aux mysticités vierges croulant les enfantements »

«  Avec des élastiques de Chairs électriques »

«  Pâmés sous les mystères éclatés des firmaments »

«  Aux yeux veufs des pachydermes mentaux, transcendants »

«  Qui chantent les étoiles chimiques, acoustiques »

«  O pèlerinages d'adieux invisibles, ô caresses des chevelures aux Religions »

«  Communicant des araignées logiques »

«  Qui dansent les parfums télépathes »

«  Des soleils couvés d'harmonies aux contritions »

«  Des nénuphars temporels »

«  Qui enflamment les corps amoureux »

«  Des murmures neurologiques aux peintures d'étoiles brisées d'intériorités plastiques, intuitives »

«  O paganismes épileptiques, les squelettes ultra violets dépassés »

«  Aux ailes d'anges filtrés d'inflorescences nerveuses »

«  Avec des insomnies prophétiques, des Pensées aux fragrances morcelées,modélisées, déconstruites, a-structurales »

«  Avec des alcôves linguistiques, des alcools puissants »

«  O génétiques, des Silences surréalistes »

« O violons aux chapelets d'hydres aux essences de cygnes, phalanges stylisant, vacuités d'orgasmes »

« Parfumant les jachères phénoménales, circonflexes »

«  Des Cieux d'onirismes perfectibles »

«  Qui transgressent les pierreries d'un Sourire détergent, Alimentaire »

«  O matrices aux Bohèmes baignées »

«  Des cristaux sociologiques »

«  Des diamants divinatoires » 

«  O vignes complexes... . »

 




#398434 Clochers des songes

Posté par clemouchka - 05 juillet 2023 - 01:48

« Les cristaux intelligents de mes pensées dansent avec des chairs d'azurs aux horizons des silences biologiques »

« Je rie des soleils aux virginités des rémissions qui tremblent sous des fleurs vivantes crevant les firmaments inconscients des équilibres étrangers qui pleurent les élastiques de tes chevelures aux poings chimériques abandonnés, ô clochers des songes noyés sous les désirs de tes extravagances printanières qui croulent sous les délires suspendus de tes éveils harmonieux d'éternités des flaques aux nuits tordues, pleines d'effusions des tristesses étranglées de silences ou pleurent les cathédrales vierges de tes murmures profonds aux éternités d'alcôves ou fermentent les religions aux défaillances inouïes de tes yeux ou chantent les gouttes incroyables de tes éclatements ou germent les rêves jaloux par des étranglements acoustiques aux flacons mentaux d'ipséités transis par les blancheurs lumineuses des silences mangeurs de réalités élastiques des éveils aux charités mystiques, des absences aux fleuves mélancoliques en contritions des regards chimiques, ô réalités des étoiles aux indiscrétions orchestrées par les torches rousses aux immenses baisers, ô fragrances des décantations aux murmures d'alcools, ô hystéries temporelles... ! »

 

 

 




#398401 Poème psychédélique halluciné !

Posté par clemouchka - 28 juin 2023 - 11:29

« Tes petits cristaux d'azur de l'existence dansent face au miroir sociologique de tes chevelures tendues, tordues, comme des arc-en-ciels inconscients, ô aurores symétriques des puissances nerveuses des feux transmissibles, ô verbes des licornes, ô violons matérialistes !  »

«  Tes phalanges oubliées murmurent des chairs d'alcôves consommées, insoupçonnées, aux ivresses d'alcools abandonnés, par liaisons concomitantes des parchemins cryptiques des planètes religieuses.. homéostats des Religions ! accouplements des psychés rédemptrices !

« Tes yeux d'ordinateur complexe nourris de théodicées transparences, des zététiques jalousies par sarcophages d'adieux émotionnels, les ambroisies des Vérités primales, priant les élastiques de lumières aux ferments télépathes, des cascades d'aumônes synergiques, des puissances d'abeilles aux danses logarithmiques des pensées exilées, des rousses blessures par images réflexives, ô flammes divines par degrés d'obédiences, accrochées sous des araignées infâmes des corps nucléaires d'oppositions, par galaxies archéologiques des enfantements d'esthétismes éthiques, ô fusions intersubjectives des prières d'encaustiques envieuses, rieuses, des karmas intentionnels dégradés d'ossements vectoriels, ô destinées des mendicités anatomiques, des mensonges agricoles, des comètes mimétiques aux langues cultuelles, des foi aliénistes par sédentarités orthodoxes...  !!! »

«  Tes parfums d'yeux hybrides par doxa littéraires, intègrent les soleils criblés d'infinis lampadophores des singularités saintes, ou croulent les langues épileptiques aux souffles comparatifs d'étiolements algébriques, en systèmes perclus d'infinis biologiques, atmosphères des cicatrices géométriques, cigales transmuées d'onirismes en poignards brisés... tristesses. »

«  Tes torches de langues ontologiques appliquées aux continences des sourires roux, recueillent les mains acoustiques impénétrables des syntagmes alimentaires, ô tempes génétiques extensionnistes, aux odeurs mélancoliques des déterminismes de peaux illuminés, les libellules vitalistes et contorsionnistes, théâtrales, caricaturales des pyramides comportementales des animismes ensanglantés de zéphyrs schizophrènes, choyant sous les étés athées, par péchés neurologiques.. indemnités des ongles aux quadratures des paganismes inexploitant, les rectums logiques !!! lobotomies des visages !!! »

«  Tes puissances mathématiques orgiaques aux croyances artistiques, des communications agenouillées face aux papillons païens, hurlent des astres temporels, gorgés, évolutifs, subsumés, contrits, matriciels, chosifiés, par Justice introspective, composée de décantations stylistiques des religieux dépersonnalisés, d'horloges théologiques par sémiotiques hypocrisies, des chapelets d'orgasmes tribales, les interdits religieux, qui pleurent des lavandes travaillées d'essences psychotiques, crevées d'onirismes métabiologiques, ô animal linguistiquement.. des transsubstantiations écologiques des mains radioactives, fixistes ! »

«  Tes pachydermes de statues monstrueuses, innervent en-soi des étoiles hygiénistes statistiques, mécanismes hyperboliques des cerveaux nucléaires grammaticaux, par silences athéistes, autistiques, critiques, en sarcophages d'onguents suicidés d'idées fiscales, sous les cascades intemporelles, des fleurs égologiques, des plantes aux Moi redémarrés, aux angles projectifs des Je sacrificiels, aux délires profonds, des lianes d'insectes manichéens, voilés, comportementaux.. arbres cinétiques des pulsions d'aldol hypothéquées !!! » 

« Tes fantasmes d'apothicaires cognitifs en cétacés mentaux d'équilibres pénétrant et intuitionnistes, larvés d'hémoglobines psychiques, dispersés de préservatifs des lumières frigides, des plaisirs de flûtes Hippocrate, préservent les lunules astrologiques des pourquoi, des poings d'harmonicas harmonieux par négatités d'ensembles homologiques des profondeurs d'ailes instructrices, éducatrices, par réalités introspectives, digressives, des oiseaux liquides, proxénètes d'avec les nuages intronisés dans les besoins...  passementeries des gloires d'espaces nonchaloirs respiratoires des copules spatiales bouffant les plumes des atomes mythomanes violés, les tabernacles génésiques des semences d'oiseaux névrotiques, par vols ou s'écroulent les oiseaux numériques d'imagos sentimentaux, d'imagos des paupières contemplatrices, des cieux fertilisés de vies polythéistes, d'existences ou les fissurations éternelles des géographies Libertés, versent des larmes arborescentes, à l'intérieur des cellules vivantes, qui caressent les signatures obsessionnelles, des symphonies d'oiseaux, aux vagissements auroraux des peintures baroques, ô éveils des syntaxes providentielles, de tes noirs éveils de licornes, … ô photographies !

 

 




#398142 Chant poétique aux espoirs d'azur auroraux !

Posté par clemouchka - 20 mai 2023 - 09:42

« La nuit danse sous les candélabres intérieurs de tes chevelures pâmées d'hurlements temporels vivants »

« Les étoiles pleurent des phalanges silencieuses aux parfums incantatoires ou dansent des puits d'azurs biologiques »

« Les étés pantelants aux paupières sécrétant des pâmoisons de comètes mathématiques, dévorent les consciences acoustiques, aux lèvres parcheminées qui complexifient des adieux télépathes, aux cristaux évanescents d'yeux zététiciens irrationnels, par cécités des feux de voyances automatiques, réactionnalités des synapses prophétiques migratoires abstraits, fontaines d'espaces d'abeilles musiciennes, allégories des cartésianismes jaloux, clochers d'obsidiennes des jeux cathartiques, transcendantalismes des objets criblés d'immanences a-structurelles, des voyelles esseulées, diffames, géorgiques, alimentaires.  »

« Les chairs dangereuses intimes aux harpes cellulaires, aux luths intériorisés, souffrent des continences crépusculaires, chirurgicales, respiratoires, onirismes qui brûlent des nonchaloirs invisibles, aux conductions infinies littérales des décantations paganismes, progressismes, sanguines, des brûlures de langages gothiques, électriques, pierreries vierges des croyances de soleils identifiés, crucifiés, par oraisons graphologiques des hasards, aux alcôves intuitives abandonnées, chimiques, évanescences, des Lois théologiques indémontrables, non falsifiables, fausses... coercitions, fondamentalismes, des convictions de peaux gnostiques, nourritures spirituelles des fiscalisations sémantiques, thermiques, herméneutiques des destinées, par désir proportionnel des lavandes émotionnelles, probabilistes, arrachées par les brûlures chamanistes, des laboratoires complexes profanes, mécanismes bicéphales, les invariances articulaires, nerveuses, contentieux, orthodoxies, des pulsions tautologiques irréfléchies, indéchiffrables, cueillaisons des labyrinthes effondrés, des délires d'ailes athées, des offrandes tamisées d'horloges propédeutiques idoines par accident, inouïes, circulaires, inaliénables, par absences originelles, des déplacements d'araignées négatives, muées d'artefacts liquides évanouis, aux profondeurs des karmas techniques illogiques, sous les plaies prédicatrices des âcres hypocrisies, des fermentations bizarres, des crânes pyramidaux d'arthropodes artificieux, jonchées d'hyménées horrifiques, telluriques, pesanteurs, des cétacés réminiscences, des chaos divisibles, aux hormones vagissements des papillons échographiques versificateurs, des idées matricielles, aux synergies des sirènes évanouies, mêlées de défenses quadratiques des écroulements symboles des parfums incroyables, aux rutilements, d'un Léviathan symplectique, qui provoque des extractions d'océans aux roulis d'hippocampes, aux puanteurs dichotomiques, des racines aux palpitations grammaticales, des peintures d'hydres, aux immobilités des clonages intérimaires, des éthers de chaînes tendues comme des améthystes fracassées d'hypostases d'autodafés psychanalytiques, bénédictions aux préexistences, des illuminations "surcompressives," d'idolâtries pieuses, aux libations des Fortunes théâtrales, par clairvoyances informatiques, révélations des vins d'astres irreligieux, des viols de cataractes élémentaires, diamants d'ivresses logiques, discriminants, des éveils tactiles par littératures, des putains cognitives »

« Les panthères égologiques plurielles, redémarrées, recommencées, perlées d'imagos neurologiques, aux liqueurs ineffables, transparentes, in-actualisées, potentialisées des recueillements qui prient les élastiques existentiels, primales, in-fécondés, âmes infusées de mendicités d'aurores croulantes d'obsessionnelles réalités / des encres aliénées, démences des licornes astrologiques, par structurales décompositions, des caresses indiscrètes, pubescences noires des degrés situationnistes, aux fruits tensoriels des egos, pendaisons linguistiques des taxes morcelées, cadavres alcaloïdes, aux rires proxénètes brûlés d'amygdales tribales, des mensonges égorgés, les sourires d'insectes topologiques irréels, ravalés, de prothèses synthétiques, des cygnes psychotiques, buveurs de folies chaudes, pavoisées de lunules appliquées, aux soupirs d'humanoïdes immortels, décompensations de la Liberté fusionnelle, des pensées décapitées, égorgées, par doxologies Vérités des dédoublements kabbalistiques, des doigts péchés d'animaux sotériologiques, d'onguents relationnels, d'hybridations mélancoliques, des nosologies fractales aux humeurs associatives, d'entendements aux épures des chrysalides inharmoniques, des songes plastiques évolutifs, données grégaires, chosifiées, comparatives religions, criblées de végétations fantasmées, des yeux photographiques converties d'essences providentielles, des vigueurs aux torpeurs de statues infusées de frissons obscurantismes, aux archipels comportementaux, sensoriels, aveuglements des psychés labourés d'intellections géographiques, diapasons ethniques cycliques inavoués, processus d'un firmament éthique, inorganique, flagellé d'ipséité, aux fissurations des fusées économiques virtuelles, par déterminismes des coeurs d'angoisses microscopiques, aux bouquets éclos d'autels distanciés, physiques cultuelles suggestivités, des échines d'accouplements, source génocidaire, les orgasmes de phosphores, impressifs, lâchés de gonflements narcissiques, aux peintures crevées de pieuvres moléculaires visionnaires, aux singularités des zéphyrs hilares, travaillés de délices lactescents qui pleuvent des chemins victimes des lambris Babyloniens épouvantés, apparitions des lampadophores aux cerveaux sans genoux diabétiques, aux persiflages des compas gorgés de préservatifs ô mausolées brisés de sagesses capitalistes, des ondées frénétiques aux clystères philosophiques des quintessences d'harmonicas malheureux, poignets des chevaux organicistes, traitrises confitures des astéroïdes manqués, insomnies consubstantielles des mains de caravelles les vertus écologiques, blasphèmes vacuités, des scepticismes d'irrésiliences vomitives, perclus de stériles univers comestibles, ô Républiques les tempes d'impuissances, des barycentres hétérodoxes, ou des brasiers de silences arborescents incalculables, aux odeurs lacrymales des chastetés cardiaques, des squelettes ontologiques accroupis face aux violoncelles cryptiques schizophrènes, modélisant des nourritures d'alcools scientifiques, ô esthétismes naturalistes existentiales, aux orchestrations numériques, des comètes intentionnelles vitalisées d'infini démocratique, théogonies cicatricielles des orages d'adieux aux marais impressionnistes des poumons étrangers, des murmures neurologiques inconscients, ou des cascades d'oiseaux symétriques, analytiques, sociologiques, se recueillent sous des aliénations de squelettes humiliés, aux giclées d'aumônes dialectiques... »




#398133 « La pérennité de l’acanthe »

Posté par clemouchka - 19 mai 2023 - 03:49

Une magnifique peinture surréaliste que je trouve sublime !!!

BRAVO.

Clemouchka.




#397563 Poésie hystérique contemplative d'éther intuitionniste surréaliste

Posté par clemouchka - 23 février 2023 - 09:32

« Des soleils roux noyés sous les prières littératures »

« Des alcools de peaux cognitifs »

« O délires des chairs télépathes »

«  Des doigts d'azurs pénétrés de cristaux temporels »

« Dévorés par les encres télépathes des murmures quantiques »

« O clystères des degrés théologiques »

«  Baignés d'hypostases intuitives, des licornes oniriques »

« O étoiles s'écroulant sous les pétales d'anges volés de fontaines endeuillées »

« Sous les oiseaux biologiques des poings travaillés des nœuds originels »

« Des cétacés hypocrites »

« O murmures pâmés sous les silences sociologiques »

« Des éveils balancés de charmes hystériques »

« Des parchemins trempés d'invisibles alcools imaginaires »

« O hystéries des horloges aux miroirs de nonchaloirs liquides »

«O fresques des tableaux esthétiques qui prient les univers anthropologiques »

« Des diapasons en papillons larvés d'enfantements hystériques »

«  Des parfums d'oiseaux intérieurs »

« O végétations des élastiques indicibles, ineffables »

« O firmaments aux transmissions nerveuses des bijoux brûlés de délires mathématiques »

« Des araignées aux profondeurs des flaques théologales des squelettes vierges »

« O glissements des mythologies biologiques des planètes crevées d'évanouissements identiques »

« Des pulsions, ô yeux murmurés des décantations neurologiques »

« Constellées de stigmates littérales »

« O prostitutions des pachydermes acoustiques »

« Voyelles aux langueurs funèbres prédictrices des clartés illuminées »

« De figements imprimés de cellules pyramidales des désirs tziganes »

« O bohèmes modélisées d'acanthes des souvenirs criblés d'éthers géométrales, impersonnels »

« Des lavandes profanatrices des ongles gorgés de diamants inessentiels, classicismes des prédicats objectaux »

« O ferments ensanglantés des genoux hybridés par des infinis d'accordéons criminels »

« Des perfectibilités isolatrices des fleurs s'égorgeant sous les tiédeurs jalouses »

« Des travestissements mués des bouquets intuitifs »

« Des spleens infusés de fusées génétiques des capitalismes »

« Des trouées d'enfantements aux mystères des lunules enveloppées »

« Dégorgées par des liqueurs cassées des morcellements parjures »

«  O offrandes magnétiques des nuées transcendantales »

« Des libellules roulant sur les caresses éternelles »

« Des lèvres informatiques des profondeurs cultuelles des voyances »

« Décomposées qui ruissellent, communiquent les nénuphars brisés des forêts des dauphins »

« Crénelés de maïeutiques circonflexes »

« Des rutilances cycliques des chevelures mendiant les clairvoyances des vins totémiques »

« Des mains émotionnelles du hasard »

« O purgatoire des statues insondables complexées par des ordinateurs Rousseauistes géographiques »

« Des Rédemptions primales des angoisses aux luths insondables »

« Des perfusions d'aumônes cérébrales »

« O raisins mêlés des fantasques abeilles sans paradoxales térébenthines »

« Les sirènes transfusées »

« Des miroirs aux labeurs de pleurs des cigales phosphorescentes »

« Des pullulements de démences ravalant les nuits aux barycentres »

« Des prismes athées voués aux ossements obscurs, confus, brouillés »

« Des machines multiplicatrices des bacchantes immortelles »

« O existentialismes des blessures d'aurores symétriques d'aveuglements »

«  Des acuités pleureuses des richesses auréolées »

« Des synapses aux recueillements des lyres d'océans dramaturgiques »

« Des Libertés de vendanges microcéphales »

« Des violettes transgressions »

« Des mélanges triomphales bouffés d'alcôve d'hydres »

« Ou végètent les feux systémiques »

« Des flots inextinguibles des brasiers cicatriciels »

« Des âmes révélatrices »

« Des modélisations fiscales des sapins hypothétiques »

« Des pulsions symbolisées par des entrelacements fondamentalistes »

« Des basaltiques lunes aux vitalisations d'un Léviathan aux Puissances génétiques »

« Ou les chaloupements fractales des intellections hygiénistes »

« Des roseaux inconscients »

« Lavés par des automnes ironiques, qui dévorent les métaphysiques superstitieuses »

« Des vigueurs appliquées »

« Des continences aux cerveaux crevés de verts ontologiques »

« Des essences en musées suggestifs, pittoresques »

« Des cygnes extralucides qui implémentent les grâces des orphelins numériques »

« O distanciations lépreuses des vengeances saintetés »

«  Des fols crânes arrosés d'associations bouffées des paupières linguistiques »

« Des autels morphologiques »

« Des labyrinthes voguant sous les élytres kabbalistiques »

«  Des fronts érubescents des ailes tombées ô vampires tordus »

« O Nature des râles papillons cultivés d'amulettes impressives, progressives, imaginaires »

« Des égologies immenses des pierreries inconnues »

« O étincelles mathématiques des instincts tendus par des géhennes vectorisés d'hallalis abandonnés »

« O rayons voilés par les implacables dissimulations »

" Situations"

« Des inflorescences de visages illusoires »

« O traitements obscurantistes aux sanglots couvés par des menstruations scepticismes »

" Copule d'astres des souvenirs"

« Des nonchaloirs triomphales »

«  Des adieux d'omoplates spiritistes »

« O traitrises des architectoniques »

«  Les déluges spectrales déchirés d'accouplements d'imagos intérieurs »

« O pubescences des perfections d'avalanches »

« Ou les plantes musicales »

«  Profèrent les lampadophores intégrateurs »

« Des hosties sémiologiques des prolongements de sensations adorant les infinis éclos, diffusés »

« Des tabernacles transis »

« O surréalismes des bateaux extatiques »

« Aux ouvertudes, des morves d'insecticides productivistes »

« Des Dieux aux balançoires caractérielles blasphématoires »

« Des pèlerinages en concerts d'alcaloïdes »

« Qui épurent les expérimentations inattendues, occultistes, possibilités »

«  Des hérésies théogoniques, oecuménismes, des graphologies primales »

« Des kaléidoscopes succombant sous les crucifixions actualisées »

« Des Platonismes insufflés d'insuffisances lacrymales »

« Des échographies d'hirondelles ambulatoires »

« O hosannas des psychés flagellées de monstruosités publicistes »

« Des écumes délicates, subtiles »

«  O tourbillons philosophales des Visions de pampas, d'esprits telluriques »

« Des matières différences »

«  O permutations des assomptions épistémologiques, généalogies consubstantielles »

«  Des éclats jouisseurs des chaos irréels »

« O dérades comestibles... . !

 




#396700 Chanson lyrique

Posté par clemouchka - 01 novembre 2022 - 08:15

-Toi, le silence de mes yeux indicibles, caressant les peintures écroulées, dévorant mon âme
esseulée.
-Toi qui t'accroches à mes larmes fécondées de peaux sacrificielles, de peaux sans horloges
mentales.
-Toi qui me sonde dans les pétales dansant à travers les lavandes temporelles, de ton sourire
d'été.
-Je découvre ta statue brûlée de lumière mystique, caressant tes doigts adorés, tes doigts
ruisselant comme des fontaines aux yeux violets, bouleversés, qui soufflent les abeilles du
silence.
-Je recueille en toi des soleils en prières, composant mes nourritures d'automnes aux
cheveux d'océans, les aurores de ta peau, les présages de tes flûtes.
-Oui, ton astre caché de pudeur orgueilleuse, en mes langues bleues, par tes présences
existentielles, les tiédeurs constellées, parfumées d'hystéries identiques, m'interdisant tes
aumônes sans pensées, les géhennes aux sourires d'esprits immortels, infinis.
-J'hurle nos fiançailles décomposés, dans les rayons de ton âme subtilisée, égrenant tes lèvres
noires, de tes violons abandonnés, photographiques, qui mentent, qui respirent, qui
souffrent.
-Les cicatrices de tes rutilances visuelles, imaginaires, mangent des souvenirs infusés d'éther
logique, reflétés à travers ton visage aux alcools en éveil.

-Arc-en-ciel des mensonges.
-Je puise des recueillements lavés par le zéphyr, de ses parchemins de chair, transgressés.
-La ou hurle le firmament délicieux, voilé de relations ou tes mains s'évanouissent dans les
vins hypocrites, gonflés d'éternités, à genoux devant tes ongles intérieurs, chassés de
Liberté, ô naissance des corps vierges, des alcôves musiciennes, ô fraicheurs des étoiles
diffusées d'hosannas cicatriciels, des miroirs, ô nymphes intelligentes, ô confessions
épileptiques des devenirs, ô branchages des territoires les nymphéas des vanités, ô
électricités des torches de la nuit arrosée de papillons tordus, pénétrés de vertiges spectrales,
ô voie lactée des murmures, ô pierreries rêvées...




#396646 Poésie esthétique cosmique

Posté par clemouchka - 28 octobre 2022 - 06:02

Des archipels d'astres dévorés par les yeux fols, élastiques, ô parfums d'azur

Ou dansent les flacons biologiques des étoiles rousses, rêvées de chairs acoustiques

O diapasons chimériques ou des pluies d'abeilles pleurent les prières inconnues, là ou hurlent les citrons temporels

O lèvres cruelles qui se recueillent sous les splendeurs éternelles des violons d'azurs cérébraux

O pâmoisons des rêves extatiques qui frémissent sous les citadelles des perles religieuses qui tremblent, s'écroulent sous les mélancolies suicidées, ô feux d'intellections logarithmiques 

O élastiques des crépuscules ou naissent les latences bénies des baisers d'horloges pendus, sous les âmes criblées d'incontinences nerveuses, lointaines, ô torches de peaux vierges, immaculées, qui brûlent les bacchantes des richesses les nuits d'étés qui boivent les cicatrices des templiers les métempsychoses des chevelures d'araignées hypocrites, tordues, ô, tristesses des trainées de nonchaloirs respirant les comètes des angoisses photographiques

Les végétations d'alcôves bénies, ô alcools des songes ou les architectures des linceuls irradient les écritures extrêmes des tombeaux supputatifs, des électriques abstinences ou châtient les mendiants neurologiques, des incendies gemmeuses des pubescences cosmiques recommencées, ô littératures invisible qui oublient les blessures jetées de symphonies tribales, ô paupières télépathes, ô fourmillements égoïstes intégrateurs des aliénations d'épithalames linguistiques, ô mariages d'infortunes ou les lys s'accouplent avec les brasiers morcelés de pendules intuitifs, ô langues suprêmes, ô communications des adages ou meurent les lampadophores originels, ô chimies ennemies ô colombes aux beautés mémorielles des chastetés, ô liquides transcendantaux, ô pierreries parfaites, les vents, les souffles ésotériques, ô puits d'âmes vendanges d'échographies orgueilleuses, ô digressions plastiques, ô chapelets écologiques, les mains académiques, sociologiques, religieuses... .