Des caresses d’étoiles psychologiques dansaient à travers les bleus degrés des chevelures d’oiseaux relationnels.
Des pluies d’aurores ruisselaient dans les songes parfumés de lyres aux cristaux d’azurs hystériques
Des soleils amoureux pleuraient les délices noirs, génétiques, circonflexes, des caprices biologiques aux écumes des pachydermes acoustiques
Des alcools tordus, méchants, voilés, hurlaient les plantes éternelles des lèvres rêvées, pénétrées de silences à fleurs de chairs esthétiques
Les alcôves délirantes brûlaient des peintures incarnées, identiques, sociologiques, là ou les miroirs des réflexivités de camomilles chialaient des ongles pourpres, visages pneumatiques des chaos
Atavismes des araignées complexées de synapses géométriques, ou des rivières de tabernacles ployants sous des animaux horribles balancés de statues aux yeux chirurgicaux
O les enchantements des tissus impalpables crispés de lividités fleurissant les mendicités des Biologiques temporalités des étés aux harmonies des personnalités de bras en charmilles douleurs, liqueurs génétiques des papillons
Là ou des guitares aux flottaisons bizarres des ossements à cataractes des cygnes en pensées des blasphématoires fécondités des bouteilles drainées de planètes aux libellules comparatives, égrenées de flaques associatives
Des nourritures des Danaïdes tonneaux aux épures de vins accouplés d’avec les firmaments théologiques des diamants précieux inharmoniques les aurores végétales les mélancolies des nonchaloirs d’ors, abstinences des Degrés liquides
Aux tombeaux chargés des décompositions anatomiques, crispés de poings matriciels, arrachées de syncopes éternelles, ô aquilons des écritures « différantielles, » les toilettes reptiliennes des cadavres violets
O citrons des avalanches aux subtilités des cerveaux clairsemés, hybrides, à diapasons émanant des chanvres d’éthers méditatifs, ô ineffables pierreries des vertiges stigmates, à genoux sentimentaux, ô métalliques orchestrations des pensées cérébrales, itératifs des besoins... naissance des corps
des innombrables, implacables, démiurgiques palpitations des genoux perfectibles, synthétiques, noyés de sirènes mentales aux parchemins des réceptacles cellulaires, aux flacons de chrysanthèmes maladives, jalouses, ô négations des anges aux neuroleptiques accidents, des hyperboles jeux, antimatières des sociologiques déterminismes copules, brasiers d'enfantements d'arbres aumônes
Les blessures botaniques des travailleuses singularités, les feux littéraires aux mouchoirs des chimères éternelles, ô stérilités des déchirements transparents, transvasement des atmosphères idéelles, creusées de souffles Vierges, ou des artefacts astrologiques d’albâtres mémoriels, puits des miracles spirituels imagos, les orfèvres d’hiboux sécrétant des comètes pyramidales, priant les noires cécités des horloges mimétiques, des pluies plurielles les squelettes génocidaires
Aux instrumentalisations catholiques diffusées, sifflant, tanguant, frôlant des univers sanguinolents et symplectiques, des sourires bus jusqu’aux entrailles psychédéliques, des montagnes capiteuses coulées de jouissances à paupières mécanistes, tensorielles, telluriques, à continuités horrifiques, des hérétiques épileptiques dévorés, broyés, vomis des incontinences analytiques, aux fragrances électriques, étranges, impersonnelles, mangées par les sarcophages télépathes, intuitionnistes transmissions des cicatrices à matières géographes, complétudes d'animaux idiosyncrasiques, ô ténèbres des clepsydres transcendantales dynamiques, empreintes des cétacés originels / des déliquescences intégrales, pulsionnelles, ô Nature des pieds algébriques, les hydres aux facultés d’alcaloïdes vides, songes des prostitutions
Les sensualismes à breloques des réjouissances d’insectes mathématiques, topologiques vacuités des ondées, les récoltes des larmes aux roulements capitalistes, des Religions grammaticales, ô trésors Actuels ! O labourages des silices imperméables,ô architectures des ventres Divins, ô primales mathématiques des langues bicéphales ! I O ordinateurs des autodafés abstraits ! ... .
- M. de Saint-Michel, Thomas McElwain, caillou caillasse et 1 autre aiment ceci