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La Maison brûlée

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#362033 Lecture-rencontre avec Catherine Gil Alcala

Posté par La Maison brûlée - 27 avril 2019 - 02:08

Samedi 4 mai 2019 à 15h

 

Bibliothèque Pompidou

 

68 rue Léon Bourgeois - 51000 Châlons-en-Champagne

 

Catherine Gil Alcala interprétera une sélection de ses textes, sous l’arbre dans le jardin de la bibliothèque, ou à l’auditorium, en cas de mauvais temps.

 

Avec des extraits de Zoartoïste ainsi que des poèmes de ses deux derniers livres de poèmes : La Somnambule dans une Traînée de Soufre et La Foule Divinatoire des Rêves.

 

 

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" On y rencontre toute l'humanité et de tous les temps, une simple vieillarde, mais aussi une dame qui « joue au bilboquet aztèque », un homme au visage d'Etrusque, un homme qui joue « un air ancestral » sur son oud, Adam lui-même... et aussi Eros, et aussi « des voix intemporelles », et les dieux de l'Iliade... Et les rêves accueillent aussi bien le téléphone et le réfrigérateur que « la porte en ogive d'un temple » ou la guerre de Troie. Dans cet univers hétéroclite toutes les métamorphoses sont possibles, celle d'un morceau d'arc-en-ciel en « petit chien bleu », celle d'un homme en « statue de bois », de chaussures bleues en « deux oies blanches ensanglantées », ou de chouettes en fauves. "

La Foule Divinatoire des Rêves, Catherine Gil Alcala, par Claire-Neige Jaunet, La Cause Littéraire

 

 

La Bibliothèque

 

Revue de presse

 




#360044 Catherine Gil Alcala : Théâtre Poésie & Dessins

Posté par La Maison brûlée - 05 mars 2019 - 07:13

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Interview par Daniel Graisset
Émission AR-FM (Aubervilliers Radio), mars 2019, Fréquence Paris Plurielle

Toute la revue de presse de Catherine Gil Alcala

 

 

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Catalogue des livres de Catherine Gil Alcala  

Dessins

Spectacles




#348585 Les Farces Philosophiques, de Catherine Gil Alcala

Posté par La Maison brûlée - 14 juin 2018 - 09:59

Vendredi 29 juin 2018 à 19h

 

Dans le cadre des Coïncidences (soirée performances)

 

Lecture performée et dirigée par Catherine Gil Alcala de 4 de ses Farces Philosophiques par les comédiens : Stefanie Buard, Claude Barraud, Édouard Bueno.
 

Le Vent se lève
 

181 avenue Jean Jaurès – 75019 Paris

(derrière le café COMPTOIR JEAN, au niveau des grilles grises)

Métro Ourcq (ligne 5) / sortie 3 : Adolphe Mille

 

durée 1 heure, entrée libre

 

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LA VOIX

Le fils s'enfile ses cachous qui se transforment en balles de plomb dans ses entrailles, la mère triture les friandises dans son haleine pleine de fantômes.

 

LE FILS

On va chez le psychanalyste pour jouer à être fou, et moi-même j'ai toujours rêvé à être fou pour m'évader.
J'envoie ce message comme un talisman.
Je suis désolé, mes rencontres ont toujours été catastrophiques !
Je porte en moi les secrets qui se propulsent, des êtres sur moi, comme les paroles qui s'imposaient à James Joyce, et je ne sais jamais s'ils existent uniquement dans le champ littéraire ou artistique, ou s'ils ont fonction d'englober le monde et son interaction.
La paranoïa de l'autre est comme une glu.
Le récepteur est forcément schizophrène, chaman et bouc émissaire.
Pour être récepteur, il faut avoir en soi une faille ou un miroir brisé pour laisser passer la lumière.

 

LA MÈRE

Gnagnoumglouragneragnegnoumgniougnigagnioumgouliroulegoule !

 

LA VOIX

Maman a une pulsion invocante et dévorante, une vocation pour moi comme qui dirait, comme qui dirait et en quelque sorte mortelle, couci-couça et couic !

...

 

 

 

Revue de presse de l'auteur :

 

Poésie intense qui déploie avec faste les charmes envoûtants de son inspiration mythique, La Foule Divinatoire des Rêves renoue avec la force cathartique du genre tragique au Ve siècle athénien. O. d’Harnois, Lectures au Coeur

 

Le monde de Catherine Gil Alcala trouve racine dans l’invisible. C’est un euphémisme d’écrire que son univers reste celui des horizons imprécis. Son terreau de l’inconscient, son monde des impossibilités se décline en "rêves numineux". C. Batumike, Intertitres

 

... Le Langage -l'incantation, la manducation, la transe de la langue- constitue le chef d'orchestre de ce Poème polyphonique, sorte de deus mortel ex machina dirigeant l'action dramaturgique de la tragédie humaine en cours d'exécution ... M. Compère-Demarcy, Recours au poème

 

La puissance spectaculaire et la force poétique du texte, les audaces thématiques et stylistiques font de la lecture de Zoartoïste une expérience intense. Elle laisse augurer d'un retentissement émotionnel décuplé par le spectacle théâtral et le pouvoir cathartique de l'angoisse existentielle représentée. J.-A. Huynh, Place de la Sorbonne

 

Pythie au verbe noir et flamboyant, elle pousse les mots à leur paroxysme pour nous faire basculer de l'autre côté, du côté du grand rire salvateur, où rien n'est sérieux, tout est primordial. Cathy Garcia

 

Cosmogonie individuelle, l'inspiration de Catherine Gil Alcala est de ces aérolithes mentaux où notre réalité se retrouve métamorphosée par le souffle protéiforme d'une pensée magique... M. Compère-Demarcy, La Cause Littéraire

 

Et que l'on soit pris par le fantasme ou la poésie, on est attiré par la scène intérieure de l'artiste, par son théâtre mental, par son théâtre du rêve, où l'auteur se voit en miroir, lequel sert à saisir une personnalité complexe et particulière. D. Ayres, Reflets du Temps

 

Une femme qui entre en poésie ne possède-t-elle pas dès lors "Une langue de feu" qui "s'élance sur la terre" ? F. Urban-Menninger, Exigence : littérature

 

La poésie a cela de fascinant qu'elle peut être à la fois ouverte à toutes les interprétations et à la fois terriblement précise dans ce qu'elle veut transmettre. E. Kempenaer, Le Suricate

 

Délire, transe, poésie exorcisante ou exutoire théâtral, Catherine Gil Alcala revient à la source même du cri qui génère toutes les béances jusqu'à faire parler ou hurler les bouches d'ombre qui hantent nos nuits. F. Urban-Menninger, Exigence : littérature

 

... Oui, nous sommes bien dans un théâtre de chair, dans une création organique dont la langue est le mouvement de macération, qui se trouve en phase avec des forces dionysiaques, ivres, Ménades qui courent et se défont, dans une sorte de tragédie eschylienne… D. Ayres, La Cause Littéraire

 

... la poésie de Catherine Gil Alcala s'apparente à une généalogie matriarcale. Son écriture ciselée est marquée des malheurs de l'être féminin abandonné à son sort dans un univers qui le surpasse, le détermine en le violentant... D. Sahyouni, Le Pan poétique des muses

 

...livre d'oracles. L'expression d'une autorité des mots et des idées... vous serez happé par du plus grand, du plus fort... E. Palmer, Luxsure

 

... de l'Apocalypse johannique aux figures d'Apollinaire, ... une poésie verte et capiteuse, où coulent les semences et les sécrétions, qui versent une sorte le lait brûlant du désir au milieu des pages... D. Ayres, La Cause Littéraire

 

... Son texte traverse à la fois le monde des bêtes et celui des hommes... Et tous sont sur le devant de la scène tragique intemporelle, née de la Grèce. C'est le destin, le fatum qui tisse les lignes de forces... Les spectres des victimes comme dans Hamlet taraudent leurs meurtriers... M. du Crest, La Cause Littéraire

 

... l'enjeu d'une telle création autour de la question du langage où nous passons derrière le miroir... Où la question du sens et du non-sens se pose corrélativement à celles sur la relation entre théâtre et poésie, philosophie et littérature... M. Compère-Demarcy, La Cause Littéraire

 

On n'a probablement pas lu quelque chose d'aussi fantaisiste depuis Novarina, on n'a pas lu quelque chose d'aussi éclaté depuis Heiner Müller. C'est radical, un peu dans l'esprit d'Artaud, on a quelque part Artaud aussi dans le titre. Ça défie l'imagination. Thomas Hahn, Émission Tempête sur les planches

 

Parce que la vie ressemble parfois à du Shakespeare, Catherine Gil Alcala revendique une écriture pulsionnelle... J.-P. Gavard-Perret, lelitteraire.com

 

Cette pièce dégage une puissance incroyable. Le style de Catherine Gil Alcala est très particulier, oscillant entre jeux de mots bien sentis et autres contrepèteries. D. Troniseck, Le Suricate

 

...un travail du langage, comme un travail de forge, mais aussi avec finesse, comme un théâtre de souffleur de verre... D. Ayres, Reflets du Temps

 

... un texte tour à tour hanté par la brutalité sommaire qui nous vient d'Eschyle, et la modernité d'un Ionesco. Tension entre la bouffonnerie et le poème violent... D. Ayres, Reflets du Temps

 

 

 

Revue de presse Catherine Gil Alcala : www.lamaisonbrulee.fr/presse

Catalogue des livres de Catherine Gil Alcala : www.editionslamaisonbrulee.fr

Le Vent se lève : www.leventseleve.com




#347156 La Foule Divinatoire des Rêves - Performance Catherine Gil Alcala

Posté par La Maison brûlée - 08 mai 2018 - 02:20

Samedi 26 mai à 18h

 Performance suivie d'une dédicace des livres de Catherine Gil Alcala publiés aux éditions La Maison Brûlée.

Dans le cadre de la Librairie éphémère - Festival Quartier du Livre

 

 

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Mairie du 5e - salle du Souvenir
5, place du Panthéon 75005 Paris

 

 

"Je bois à la fontaine la drogue de jouvence.

Une joie mêlée d'effroi rejaillit du passé.

J'entends un cri aigu dans chaque goutte d'eau.

 

Un homme me scrute au fond d'une grotte.


Les coups de griffes de la destinée ont peint des larmes de sang

sur son visage d'étrusque.

 

Son regard se fige, il se transforme en statue de bois."

 

 

Et que l'on soit pris par le fantasme ou la poésie, on est attiré par la scène intérieure de l'artiste, par son théâtre mental, par son théâtre du rêve, où l'auteur se voit en miroir, lequel sert à saisir une personnalité complexe et particulière. D. Ayres, Reflets du Temps

 

 

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La presse en parle :

 

Cosmogonie individuelle, l'inspiration de Catherine Gil Alcala est de ces aérolithes mentaux où notre réalité se retrouve métamorphosée par le souffle protéiforme d'une pensée magique... MCDEM, La Cause Littéraire

 

Pythie au verbe noir et flamboyant, elle pousse les mots à leur paroxysme pour nous faire basculer de l'autre côté, du côté du grand rire salvateur, où rien n'est sérieux, tout est primordial. Cathy Garcia, La Cause Littéraire

Une femme qui entre en poésie ne possède-t-elle pas dès lors "Une langue de feu" qui "s'élance sur la terre" ? F. Urban-Menninger, Exigence : littérature

La poésie a cela de fascinant qu'elle peut être à la fois ouverte à toutes les interprétations et à la fois terriblement précise dans ce qu'elle veut transmettre. E. Kempenaer, Le Suricate

 

Délire, transe, poésie exorcisante ou exutoire théâtral, Catherine Gil Alcala revient à la source même du cri qui génère toutes les béances jusqu'à faire parler ou hurler les bouches d'ombre qui hantent nos nuits. F. Urban-Menninger, Exigence : littérature

 

... Oui, nous sommes bien dans un théâtre de chair, dans une création organique dont la langue est le mouvement de macération, qui se trouve en phase avec des forces dionysiaques, ivres, Ménades qui courent et se défont, dans une sorte de tragédie eschylienne... D. Ayres, La Cause Littéraire

 

... la poésie de Catherine Gil Alcala s'apparente à une généalogie matriarcale. Son écriture ciselée est marquée des malheurs de l'être féminin abandonné à son sort dans un univers qui le surpasse, le détermine en le violentant... D. Sahyouni, Le Pan poétique des muses

...livre d'oracles. L'expression d'une autorité des mots et des idées... vous serez happé par du plus grand, du plus fort... E. Palmer, Luxsure

... de l'Apocalypse johannique aux figures d'Apollinaire, ... une poésie verte et capiteuse, où coulent les semences et les sécrétions, qui versent une sorte le lait brûlant du désir au milieu des pages... D. Ayres, La Cause Littéraire

 

... Son texte traverse à la fois le monde des bêtes et celui des hommes... Et tous sont sur le devant de la scène tragique intemporelle, née de la Grèce. C'est le destin, le fatum qui tisse les lignes de forces... Les spectres des victimes comme dans Hamlet taraudent leurs meurtriers... M. du Crest, La Cause Littéraire

 

...un travail du langage, comme un travail de forge, mais aussi avec finesse, comme un théâtre de souffleur de verre... D. Ayres, Reflets du Temps

... l'enjeu d'une telle création autour de la question du langage où nous passons derrière le miroir...  Où la question du sens et du non-sens se pose corrélativement à celles sur la relation entre théâtre et poésie, philosophie et littérature... M. Compère-Demarcy, La Cause Littéraire

Parce que la vie ressemble parfois à du Shakespeare, Catherine Gil Alcala revendique une écriture pulsionnelle... J.-P. Gavard-Perret, lelitteraire.com

On n'a probablement pas lu quelque chose d'aussi fantaisiste depuis Novarina, on n'a pas lu quelque chose d'aussi éclaté depuis Heiner Müller. C'est radical, un peu dans l'esprit d'Artaud, on a quelque part Artaud aussi dans le titre. Ça défie l'imagination. Thomas Hahn, Émission Tempête sur les planches

... un texte tour à tour hanté par la brutalité sommaire qui nous vient d'Eschyle, et la modernité d'un Ionesco. Tension entre la bouffonnerie et le poème violent... D. Ayres, Reflets du Temps

 

Revue de presse Catherine Gil Alcala : www.lamaisonbrulee.fr/presse

Catalogue des livres de Catherine Gil Alcala : www.editionslamaisonbrulee.fr

Festival Quartier du Livre : www.facebook.com/quartierdulivre/