L. A. de J.

Salutations, Madame.

Merci de votre, intention.

Désolé, de n'avoir l'instruction, et la compréhension,des langages de salons.

Je ne sais, si je vais publier, certains de mes écrits, sur ce site, ce sont souvent des textes d'une page a 4,

Je me cherche, et trop souvent, dans le passé, je me suis réfugié dans ma forêt, dans le silence de l’immense.

L’orthographe n'est point mon fort, je suis tout le temps en désaccord, pour moi, c'est m^me un inconfort.

Je vous souhaite, bonne route.

Salutations à tous.

Bonsoir,

Vous dites nous, qui sont les nous, d'autres et puis vous?

Et puis vos rires, que veulent-il dirent?

Dois-je m'en réjouir, ou les bannir.

La vie, n'est-elle pas un bouillon, de culture.

Centrale et égotique, c'est un bouillon pratique,

c'est même une tactique, cela est un classique.

Le rêve est bien venu, s'il est très bien vécu,

Souvent on est déçu, si rêve est mal perçu.

En ma forêt, bien des parfums, en toutes saisons,

Quand à la patte de velour, tout reste à découvrir.

a une prochaine visite, peut-être.

Je vous souhaite, bien du bien être.

L.A. de J.

OK; Bonne route.

Histoire de :

 La Question est :  " que m’arrive t'il ',

Si la vie je haï, est-ce inutile ?

Venons-en aux faits, en moi que brûle-t-il ?

Paris est sans haies, mais rien n'est futile ;

L'oiseau chanterait, s'il n'est en exile.

Moi ce que je sais, c'est que dans les villes ;

On ne sait jamais, quel est notre style.

Moi, ce que je crois : ' que vos écrits sont un crie' ;

c'est un émoi, d'un être qui vit à Paris.

Faut pas être fugace; si quelque chose, nous lasse ; et que ça nous agace; c'est une leçon de grâce.

La vie est une étude; c'est une certitude :  la leçon, tu élude; la vie est plénitude .

De L.A. de J.