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L. A. de J.

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Publications sur Toute La Poésie

les attributs de l'être.

22 mars 2018 - 08:52

A 3. La poésie est un attribut de l’être.

L’être, il est endormi ; son attribut aussi

Il y’ a la poésie ; attribut de la vie.

Il faut le réveiller ; de façon à parler

De façon plus jolie ; cela est mon avis.

Mais Pour le réveiller, il faut être inspiré

Et ne pas trop dormir ; il faut se souvenir.

Suffit de peu de chose ; de regarder les roses

Et de les respirer ; pour mieux s’en imprégner.

Question de perception ; entrer en sa maison 

Y’a pas de préavis ; tu peux être surpris.

Car pour l’inspiration ; y’a bien des conditions 

Avoir de l’attention ; écouter ses passions.

Il y a, à foison ; plein de bonnes raisons

De voir le paradis ; oui, de le voir ici.

En parlant aujourd’hui ; sans attendre demain 

Pas tomber dans l’oubli ; c’est pas notre destin.

C’est la paix intérieure; qui est notre bonheur

Elle est venue ton heure ; il faut cesser les pleurs.

Car toi, tu le vois bien ; que d’attendre demain

Cela est plus certain ; de te reprendre en main.

Regarde autour de toi ; et même sous ton toit

Et puis regarde en toi ; il y a bien un soi. 

Qui demande à parler ; et puis à s’exprimer

C’est lui qui a raison ; c’est lui qu’est le patron.

Le langage du charretier ; c’est pas recommandé

Pour les ouvrir, les portes ; ne pas parler d’la sorte.

C’est petit à petit ; qu’on retrouve ses outils

C’est bien cela le but ; trouver ses attributs.

 

De façon à parler ; sans ne plus s’énerver

Faire passer l’émotion ; ne plus hausser le ton.

Regarde à l’extérieur ; il y a la beauté 

Il y’a toutes les fleurs ; pour nous donner bonté.

Et puis à l’intérieur ; en toi  la vérité

Laisse toi  voyager ; au gré de tes pensées.

Moi qui ai retrouvé ; un peu de ma vertu

Moi je peux en parler ; de ce bel attribut.

Il est le bienvenu ; c’est plus un inconnu

Et toi, si tu le veux ; toi aussi, tu le peux.

Je le vois dans tes yeux ; ils brillent de mille feux

Le langage des cieux ; c’est bien celui des dieux.

 

Les Ateliers de Jacques.

 

 

Le désert et la solitude.

17 janvier 2018 - 08:29

J10.    La solitude et le désert.                     La solitude et le désert ; le désert est la solitude,

                                                             La solitude, pourquoi faire ; le désert est-il, inquiétude.

 

                               La solitude est une affaire ; et le désert est la quiétude,

                        Si solitude peut te faire ; en ton désert, trouver la plénitude.

 

        La solitude peut se faire ; en étant seul dans le désert,

Cela prépare une atmosphère ; qui met l’égo en solitude.

 

Ce processus est une affaire ; ou chacun peut trouver désert,

   En soit il est, là, le désert ; et elle est là, la plénitude.

 

                 Aucun besoin d’être en désert ; pour déserter son plan d’étude,

                      Tu peux le faire, sans le désert ; trouver la joie, la plénitude.

 

                                      Tu sais l’égo est délétère ; il te fait croire, que t’as pas d’air,

                                             Il t’asphyxie de l’intérieur ; il te fait voir, que t’a pas d’cœur.

 

                                                          L’égo travaille en certitude ; c’est lui qui est, l’objet d’étude,

                                                               Il fait croire que la plénitude ; faut la chercher en servitude.

 

                                                                               La solitude de l’esprit ; être en dehors de tous les bruits,

                                                                                     De tous les mots, aussi des maux ; c’est le désert, vu de l’égo.

 

                                                         Si l’intellect, y met son grain ; que le désert devient chemin,

                                                         Tu as besoin d’aller au loin ; trouver en toi dans le lointain.

 

                                                                           Cela fonctionne pour des humains ; certains, y trouvent un chemin,

                                                                                Cà veut pas dire que le divin ; pour tous, il vient en ce chemin.

  Car des chemins, ils y’en a pleins ; autant, qu’il y a d’êtres humains,

     Et si toi t’as, trouvée le tien ; pour le moment, pour toi c’est bien.

 

                      Mais le désert, est désertique ; et pratiquer cette pratique,

                           N’est pas toujours très idyllique ; certains peuvent y trouver un hic.

Intro A2

12 janvier 2018 - 06:18

A 2.        Pour écrire un poème

    Pour écrire un poème ; il faut être inspiré

Et il faut parfois même ; être désespéré.

Il y’a des matins blêmes ; quand je suis fatigué

Ce n’est pas de la crème ; de devoir se lever.

Dans ma vie de bohême ; moi j’avais espéré

Que si la vie, on l’aime ; elle peut nous rassurer.

    Moi j’ai eu de la veine ; ton regard j’ai croisé

Et J’ai moins de déveine ; là, ça m’a étonné.

Pour écrire ce poème ; toi, tu me l’as soufflé

Je te prends pour ma reine ; la joie de mes pensées.

 Je suis moins en haleine ; tu me fais respirer

Je n’ai pas eu de peine ; de t’avoir rencontrée. 

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Suite, Suivant demandes.

Remerciements.

09 janvier 2018 - 08:07

De L.A. de J.

Bonjour,

L'école des petits ; elle ne m’a pas fait envie : et l'école des grands ; c'était y'a bien longtemps.

Merci à vous, amis (es) ; qui lisez mes écrits : vous dites des mots gentils ; moi je vous remercie.

          Moi si j'écris comme ça ; pour parler ici-bas : c'est naturel en moi ; ce rythme-là, me va.

          Pour parler de la vie ; pour aider des amies : pour donner mon avis ; répondre à des soucis.

C'est que j'ai vu, un hic ; c'est peut-être un déclic : qu'est-ce que vous me dites ; quand vous dites "classique".

En tout cas, je m’amuse ; de cette façon je ruse : et même j'en abuse ; les femmes sont mes muses.

          Moi, j'en écris des pages ; je ne sais, si c'est sage : peut-être faire un ouvrage ; m’appliquer davantage.

          Oui, peut-être essayer ; de me canaliser : pour les vers, les compter ; écrire des sonnets.

Mais je suis trop souillon ; ma vie est un brouillon : je baigne dans un bouillon ; j' en perd même, la raison.

J'ai fait trente-six métiers ; j'ai des facilités :  à trop vouloir aider ; j'ai même déprimé.

           Maintenant, j'ai pris de l’âge ; je me pose davantage : j'écris et je partage ; et puis je rends, hommage.

           Un hommage à la vie ; La Versification, j'écris : Le huit est infini :  et nous sommes en huit.

Je remercie, la vie ; les anges, et les amis (es) : mais nous sommes en sursis ; la vie elle se détruit.

Si l'humain se laisse faire ; bientôt la vie sur terre : ne sera, que désert ; quoi-donc pourrait-on faire.

            La remercier, la vie : la respecter, aussi : partager des écrits ; lui dire, qu'elle est jolie.

           Lui dire, qu'elle est belle ; que moi, elle m'ensorcelle : que l'amour, j’amoncelle ; qu’en moi, pousse des Ailes.

 

De L. A. de J.                      Salutations.

j'aimerais comprendre.

08 janvier 2018 - 06:47

De L. A. de J.

J'aimerais comprendre, pourquoi ; je cris, et je suis aux abois : pourquoi je fais n’importe quoi : pourquoi je cours à travers bois ?

à travers bois, je tiens ta main ; avec toi, je me sens bien : se promener, oui, aller viens ; nous parlerons, sur le chemin.

 

Sur le chemin, de notre vie ; on marche, on court, et puis on crie : et on se fait, bien des soucis ; la vie ici est en sursit !

en sursit, oui, on y est ; on a produit, on a trop fait : et en retour, y'a des effets ; ce qu'on a fait, n'est pas parfait.

 

N'est pas parfait, notre chemin ; n'est pas facile, notre destin : nous ne sommes que, des hêtres humains ; qu'ont oubliés, qu'ils sont Divins,

ils sont Divin, ça faut le voir; ne pas laisser le désespoir : nous embrumer notre miroir ; apprendre à voir, pour mieux y croire.

 

Y croire, en soi, croire en son soi ; et ce n'est pas ce que l'on croie ; non ce n'est pas porter la croix ; c'est juste suivre, la voie en soi,

la voie en soi, je la connais ; j'en ai étudié, des effets : et toi aussi, c'est c' que tu fais ; vivre la vie, et ses succès.

 

Ses succès, on oublie souvent ; on fait la pluie et le beau temps : oui nous on crée, notre présent ; et on oublie bien trop souvent,

bien trop souvent, on est perdu ; la vie pour nous est inconnue : et puis on joue les ingénus ; on fait semblant, d'croire qu'on à vue.

 

Croire qu'on a vu, qu'on a rêvé : à une autre, réalité : bien que les rêves soit mélangés ; ils nous parlent, de, la vérité,

la vérité, on cour après ;  pourtant son soi, on le connais : mais en surface, ce qui parait ; ce ne sont que, quelques effets.

à suivre.          De L. A. de J.