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Ardavan

Inscrit(e) : 28 mars 2020
Hors-ligne Dernière activité : févr. 27 2022 09:41

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Quand tu ne me reconnaîtras plus

11 avril 2020 - 12:48

Déclaration et une belle prise de conscience 

Dans la publication : J’accepte les défis à venir

09 avril 2020 - 06:50

La vérité ne s'étouffe jamais. 

Dans la publication : Amour

09 avril 2020 - 06:38

Bravo, votre poème n'a point besoin d'image.

Oui la douleur fait partie intregrante de l'amour, comme la joie.  

Dans la publication : La porte bleue

09 avril 2020 - 06:13

Bonjour

C'est très beau, j'aime cette fougue, cette violence qui fondent comme l'écume, sur le sable.
Pour moi l'horizon ne cache pas la vie, comment dire......

...Je le vois se dissoudre,
Cet horizon qui sombre,
Cette fragile frontière
Bouffée par la brume
Entre l'espoir et la peur,
Entre l'amour et l'amertume...

Je le vois comme la fracture intime de l'être entre deux élément fondamentaux et contradictoires, aperçue sous un éclairage qui varie de la lumière la plus intense à la nuit la plus noire.
Et donc plutôt comme l'essence même d'une vraie vie.
Qu'en pensez vous?

Encore bravo. Philippe

Merci Philippe, c'est une vision dualiste de la vie, je pense que "la lumière la plus intense à la nuit la plus noire" ne sont pas en contradictions, elles ne peuvent exister l'une sans l'autre, elles sont dans ce cercle de la vie et comme les vagues de l'océan. Ce cercle est en perpétuel mouvement. C'est la vie. 


Merci Philippe, c'est une vision dualiste de la vie, je pense que "la lumière la plus intense à la nuit la plus noire" ne sont pas en contradictions, elles ne peuvent exister l'une sans l'autre, elles sont dans ce cercle de la vie et comme les vagues de l'océan. Ce cercle est en perpétuel mouvement. C'est la vie. 

Dans la publication : La porte bleue

09 avril 2020 - 06:01

Bonjour

C'est très beau, j'aime cette fougue, cette violence qui fondent comme l'écume, sur le sable.
Pour moi l'horizon ne cache pas la vie, comment dire......

...Je le vois se dissoudre,
Cet horizon qui sombre,
Cette fragile frontière
Bouffée par la brume
Entre l'espoir et la peur,
Entre l'amour et l'amertume...

Je le vois comme la fracture intime de l'être entre deux élément fondamentaux et contradictoires, aperçue sous un éclairage qui varie de la lumière la plus intense à la nuit la plus noire.
Et donc plutôt comme l'essence même d'une vraie vie.
Qu'en pensez vous?

Encore bravo. Philippe