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Protoss

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Hors-ligne Dernière activité : oct. 12 2019 05:53

#350097 Je vous offre une place en enfer

Posté par Protoss - 26 juillet 2018 - 07:19

Il faut tuer le roi !

 

encore une fois

 

tous ensemble




#350091 Je vous offre une place en enfer

Posté par Protoss - 26 juillet 2018 - 07:09

Non je  dis non, je repousse tout cela

 

Même de toute ma vie, si il puisse avoir une seul phare

 

Ma proclamation sera non a cette cochonnerie inutile

 

Qu'est cette déshumanisation organisé ...




#326863 À vrai dire

Posté par Protoss - 20 novembre 2016 - 12:56

N'est-ce pas dans la solitude que dieu nous parle ?




#326862 La sauvagerie primitive

Posté par Protoss - 20 novembre 2016 - 12:43

Dans la vie, il y a deux portes, la sécurité et la liberté, si tu choisis la sécurité, tu perds les deux...

 

merci pour cette fibre




#326861 Avant le solstice

Posté par Protoss - 20 novembre 2016 - 12:15

Salutations a tous...

 

Je vous laisse une petite muse ...

 




#326788 Colère

Posté par Protoss - 18 novembre 2016 - 07:50

Si vous n’êtes pas comme eux, devenez le changement que vous souhaiteriez dans ce monde...

 

Vous n’êtes pas seule ...Heureusement :)




#326786 Avant le solstice

Posté par Protoss - 18 novembre 2016 - 07:25

La brise frétille, dans les feuilles de l'orme,
où les ramages s'enflamment d'un vert changeant,
les ombres vacillent, sous les arbres qui dorment,
et je rêve à  la cime, de ton sein si brulant

Les eaux claires tiédissent, les nuages se forment,
les racines sommeillent dans les sols rouillant,
la sève s'attarde, dans le cœur des pommes,
et ta chair se cambre, au milieu des élans

Les étoiles scintillent, le jour se déforme,
le soir se  renomme crépuscule mourant,
l’été sous mes yeux, soulève l’uniforme,
et mes lèvres se baignent, dans ton doux océan…

 

Protoss




#319098 le retour d'avril

Posté par Protoss - 21 avril 2016 - 05:26

Ma lyre embrasée sous l'avril, éveil ses hanches vibrantes,

au retour des pluies  quand s’écoule, l'ébauche, de mon cœur battant,

en divin apprenti, découvrant les parfums de la fleur béante,

où secousses les spasmes de ma vie sur son corps de printemps

 

Les bouches percées de rougeur, d'essentielles douceurs enivrantes,

pour monter dans le cou de la grâce et atteindre les baisers si ardent,

descendant s'abreuver au milieu de la blouse d'une soif vibrante,

elles iront s'enlacer, sur les flancs arrondit d'un bassin invitant,

 

Le cadeau de ses troubles passion, arrivent sur des lèvres remuantes,

affamées, les deux mains dans le cou, aspirant d'une manière persistante,

la verve frénésie, qui récite de son timbre avide, la longue escalade du oui

 

Pour ouvrir l'espace vital et entrer les pieds nus, dans la flore seyante,

Où je sens de partout, la fraîche rondeur de ses fruits, aux saveurs suantes,

quand jaillit de mon être l'extase, d'être deux dans la même et seul vie...

 

Protoss




#246304 La pyramide

Posté par Protoss - 19 novembre 2013 - 06:14

Ça n'est quand même pas moi qui a causer la récession,  et pourtant je sens toujours une faute qui survol au dessus de ma tête

Comme si je n'avais jamais été asser ceci ou cela pour prévoir les coups, même si des millions de personnes subissent le même sort, ou encore des villes, voire des pays

J'ai l'impression que toute ma valeur humaine, disparait avec mon crédit

Quand la richesse collective baisse, la couverture se retire lentement, et tous les regards se détournent

Le système à besoin de pertes pour vivre, survivre, et se nourrir , et il en est tellement convaincu, qu'il n'existe plus aucune lueur d’humanité dans ses yeux

Un simple regard désapprobateur et sans pitié, glace le sang et rappel a chaque seconde que la vie sans argent est sans valeur d'aucune sorte

Cet œil qui nous convainc si facilement de devoir être riche, tue aussi aisément une personne, un peuple, une nation en un battement de paupière

Je ne vais pas changer les mœurs et l'idéologie de personnes, ni d’aucun gouvernement, ni d'aucune nation

Je suis en détresse au plein cœur de la richesse, qui va m'entendre ?

J'ai trop étudié, je ne peux pas vendre des fruits, ou balayer la rue, je devrais être ailleurs et riche, comme il est convenu

Ce si grand don de la vie que tout le monde a oublié, ne ressemble plus a rien

Cette si belle vie, que j'ai eu, qui me montrait la nature, et la création sublime  dans toute sa splendeur,
se retrouve rétrécit, forcé de toutes les manières, et de toutes parts, pour que je la voie d'une façon pourrie

Cette vie irréel que je repousse, me fait perdre de l’intérêt, me rend triste, dépourvue et sans issues

Qui pourrait croire aujourd'hui, que la dernière pierre d'une pyramide puisse être là sans aucune  raison ?

 

Protoss



































 





 


Desolé, pas habitué avec la souris SVP effacer le double de ma publication merci! :)




#246303 La pyramide

Posté par Protoss - 19 novembre 2013 - 06:06

Ça n'est quand même pas moi qui a causer la récession,  et pourtant je sens toujours une faute qui survol au dessus de ma tête

Comme si je n'avais jamais été asser ceci ou cela pour prévoir les coups, même si des millions de personnes subissent le même sort, ou encore des villes, voire des pays

J'ai l'impression que toute ma valeur humaine, disparait avec mon crédit

Quand la richesse collective baisse, la couverture se retire lentement, et tous les regards se détournent

Le système à besoin de pertes pour vivre, survivre, et se nourrir , et il en est tellement convaincu, qu'il n'existe plus aucune lueur d’humanité dans ses yeux

Un simple regard désapprobateur et sans pitié, glace le sang et rappel a chaque seconde que la vie sans argent est sans valeur d'aucune sorte

Cet œil qui nous convainc si facilement de devoir être riche, tue aussi aisément une personne, un peuple, une nation en un battement de paupière

Je ne vais pas changer les mœurs et l'idéologie de personnes, ni d’aucun gouvernement, ni d'aucune nation

Je suis en détresse au plein cœur de la richesse, qui va m'entendre ?

J'ai trop étudié, je ne peux pas vendre des fruits, ou balayer la rue, je devrais être ailleurs et riche, comme il est convenu

Ce si grand don de la vie que tout le monde a oublié, ne ressemble plus a rien

Cette si belle vie, que j'ai eu, qui me montrait la nature, et la création sublime  dans toute sa splendeur,
se retrouve rétrécit, forcé de toutes les manières, et de toutes parts, pour que je la voie d'une façon pourrie

Cette vie irréel que je repousse, me fait perdre de l’intérêt, me rend triste, dépourvue et sans issues

Qui pourrait croire aujourd'hui, que la dernière pierre d'une pyramide puisse être là sans aucune  raison ?

 

Protoss