lio...

Le fruit déhiscent et un peu narcissique au-dessus de la rivière de ses pleures...

C'est Adam peut-être?

Rien dans l'admiration de sa propre personne...
Seulement une attention de soi que favorise ce moment de solitude.
Le regard ne se figeant pas seulement dans le reflet de ses compassions intimes. Il se porte ailleurs. Hors des vieux rivages.
Heureusement d'ailleurs...

Narcisse, Adam. Echantillon de l'humanité ?...

heureuse de te lire à nouveau lio...
 
ton texte est un courant
je me sens fétu
à te lire

Courant paisible...
Merci à toi.

Merci lio... de partager avec nous ce poème aux sonorités douces et entraînantes, que le rythme semblable au long flot d'un "filet d'eau sage" auréole d'une atmosphère envoûtante et apaisante.

Derrière et devant soi, dans le jour devenu accalmie...

Magnifique !

Merci.

Songer à ce qui n'est plus, de la douleur en filigrane.
Prison intemporelle dont on visite le parloir...

Fragile et lucide.

Et toi tu es incapable de sortir de ta connerie

Je dis que les roms dérangent tout le monde

Je n'ai jamais parlé de lutte des classes

Là ! C'est juste ton propre fantasme

Mais de droit de L'homme et des roms

je sais aussi qu'il y a un profond racisme anti roms en France

Je vais pas me taire ni faire la révolution

Racisme anti-rom  ??...

Que ne faut-il pas inventer pour montrer qu'on a le cul plus propre que son voisin.

Le problème avec les gens de peu de courage, et néanmoins violents, c'est qu'ils utilisent plus faibles qu'eux, c'est à dire leurs gosses entre autres,  pour se goinfrer de cette liberté que les impuissants mythifient, faute de n'avoir pas réussi la leur.

Tu perpétues ce système en te trompant niaisement de vertu.

Le droit de l'homme ?

Et ses devoirs ??????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????

Je ne te confierais pas mes enfants...

Suis-je raciste ?

Allez, fais-moi rire.

Des instants qui émeuvent.

Un texte que l'on peut faire nôtre, tant il touche à la fragilité de l'être et dans ce que nos mémoires recèlent de peine contenue.

Des souvenirs de chair où le sanglot affleure, si ce n'était la pudeur de nos mots...

Si j'avais su...