Presqu’île
Des murs d’angoisse de toutes parts ; l’enfant prison s’en est caché
Bastille de peur, les yeux hagards ; l’enfant cloison s’est envolé
Refuge-prison, il s’en retourne ; plus de contact entre nous deux
Et moi en face, je me détourne ; mon cœur peiné, scindé en deux
Envie de fuir sa solitude ; ou bien l’espoir de la briser
Jamais possibles les certitudes ; les doutes, pour nous, n’ont de pitié
L’enfant prison et géôlier ; une lourde clé à son trousseau
Si difficile à insérer ; sortit du monde en vase clos
Pour s’évader !
30 mai 2010
Monique Zomer
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