Lochin for ever
Les Highlands, plateaux barbares,
Les mauves bancs de bruyères
Mon cœur serait campagnard,
Enraciné à leur terre ?
N’être qu’une fraction du tout
Une pièce de l’entier
Faire partie sans aucun doute
D’un milieu si singulier.
Le terrain, comme une éponge
Les légendes a absorbé
Les histoires à rallonges
Prêtes à nous être contées.
Quand la nuit est étendue
Sur ses plateaux onduleux,
Il les sert sans retenue
Par mirages mystérieux.
Le terreau des dieux celtiques
M’a soufflé par son essence
Par son aspect si rustique
Ma réelle appartenance.
Je suis enfant de ce lieu
C’est mon cœur qui me le dit
De cet étrange milieu
Je suis sûre d’en être fruit.
Les Highlands, plateaux barbares,
Les mauves bancs de bruyères
Mon cœur serait campagnard,
Enraciné à leur terre ?
N’être qu’une fraction du tout
Une pièce de l’entier
Faire partie sans aucun doute
D’un milieu si singulier.
Le terrain, comme une éponge
Les légendes a absorbé
Les histoires à rallonges
Prêtes à nous être contées.
Quand la nuit est étendue
Sur ses plateaux onduleux,
Il les sert sans retenue
Par mirages mystérieux.
Le terreau des dieux celtiques
M’a soufflé par son essence
Par son aspect si rustique
Ma réelle appartenance.
Je suis enfant de ce lieu
C’est mon cœur qui me le dit
De cet étrange milieu
Je suis sûre d’en être fruit.