Mal officie !
Mes chers adeptes du malheur, pleurez encore aux milles souffrances
Vous êtes de bons adorateurs, restez ouverts à ses avances !
Vous, allergiques au mot bonheur, fermez les yeux ! Vous pourriez voir !
L’autre pouvoir et ses saveurs, à la portée de vos avoirs.
Où va le monde, on se demande ? Il va la où on le conduit
Chacun le sien, par sa commande, chacun le maître de son produit.
Moi j’ai opté pour le soleil, même si souvent bien des nuages
Ont obscurcit l’entier du ciel, posant des larmes sur mon visage.
Si vous voulez gardez le mal, comme un présent combien précieux
Je vous le donne cet animal, sans un regret, cadeau des Dieux.
Si le fardeau des jours meilleurs ne vous enchante, tant pis pour vous
J’irai le louer bien ailleurs, le partager à d’autres fous.
Monique Zomer
26 septembre 2010
Mes chers adeptes du malheur, pleurez encore aux milles souffrances
Vous êtes de bons adorateurs, restez ouverts à ses avances !
Vous, allergiques au mot bonheur, fermez les yeux ! Vous pourriez voir !
L’autre pouvoir et ses saveurs, à la portée de vos avoirs.
Où va le monde, on se demande ? Il va la où on le conduit
Chacun le sien, par sa commande, chacun le maître de son produit.
Moi j’ai opté pour le soleil, même si souvent bien des nuages
Ont obscurcit l’entier du ciel, posant des larmes sur mon visage.
Si vous voulez gardez le mal, comme un présent combien précieux
Je vous le donne cet animal, sans un regret, cadeau des Dieux.
Si le fardeau des jours meilleurs ne vous enchante, tant pis pour vous
J’irai le louer bien ailleurs, le partager à d’autres fous.
Monique Zomer
26 septembre 2010