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Silence on tait

Posté par Emrys, 28 avril 2012 · 1 294 visite(s)

Fenêtre ouverte et porte close
Sur d’impossibles points du jour
Sur cette nuit obstinée
Que personne n’ose contredire
Qui m’invite à dormir
À l’oubli des étoiles
Qui désormais scintillent
Et constellent mon corps
Point de remords l’amour a fui
Il a eu peur

Peur de cette morsure
Qui m’envahit à toute allure
J’ai entendu
Couler des larmes prisonnières
Derrière une porte
Auriez-vous des regrets à dispenser

Si vous m’avez aimé
Gardez vos pleurs gardez cette eau
Au fond du coeur
Demain peut-être aura-t-il soif
Demain peut-être votre âme...

Et toi Amour qui dit Toujours
Ne sois pas triste
Comme si aimer rimer encore
Avec pleurer
Je suis content que tu sois là
Près de mon corps
Je peux dormir je peux mourir
Dans un sourire



Fenêtre ouverte et porte close
Sur d’impossibles points du jour,
Sur cette nuit obstinée
Que personne n'ose nommer,
Que personne n’ose contredire,
Qui m’invite à dormir
À l’oubli des étoiles
Qui désormais scintillent
Et constellent mon corps,
Point de remords ! L’amour a fui,
Il a eu peur.

Peur de cette morsure
Qui m’envahit à toute allure...
J’ai entendu couler des larmes prisonnières
Derrière une porte.
Auriez-vous des regrets à dispenser ?

Si vous m’avez aimé,
Gardez vos pleurs, gardez cette eau
Au fond du cœur !
Demain peut-être aura-t-il soif
Demain peut-être votre âme...

Et toi Amour qui dit Toujours,
Ne sois pas triste !
Comme si aimer rimait encore
Avec pleurer...
Je suis content que tu sois là
Près de mon corps.
Je peux dormir, je peux mourir dans un sourire.

                                 Un titre -interdicteur-, tant votre poème est cet arc-en-ciel

                                          que nous ne voudrions jamais -voir-disparaitre...

 

                                                                     au poète,

                                                     si ces mots passent le check point! 

sourire à vous chère poétesse

 

toujours enchanté de vous rencontrer dans vos poèmes comme dans vos commentaires

 

Ce "silence on tait" traduit ce moment difficile de la relation aux autres quand ils ont peur... de savoir

Oserais-je dire aussi que ce silence on tait, je l'ai observé et même vécu, franchi la frontière des larmes ?

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Vous vous êtes échoués sur mes rives ?
Qu'importe comment,
qu'importe pourquoi
la dérive !
Vous êtes ici de pas-sage.
Laissez s'il vous plait
à l'entrée vos ba-gages.
Si je n'ai pour vous
pas encore de visage,
Apercevoir le vôtre m'oblige.
Hors de question que je vous néglige !
Permettez que
je vous guide sur mes terres !
Allons en extraire quelques vers



Les textes en prose

Ni cri ni geste-- Totale extinction -- La do mi ré fa la-- Concerto en sol-enterrement classique -- Unter den Linden -- Den a Noc-- L'enfant de sable

Les triptyques en prose

L'Aujourd'hier: Hier, l'attente -- Aujourd'hui, je te souris... -- Demain, on ne meurt que deux fois
L'ombre: L'ombre en été -- L'ombre en automne -- L'ombre en hiver

Les textes en série

Vacuum City
Veuillez déposer vos bagages -- Le temps de la métamorphose -- Si tout commence un jour

Les triptyques en vers

Recollection: Le départ--Les fausses larmes --Le compromis
La Clé: ...de la chambre -- ...du fragile édifice de sa vie -- ...d'une nuit entre toutes les nuits
Rendre ou se rendre: Je vous rends vos rêves -- Je rends mon corps à la terre -- Où se rendent nos âmes ?

La musique et Les mots

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