
Dans le salon de Sherlock Holmes à Londres, Baker street !
Posté par chevalier dupin,
07 janvier 2010
·
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mes sherlockonneries
Hors du salon de Sherlock Holmes à Londres, Baker street,
Jack éventre des filles de nuit et bien sûr c’n'est pas Druitt !
Il y a les ombres du désespoir,
Qui glissent en sang, le long du trottoir,
Par terre !
Hors du salon de Sherlock Holmes à Londres, Baker street,
Scotland Yard est ridicule contre l’insolite,
Warren efface des mots rougis sur un mur,
Parlant de juifs blâmés par une écriture,
D’enfer !
Ici chacun sombrement voit les trépassées de Whitechapel, dans les décombres !
Dans les cloaques funèbres, on cherche l’assassin au scalpel, maculé d’effroi !
On éteint l'impact encore brûlant de plaies entrouvertes, humides et rousses !
Hors du salon de Sherlock Holmes à Londres, Baker street,
Certains soirs, tout à coup, dans un coin, elle s'arrête puis s’abrite,
Mais brusquement une lame extraite du pire,
D’une trousse médicale en noble cuir,
La lacère !
Dans le salon de Sherlock Holmes à Londres, Baker street,
Il y a une pleine seringue dans un bras, qui se vide et si vite !
Ici la cocaïne n’est ni diluée,
Pour un ascète ni pour la santé,
D’un expert !
Ici un pauvre détective fuit l’horreur de son impuissance, face au monstre !
Dans l’abandon de ses ténèbres, il cherche l'oubli, sans issue, d’une voie !
Il s’éteint le corps brûlant de fièvre, dans ses yeux coulant des larmes aigres-douces !
Dans le salon de Sherlock Holmes à Londres Baker street,
Il y a un vieux soldat, qui fait tout pour que ça ne s’ébruite,
Il y a une logeuse amère, qui renverse son thé,
La tristesse d'un grand frère, désappointé !
Dans le salon de Sherlock Holmes à Londres Baker street,
Sur le manteau d’une cheminée, un couteau se dépite,
Une vieille babouche, le talon défoncé,
Un mélange bizarre,
Se met à dégueuler,
Dans l'noir !
Dans le salon de Sherlock Holmes à Londres, Baker street }x 3
Jack éventre des filles de nuit et bien sûr c’n'est pas Druitt !
Il y a les ombres du désespoir,
Qui glissent en sang, le long du trottoir,
Par terre !
Hors du salon de Sherlock Holmes à Londres, Baker street,
Scotland Yard est ridicule contre l’insolite,
Warren efface des mots rougis sur un mur,
Parlant de juifs blâmés par une écriture,
D’enfer !
Ici chacun sombrement voit les trépassées de Whitechapel, dans les décombres !
Dans les cloaques funèbres, on cherche l’assassin au scalpel, maculé d’effroi !
On éteint l'impact encore brûlant de plaies entrouvertes, humides et rousses !
Hors du salon de Sherlock Holmes à Londres, Baker street,
Certains soirs, tout à coup, dans un coin, elle s'arrête puis s’abrite,
Mais brusquement une lame extraite du pire,
D’une trousse médicale en noble cuir,
La lacère !
Dans le salon de Sherlock Holmes à Londres, Baker street,
Il y a une pleine seringue dans un bras, qui se vide et si vite !
Ici la cocaïne n’est ni diluée,
Pour un ascète ni pour la santé,
D’un expert !
Ici un pauvre détective fuit l’horreur de son impuissance, face au monstre !
Dans l’abandon de ses ténèbres, il cherche l'oubli, sans issue, d’une voie !
Il s’éteint le corps brûlant de fièvre, dans ses yeux coulant des larmes aigres-douces !
Dans le salon de Sherlock Holmes à Londres Baker street,
Il y a un vieux soldat, qui fait tout pour que ça ne s’ébruite,
Il y a une logeuse amère, qui renverse son thé,
La tristesse d'un grand frère, désappointé !
Dans le salon de Sherlock Holmes à Londres Baker street,
Sur le manteau d’une cheminée, un couteau se dépite,
Une vieille babouche, le talon défoncé,
Un mélange bizarre,
Se met à dégueuler,
Dans l'noir !
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