
Sherlock ! (Chanson parodique de "En cloque" de Renaud chantée par Watson avec l'accent du vieux Londres !)
Posté par chevalier dupin,
28 janvier 2010
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mes sherlockonneries
Il a mis sur le mur,
Au dessous du V.R.
Une photo d'Irene
Adler !
Sous l’hommage à la reine,
Sous l’étrange gravure,
C’est La Femme son icône,
Qui trône !
Toutes ses p'tites manies,
Son seau à cigares,
Je trouve ça bizarre,
J'm’inquiète !
J’ai pas encore compris,
Les coutumes loufoques,
De çui qui enquête :
Sherlock !
Il s' réveille la nuit,
Grimé en clochard,
Il a des envies,
D’brouillard !
Moi, j' suis aux p'tits soins,
Même quand y’ s’défonce ,
Que sans assassin,
Y r’nonce !
C'est comme quand il joue,
D’l’archet au violon,
Comme si c’était son,
Der-nier coup,
Je m’sens obligé,
D’ regarder ma breloque,
Y s’arrête donc jamais,
Sherlock ?!
Le soir devant moi,
La pipe à la bouche,
Il sort son tabac,
D’une - babouche,
Il s’use les méninges,
Comme un savant singe,
A traiter les problèmes,
Qu’il aime !
J' lui dit qu'il est fou,
Qu’il s’abîme les poumons,
Qu’la fumée embrouille tout,
Crénom !
Mais vous l’savez déjà,
A c’propos j' débloque,
Car on n’enfume pas,
Sherlock !
Faut qu' j' écrive notre histoire,
Pour qu’on nous rende gloire,
Qu’on reconnaisse,
Notre – adresse,
Le 221,
B de Baker street
C’est-là qu’ en copains,
On habite !
Un limier,
Un vieux matou,
ça s’chamaille voyez-vous,
Mais face au péril,
A - l’échec,
Sûr qu’y’a pas d’ danger,
Ne vous faites pas d’bile,
La réciproque,
Rime avec,
Sherlock !
Quand j’consulte mes notes,
Dans ma tête ça trotte,
C’est comme une course,
En fiacre !
J' me traite de larbin,
De tapis, d’ peau d’ours,
Alors je fais un :
Massacre !
Mais surtout je m’emporte,
Quand on m’ fait du chagrin,
Parce qu’on colporte,
Enfin,
Que c’est sûr, je le suis :
Pédé comme un phoque,
Avec mon ami,
Sherlock !
Au dessous du V.R.
Une photo d'Irene
Adler !
Sous l’hommage à la reine,
Sous l’étrange gravure,
C’est La Femme son icône,
Qui trône !
Toutes ses p'tites manies,
Son seau à cigares,
Je trouve ça bizarre,
J'm’inquiète !
J’ai pas encore compris,
Les coutumes loufoques,
De çui qui enquête :
Sherlock !
Il s' réveille la nuit,
Grimé en clochard,
Il a des envies,
D’brouillard !
Moi, j' suis aux p'tits soins,
Même quand y’ s’défonce ,
Que sans assassin,
Y r’nonce !
C'est comme quand il joue,
D’l’archet au violon,
Comme si c’était son,
Der-nier coup,
Je m’sens obligé,
D’ regarder ma breloque,
Y s’arrête donc jamais,
Sherlock ?!
Le soir devant moi,
La pipe à la bouche,
Il sort son tabac,
D’une - babouche,
Il s’use les méninges,
Comme un savant singe,
A traiter les problèmes,
Qu’il aime !
J' lui dit qu'il est fou,
Qu’il s’abîme les poumons,
Qu’la fumée embrouille tout,
Crénom !
Mais vous l’savez déjà,
A c’propos j' débloque,
Car on n’enfume pas,
Sherlock !
Faut qu' j' écrive notre histoire,
Pour qu’on nous rende gloire,
Qu’on reconnaisse,
Notre – adresse,
Le 221,
B de Baker street
C’est-là qu’ en copains,
On habite !
Un limier,
Un vieux matou,
ça s’chamaille voyez-vous,
Mais face au péril,
A - l’échec,
Sûr qu’y’a pas d’ danger,
Ne vous faites pas d’bile,
La réciproque,
Rime avec,
Sherlock !
Quand j’consulte mes notes,
Dans ma tête ça trotte,
C’est comme une course,
En fiacre !
J' me traite de larbin,
De tapis, d’ peau d’ours,
Alors je fais un :
Massacre !
Mais surtout je m’emporte,
Quand on m’ fait du chagrin,
Parce qu’on colporte,
Enfin,
Que c’est sûr, je le suis :
Pédé comme un phoque,
Avec mon ami,
Sherlock !