
5 parodies holmésiennes de Lama à Bourvil et Guétary
Posté par chevalier dupin,
14 février 2010
·
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mes sherlockonneries
Pour fêter la sortie d'un film mais déjà lequel,
Parodiant "Mon ami, mon maître" d'un maître Lama !
Voici pour quoi déjà ?
A se souvenir une ritournelle !
Notre ami, notre Maître
J'ai tenté à soixante reprises,
De vous parler de mon ami,
Comme on parle de la Tamise,
Des choses dormant dans son lit !
Encore ce soir, vives sous la plume,
Je sens ses affaires me chatouiller ;
Sherlock Holmes dissipe la brume,
Alors je dois, le faire briller !
C'est mon ami, et c'est mon maître,
C'est votre maître, c’est votre ami !
Dès que je le vois apparaître,
Le vrai se devine mais pas lui,
Qui luit auprès de mon être,
Voilà fier ce qui s’en déduit !
Ainsi qu’un briseur de chaînes,
Du moindre secret, il se joue,
Et même si parfois, il peine,
Son talent me rend jaloux !
Il conserve à son bel âge,
Une énigme, tout au fond des yeux,
Et je me dis que c'est dommage,
De juste en dire qu’il est mystérieux !
C'est mon ami et c'est mon maître,
Bien que je n’en aie rien compris !
Et quand j'en parle dans mes lettres,
Je conte l’aventure de ma vie !
L'air qu’on ne respire à sa fenêtre,
Je veux le souffler dans mes écrits !
Il garde en lui dur comme une arme,
Un orgueil au-delà du fou,
Au point que même sous le charme
D’Irene, il ne l’avoue !
C'est lui qui a fortifié mon âme,
Si je suis de nouveau chez lui,
C’est sans rapport avec la femme,
Qui m’endeuille aujourd'hui !
Mais à mon ami, à mon maître,
Et du canon dont je tire grand bruit,
Je sais qu'il va maudire un traître,
Mais puisque nous sommes entre amis,
Il me laissera me compromettre,
Sur la piste qui mène, à lui !
Parodiant de Sardou Michel
"Je ne suis pas mort, je dors,"
J'imagine le début d'un Hiatus (comment lequel ?)
Qui pour certains dure encore !
Sherlock Holmes n’est pas mort, il dort !
Ne m'enterrez pas encore.
Je n'suis pas mort :
Je dors.
Et n'ajoutez pas au Reichenbach
Vos pleurs à la chute de mon histoire ;
Je dors.
Rangez-moi dans vos souvenirs,
Moriarty a fini d'en finir ;
Moi je dors, je dors.
Passez vos larmes par l’écrit,
Quoique je fus, encore j’en suis :
Mais je dors.
Et si comme je le soupçonne,
L’un de mes amis m’aimait, Watson !
Tant pis.
Qu'il m'oublie :
Je dors.
Maître dans l’ombre de ma lumière,
Combien durera mon exil ?
Quel temps faudra-t-il mon frère,
Pour que je revienne dans ma ville ?
Sans voir Londres par ma fenêtre
Mycroft, quel homme vais-je pouvoir être ?
En attendant, je dors.
Je n'veux pas qu'un autre périsse.
Qu’il connaisse ce que j’ai éprouvé.
Mon sort.
J'aurais aimé avant de quitter la Suisse
Voir Sebastian Moran sur les rochers.
Y voir un corps, son corps !
Et rien qu’au cœur de mes mémoires
Ne dites pas, que La Femme d’un soir :
J’l’adore.
Si parmi le nombre de vos lecteurs,
John, il y en reste un qui me pleure,
Tant pis.
Qu'il m'oublie.
Je dors, je dors, je dors.
Pour continuer les festivités de fin de semaine,
Voici en parodie holmésienne,
De "j'ai oublié de vivre" de Johnny Hallyday,
Ce qui n'est que la vérité vraie !
J'ai réussi à vivre !
À force de porter à mes yeux des indices,
Sur des scènes violentes,
Dans des brouillards complices,
À force de forcer les forces de police,
A voir les choses évidentes,
A ouvrir la chasse au vice ;
À force de blesser l’amour propre de Watson,
À force d’observer ce qu’il dit ou griffonne,
À force de remarquer tout ce qu’il ne soupçonne,
D’adresser des sautes d’humeur,
Aux bons soins d’un docteur ;
J’ignore le savoir vivre, j’ignore le savoir vivre !
À force de parcourir notre Angleterre,
En foudre de guerre,
Au fil des affaires,
À force de jeter mes émois au panier,
De brûler mon cœur de limier,
Dans un pauvre foyer,
À force de grimer la couleur de ma pensée,
Portant ma foi au gris,
L’opium peuplant l’esprit,
À force d'être l’objet d’un scandale de bohème,
L’âme qui s’envole enfumée,
Comme une abeille, moi j’essaime,
Je suis un cerveau ivre ! Je suis un cerveau ivre !
A force de briser net, le sceau du secret,
Par mes scènes violentes,
Sous mes manières bizarres,
À force d'oublier qu’on m’a tué d’une mort lente,
Avant un dernier coup d’archet,
Ou qu’on me range au placard,
Mais à force de me romancer sur le fleuve des lettres,
Pour les lectures canoniques,
D’un héros passé Maître,
À force de montrer en chien d’arrêt les coupables,
Un malfaiteur classique,
Ou le génie du mal admirable,
Oui j'ai songé à vivre, oui j'ai songé à vivre,
Et je réussis à vivre, au-delà de vos livres !
Voici encore une parodie holmésienne : cette année-là,
Parodie éponyme du titre de Claude François !
Cette année-là !
Cette année-là,
Je voyais Holmes, pour la première fois,
Le public ne le connaissait pas,
Quelle année, cette année-là !
Cette année-là,
A Baker street, militaire en retraite,
J’allais vivre a study in scarlet,
Le public aimerait ça !
Comme plus tard - il aimerait le signe des quatre mon autre - grand roman,
J’oublierais vite - l’endroit de mes blessures d’Afghanistan !
Cette année-là,
Holmes devenait l'idole des londoniens,
Sauf de l’estime, moi je ne gagnais rien,
Mais j’étais heureux, dans tous les cas !
Je découvrais un nouvel as du diagnostic,
Le grand l'unique, dont j’étais le premier public !
Cette année-là,
A O'Neil's Cottage, les britanniques,
Avec les boers firent la paix en Afrique,
Quelle année, cette année-là !
Et puis - la guerre sainte faisait rage à Sumatra , Sumatra !
Tandis - que Carlyle passait l’histoire à son trépas !
Dès cette année,
A l’écoute d’un étrange compagnon,
J’entendais les plaintes de son violon,
Si vieux et si bon marché !
C'était hier, mais aujourd'hui rien n'a changé,
L’aventure continue de nous immortaliser !
C'était l'année quatre-vingt-un,
Mil huit cent quatre-vingt-un !
C'était l'année quatre-vingt-un,
Mil huit cent quatre-vingt-un !
Et maintenant la dernière parodie
Sur l'air de "C'est la vie de bohème" de Bourvil et Guétary !
Note: Watson : W est en duo avec Madame Hudson : H
chantez à deux pour que ça marche !..............
Un détective d'opérette ou un scandale en Bohême
W: Un scandale en Bohême, est une histoire qui s’aime,
H: A rebondissements,
W: Même si Holmes y est perdant !
H: Une histoire qui s’aime vite comme La Femme seulement,
H+W:Et dont on se souvient longtemps.
H+W: Sherlock Holmes n’a pas de couronne qu'importe !
H+W: C’est un roi bohème en quel-que sorte !
H+W: Qui perd la tête, quand Irène Adler tourne autour,
H+W: Vive la bohème et l'amour !
W: Aussi belle diva - à l’intriguant portrait,
H: Fascine Holmes jusqu’à - sa table de chevet.
W: Il n’y fait plus le ménage, à bien y regarder,
H: Des poussières d’un chantage, il aime s’aveugler !
W: Chaque fois qu'une conquête vient m'accompagner,
H: La nuit Sherlock Holmes s’embête à enquêter,
W: Mais lui devient, c’est clair, plus connu que le roi Lear,
H: Et un rien plus fier que Victoria pour un empire,
Ah mon Dieu !
W: Un scandale en Bohême, est une histoire qui s’aime,
H: A rebondissements,
W: Même si Holmes y est perdant !
H: Une histoire qui s’aime vite comme La Femme seulement
H+W: Et dont on se souvient longtemps.
H+W: Sherlock Holmes n’a pas de couronne qu'importe !
H+W: C’est un roi bohème en quel-que sorte !
H+W: Qui perd la tête quand Irène Adler tourne autour !
H+W: Vive la bohème et l'amour !
H+W: AhAhAhAhAhAh ! ! ! ! AhAhAhAhAhAhAhAh ! ! ! !
AhAhAhAhAhAh ! ! ! ! UhUhAhAhUhAhAhAh - AhAh!
H : Quelle histoire alors !
W: Ce scandale en Bohême !
H: Nous prenant au cœur, on le relit même,
W: Deux fois encore !
H: Oh docteur !
H+W: 1, 2,
W: Un scandale en Bohême, est une histoire qui s’aime,
H: A rebondissements,
W: Même si Holmes y est perdant !
H: Une histoire qui s’aime vite comme La Femme seulement
H+W: Et dont on se souvient longtemps.
H+W: Sherlock Holmes n’a pas de couronne qu'importe !
H+W: C’est un roi bohème en quelque sorte !
H+W: Qui perd la tête quand Irène Adler tourne autour
H+W: Vive la bohème et l'amour !
H+W: AhAhAhAhAhAh ! ! ! ! AhAhAhAhAhAhAhAh ! ! ! !
AhAhAhAhAhAh ! ! ! ! UhUhAhAhUhAhAhAh - AhAh!
http://www.youtube.com/watch?v=oHhPUNEArhI&feature=youtube_gdata
Parodiant "Mon ami, mon maître" d'un maître Lama !
Voici pour quoi déjà ?
A se souvenir une ritournelle !
Notre ami, notre Maître
J'ai tenté à soixante reprises,
De vous parler de mon ami,
Comme on parle de la Tamise,
Des choses dormant dans son lit !
Encore ce soir, vives sous la plume,
Je sens ses affaires me chatouiller ;
Sherlock Holmes dissipe la brume,
Alors je dois, le faire briller !
C'est mon ami, et c'est mon maître,
C'est votre maître, c’est votre ami !
Dès que je le vois apparaître,
Le vrai se devine mais pas lui,
Qui luit auprès de mon être,
Voilà fier ce qui s’en déduit !
Ainsi qu’un briseur de chaînes,
Du moindre secret, il se joue,
Et même si parfois, il peine,
Son talent me rend jaloux !
Il conserve à son bel âge,
Une énigme, tout au fond des yeux,
Et je me dis que c'est dommage,
De juste en dire qu’il est mystérieux !
C'est mon ami et c'est mon maître,
Bien que je n’en aie rien compris !
Et quand j'en parle dans mes lettres,
Je conte l’aventure de ma vie !
L'air qu’on ne respire à sa fenêtre,
Je veux le souffler dans mes écrits !
Il garde en lui dur comme une arme,
Un orgueil au-delà du fou,
Au point que même sous le charme
D’Irene, il ne l’avoue !
C'est lui qui a fortifié mon âme,
Si je suis de nouveau chez lui,
C’est sans rapport avec la femme,
Qui m’endeuille aujourd'hui !
Mais à mon ami, à mon maître,
Et du canon dont je tire grand bruit,
Je sais qu'il va maudire un traître,
Mais puisque nous sommes entre amis,
Il me laissera me compromettre,
Sur la piste qui mène, à lui !
Parodiant de Sardou Michel
"Je ne suis pas mort, je dors,"
J'imagine le début d'un Hiatus (comment lequel ?)
Qui pour certains dure encore !
Sherlock Holmes n’est pas mort, il dort !
Ne m'enterrez pas encore.
Je n'suis pas mort :
Je dors.
Et n'ajoutez pas au Reichenbach
Vos pleurs à la chute de mon histoire ;
Je dors.
Rangez-moi dans vos souvenirs,
Moriarty a fini d'en finir ;
Moi je dors, je dors.
Passez vos larmes par l’écrit,
Quoique je fus, encore j’en suis :
Mais je dors.
Et si comme je le soupçonne,
L’un de mes amis m’aimait, Watson !
Tant pis.
Qu'il m'oublie :
Je dors.
Maître dans l’ombre de ma lumière,
Combien durera mon exil ?
Quel temps faudra-t-il mon frère,
Pour que je revienne dans ma ville ?
Sans voir Londres par ma fenêtre
Mycroft, quel homme vais-je pouvoir être ?
En attendant, je dors.
Je n'veux pas qu'un autre périsse.
Qu’il connaisse ce que j’ai éprouvé.
Mon sort.
J'aurais aimé avant de quitter la Suisse
Voir Sebastian Moran sur les rochers.
Y voir un corps, son corps !
Et rien qu’au cœur de mes mémoires
Ne dites pas, que La Femme d’un soir :
J’l’adore.
Si parmi le nombre de vos lecteurs,
John, il y en reste un qui me pleure,
Tant pis.
Qu'il m'oublie.
Je dors, je dors, je dors.
Pour continuer les festivités de fin de semaine,
Voici en parodie holmésienne,
De "j'ai oublié de vivre" de Johnny Hallyday,
Ce qui n'est que la vérité vraie !
J'ai réussi à vivre !
À force de porter à mes yeux des indices,
Sur des scènes violentes,
Dans des brouillards complices,
À force de forcer les forces de police,
A voir les choses évidentes,
A ouvrir la chasse au vice ;
À force de blesser l’amour propre de Watson,
À force d’observer ce qu’il dit ou griffonne,
À force de remarquer tout ce qu’il ne soupçonne,
D’adresser des sautes d’humeur,
Aux bons soins d’un docteur ;
J’ignore le savoir vivre, j’ignore le savoir vivre !
À force de parcourir notre Angleterre,
En foudre de guerre,
Au fil des affaires,
À force de jeter mes émois au panier,
De brûler mon cœur de limier,
Dans un pauvre foyer,
À force de grimer la couleur de ma pensée,
Portant ma foi au gris,
L’opium peuplant l’esprit,
À force d'être l’objet d’un scandale de bohème,
L’âme qui s’envole enfumée,
Comme une abeille, moi j’essaime,
Je suis un cerveau ivre ! Je suis un cerveau ivre !
A force de briser net, le sceau du secret,
Par mes scènes violentes,
Sous mes manières bizarres,
À force d'oublier qu’on m’a tué d’une mort lente,
Avant un dernier coup d’archet,
Ou qu’on me range au placard,
Mais à force de me romancer sur le fleuve des lettres,
Pour les lectures canoniques,
D’un héros passé Maître,
À force de montrer en chien d’arrêt les coupables,
Un malfaiteur classique,
Ou le génie du mal admirable,
Oui j'ai songé à vivre, oui j'ai songé à vivre,
Et je réussis à vivre, au-delà de vos livres !
Voici encore une parodie holmésienne : cette année-là,
Parodie éponyme du titre de Claude François !
Cette année-là !
Cette année-là,
Je voyais Holmes, pour la première fois,
Le public ne le connaissait pas,
Quelle année, cette année-là !
Cette année-là,
A Baker street, militaire en retraite,
J’allais vivre a study in scarlet,
Le public aimerait ça !
Comme plus tard - il aimerait le signe des quatre mon autre - grand roman,
J’oublierais vite - l’endroit de mes blessures d’Afghanistan !
Cette année-là,
Holmes devenait l'idole des londoniens,
Sauf de l’estime, moi je ne gagnais rien,
Mais j’étais heureux, dans tous les cas !
Je découvrais un nouvel as du diagnostic,
Le grand l'unique, dont j’étais le premier public !
Cette année-là,
A O'Neil's Cottage, les britanniques,
Avec les boers firent la paix en Afrique,
Quelle année, cette année-là !
Et puis - la guerre sainte faisait rage à Sumatra , Sumatra !
Tandis - que Carlyle passait l’histoire à son trépas !
Dès cette année,
A l’écoute d’un étrange compagnon,
J’entendais les plaintes de son violon,
Si vieux et si bon marché !
C'était hier, mais aujourd'hui rien n'a changé,
L’aventure continue de nous immortaliser !
C'était l'année quatre-vingt-un,
Mil huit cent quatre-vingt-un !
C'était l'année quatre-vingt-un,
Mil huit cent quatre-vingt-un !
Et maintenant la dernière parodie
Sur l'air de "C'est la vie de bohème" de Bourvil et Guétary !
Note: Watson : W est en duo avec Madame Hudson : H
chantez à deux pour que ça marche !..............
Un détective d'opérette ou un scandale en Bohême
W: Un scandale en Bohême, est une histoire qui s’aime,
H: A rebondissements,
W: Même si Holmes y est perdant !
H: Une histoire qui s’aime vite comme La Femme seulement,
H+W:Et dont on se souvient longtemps.
H+W: Sherlock Holmes n’a pas de couronne qu'importe !
H+W: C’est un roi bohème en quel-que sorte !
H+W: Qui perd la tête, quand Irène Adler tourne autour,
H+W: Vive la bohème et l'amour !
W: Aussi belle diva - à l’intriguant portrait,
H: Fascine Holmes jusqu’à - sa table de chevet.
W: Il n’y fait plus le ménage, à bien y regarder,
H: Des poussières d’un chantage, il aime s’aveugler !
W: Chaque fois qu'une conquête vient m'accompagner,
H: La nuit Sherlock Holmes s’embête à enquêter,
W: Mais lui devient, c’est clair, plus connu que le roi Lear,
H: Et un rien plus fier que Victoria pour un empire,
Ah mon Dieu !
W: Un scandale en Bohême, est une histoire qui s’aime,
H: A rebondissements,
W: Même si Holmes y est perdant !
H: Une histoire qui s’aime vite comme La Femme seulement
H+W: Et dont on se souvient longtemps.
H+W: Sherlock Holmes n’a pas de couronne qu'importe !
H+W: C’est un roi bohème en quel-que sorte !
H+W: Qui perd la tête quand Irène Adler tourne autour !
H+W: Vive la bohème et l'amour !
H+W: AhAhAhAhAhAh ! ! ! ! AhAhAhAhAhAhAhAh ! ! ! !
AhAhAhAhAhAh ! ! ! ! UhUhAhAhUhAhAhAh - AhAh!
H : Quelle histoire alors !
W: Ce scandale en Bohême !
H: Nous prenant au cœur, on le relit même,
W: Deux fois encore !
H: Oh docteur !
H+W: 1, 2,
W: Un scandale en Bohême, est une histoire qui s’aime,
H: A rebondissements,
W: Même si Holmes y est perdant !
H: Une histoire qui s’aime vite comme La Femme seulement
H+W: Et dont on se souvient longtemps.
H+W: Sherlock Holmes n’a pas de couronne qu'importe !
H+W: C’est un roi bohème en quelque sorte !
H+W: Qui perd la tête quand Irène Adler tourne autour
H+W: Vive la bohème et l'amour !
H+W: AhAhAhAhAhAh ! ! ! ! AhAhAhAhAhAhAhAh ! ! ! !
AhAhAhAhAhAh ! ! ! ! UhUhAhAhUhAhAhAh - AhAh!
http://www.youtube.com/watch?v=oHhPUNEArhI&feature=youtube_gdata