
Le temps de Holmes et Watson (parodie du temps des puces de Pierre Perret !)
Posté par chevalier dupin,
17 février 2010
·
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mes sherlockonneries
Elle n'est pas loin, l’ère victorienne,
Où se racontait Sherlock l’anglais,
Souvent chez lui, près du seltzogène,
Devant Watson et ses carnets.
Holmes se disait champion de boxe,
Brisait des tympans à cause d’un violon,
Déduisait tout, maître ès paradoxes,
Fuyant les femmes et l’inaction !
En ce temps-là,
Londres était un sale endroit,
Avec Lestrade pire que Javert,
Scotland Yard filait de travers.
L’ère victorienne, c’est pas si vieux,
Rappelez vous des hommes roux, des pépins d’orange,
Après cette affaire d’un crime étrange,
Et avant l’es-carboucle bleue.
Modèle de vertu ou cocaïnomane,
Excentrique maison ou gentleman,
Sherlock Holmes à nous, offrait l’évasion,
Nous qu’il ne mettait pas en prison !
En ce temps-là,
Londres était un drôle d’endroit,
Avec Gregson pire que Javert,
La couronne tombait de travers.
Aura-t-on encore de ces nouvelles,
Comme Flamme d’argent ou le tordu.
Où sont passés, détective et « Boswell »,
Elémentaires génie et ingénu ?
Où sont donc la babouche pleine de tabac,
Ou Mrs Hudson et ses bons petits plats ?
Il flotte toujours sur la tamise,
Un fog Holmésien dont on - se déguise !
En ce temps-là,
Londres, capitale d'autrefois,
Par Mycroft meilleur que son frère,
Régissait toute l’Angleterre.
Il est trop loin, le temps d’l’aventure,
Où se hélaient des fiacres anglais,
Maintenant qu’il n’y a - que des voitures,
J’ai le blues des ca-briolets.
On a goudronné les anciennes rues,
Au 221b, rien ne va plus.
Il y a bien-là un Sherlock museum,
Mais y voit-on vraiment, un grand homme ?
Moi, je ne sais pas,
Si Londres reste un bel endroit,
Avec un Sherlock dur comme fer,
Sans son marbre pour paver l’enfer !?
http://www.youtube.c...feature=related
http://fr.lyrics-cop...emps-des-puces.
Où se racontait Sherlock l’anglais,
Souvent chez lui, près du seltzogène,
Devant Watson et ses carnets.
Holmes se disait champion de boxe,
Brisait des tympans à cause d’un violon,
Déduisait tout, maître ès paradoxes,
Fuyant les femmes et l’inaction !
En ce temps-là,
Londres était un sale endroit,
Avec Lestrade pire que Javert,
Scotland Yard filait de travers.
L’ère victorienne, c’est pas si vieux,
Rappelez vous des hommes roux, des pépins d’orange,
Après cette affaire d’un crime étrange,
Et avant l’es-carboucle bleue.
Modèle de vertu ou cocaïnomane,
Excentrique maison ou gentleman,
Sherlock Holmes à nous, offrait l’évasion,
Nous qu’il ne mettait pas en prison !
En ce temps-là,
Londres était un drôle d’endroit,
Avec Gregson pire que Javert,
La couronne tombait de travers.
Aura-t-on encore de ces nouvelles,
Comme Flamme d’argent ou le tordu.
Où sont passés, détective et « Boswell »,
Elémentaires génie et ingénu ?
Où sont donc la babouche pleine de tabac,
Ou Mrs Hudson et ses bons petits plats ?
Il flotte toujours sur la tamise,
Un fog Holmésien dont on - se déguise !
En ce temps-là,
Londres, capitale d'autrefois,
Par Mycroft meilleur que son frère,
Régissait toute l’Angleterre.
Il est trop loin, le temps d’l’aventure,
Où se hélaient des fiacres anglais,
Maintenant qu’il n’y a - que des voitures,
J’ai le blues des ca-briolets.
On a goudronné les anciennes rues,
Au 221b, rien ne va plus.
Il y a bien-là un Sherlock museum,
Mais y voit-on vraiment, un grand homme ?
Moi, je ne sais pas,
Si Londres reste un bel endroit,
Avec un Sherlock dur comme fer,
Sans son marbre pour paver l’enfer !?
http://www.youtube.c...feature=related
http://fr.lyrics-cop...emps-des-puces.
