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Ma plus belle chance ! Parodie holmésienne (chantée par Watson) de "ma préférence" de J. Clerc !
Posté par chevalier dupin,
21 février 2010
·
435 visite(s)
mes sherlockonneries
Je le sais,
Sa façon d'être à froid, parfois,
Vous déplait,
Mais devant lui votre silence se tait,
Car il est,
Votre dernière chance n’est-ce pas ?
C’est certain,
Le trait d'indifférence qu’il feint,
Cette arrogance,
Est trompeuse apparence !
Mais quand il fume,
Parmi ses amies de bruyère,
Ou d’écume,
Je sais qu’il change d’air !
Je le sais,
Vous me croyez bien trop fidèle à -
Ce qu’il est,
Vous me voyez comme un soldat,
Un pistolet !
Oui je suis :
Son ordonnance à lui !
Il faut le croire,
Docteur je détecte son émoi,
S’il s’égare,
ça me regardera !
Ses yeux hagards,
Injectés de tant d’hébétude,
Font prévoir,
La pire des habitudes !
Il faut le croire,
Docteur je détecte son émoi,
S’il s’égare,
ça me regardera !
Ses yeux hagards,
Injectés de tant d’hébétude,
Font prévoir,
La pire des habitudes !
Je confesse,
Ses malfaçons de mélomane,
Me bouleversent,
Pour moi son violon est un âne,
Puisque il braie !
Mais l’ami vrai,
Est sourd à ce brouhaha,
Et c’est une chance pour moi,
Ah oui ! Quelle chance pour moi !
Lalalalalhahahahahahaha !!!!!!!
Sa façon d'être à froid, parfois,
Vous déplait,
Mais devant lui votre silence se tait,
Car il est,
Votre dernière chance n’est-ce pas ?
C’est certain,
Le trait d'indifférence qu’il feint,
Cette arrogance,
Est trompeuse apparence !
Mais quand il fume,
Parmi ses amies de bruyère,
Ou d’écume,
Je sais qu’il change d’air !
Je le sais,
Vous me croyez bien trop fidèle à -
Ce qu’il est,
Vous me voyez comme un soldat,
Un pistolet !
Oui je suis :
Son ordonnance à lui !
Il faut le croire,
Docteur je détecte son émoi,
S’il s’égare,
ça me regardera !
Ses yeux hagards,
Injectés de tant d’hébétude,
Font prévoir,
La pire des habitudes !
Il faut le croire,
Docteur je détecte son émoi,
S’il s’égare,
ça me regardera !
Ses yeux hagards,
Injectés de tant d’hébétude,
Font prévoir,
La pire des habitudes !
Je confesse,
Ses malfaçons de mélomane,
Me bouleversent,
Pour moi son violon est un âne,
Puisque il braie !
Mais l’ami vrai,
Est sourd à ce brouhaha,
Et c’est une chance pour moi,
Ah oui ! Quelle chance pour moi !
Lalalalalhahahahahahaha !!!!!!!
