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Comme une abeille, son miel... (parodie de "comme un avion sans aile" de Charlélie Couture !)
Posté par chevalier dupin,
02 mars 2010
·
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mes sherlockonneries
Comme une abeille, son miel,
J'ai travaillé toute la vie,
J’ai cherché Le Criminel,
Je me suis fuit toute la vie !
Et même, même, si je n'peux plus l’enrôler,
Je rêve sans mon fidèle Watson,
Une dernière fois pour jouer,
Les détectives comme personne !
Oui je fais semblant - de m’ retrouver ailleurs,
Dans les brumes d’un Londres - gris de peur,
Une affaire de flou,
Pour dormir debout !
Oh ! Mon Dieu je suis sourd et je souffre comme une vieille branche,
A tâtons, j’enquête à mon âge,
La loupe en apanage,
Moins que la canne blanche !
J’écoute, j’écoute la voix de l’Avant,
Celle de ma raison, morte aux ans,
Qui me souffle les indices de la fin, de ma fin d’envie,
Enfin soustrait du tout, un rien s’en déduit (-uit-) !
Même, même si je ne fais plus rien,
Qu’aboyer encore au souvenir d’un chien,
Assoupi malgré un passé ronflant,
Je vais m’endormir dou(-ou-)cement !
Oh Reine de paradis - ouvre ta rûche de légende,
Moi, au bourdon tenace,
Fumant de la calebasse,
Voici un parfum des landes !
J'ai travaillé toute la vie,
J’ai cherché Le Criminel,
Je me suis fuit toute la vie !
Et même, même, si je n'peux plus l’enrôler,
Je rêve sans mon fidèle Watson,
Une dernière fois pour jouer,
Les détectives comme personne !
Oui je fais semblant - de m’ retrouver ailleurs,
Dans les brumes d’un Londres - gris de peur,
Une affaire de flou,
Pour dormir debout !
Oh ! Mon Dieu je suis sourd et je souffre comme une vieille branche,
A tâtons, j’enquête à mon âge,
La loupe en apanage,
Moins que la canne blanche !
J’écoute, j’écoute la voix de l’Avant,
Celle de ma raison, morte aux ans,
Qui me souffle les indices de la fin, de ma fin d’envie,
Enfin soustrait du tout, un rien s’en déduit (-uit-) !
Même, même si je ne fais plus rien,
Qu’aboyer encore au souvenir d’un chien,
Assoupi malgré un passé ronflant,
Je vais m’endormir dou(-ou-)cement !
Oh Reine de paradis - ouvre ta rûche de légende,
Moi, au bourdon tenace,
Fumant de la calebasse,
Voici un parfum des landes !
