
Contre Vent debout, Monde assoit !
Posté par chevalier dupin,
21 avril 2010
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mes sonnets de jour mes sonnets de nuit
L'âme me jetant à la mnésique oubliette,
Prisonnier viscéral d'un acharné squelette,
Mes aïeux ! me souvient-il d'une peau de bête,
Quand d'épidermique réaction, je m'arrête !
Dans l'Univers, qu'à moi, qui n'offre de limite,
Trop déterminé, je suis flamme circonscrite.
En rien, je ne croise Déesse parallèle,
A peine au point à la droite, de l'Eternelle !
Ombre de son nombre au service d'un grand chiffre,
l'Immense m'étendant pour le compte petit,
Autre nul qu'homme, je ne me comprends en Lui !
Par les reliefs de ma vie, dont la mort s'empiffre,
Si d'imaginaire murée, vive est frontière,
Pour l'Infini, suis-je inconnue à part, entière !
Prisonnier viscéral d'un acharné squelette,
Mes aïeux ! me souvient-il d'une peau de bête,
Quand d'épidermique réaction, je m'arrête !
Dans l'Univers, qu'à moi, qui n'offre de limite,
Trop déterminé, je suis flamme circonscrite.
En rien, je ne croise Déesse parallèle,
A peine au point à la droite, de l'Eternelle !
Ombre de son nombre au service d'un grand chiffre,
l'Immense m'étendant pour le compte petit,
Autre nul qu'homme, je ne me comprends en Lui !
Par les reliefs de ma vie, dont la mort s'empiffre,
Si d'imaginaire murée, vive est frontière,
Pour l'Infini, suis-je inconnue à part, entière !