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Souvenirs enroués de la faune !
Posté par chevalier dupin,
24 avril 2010
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mes sonnets de jour mes sonnets de nuit
Ose coqueriner, soleil de mon enfance,
Chante coquine à mes oreilles, neuve chance,
Qui rongnonne en sommeil, réveille en moi le tigre,
Que de nouveau pour un temps, j'aie l'écoute libre !
Près de l'alouette pour encor m'enrichir,
Je veux l'entendre qui joliment tirelire,
Puis sentir au coeur des champs, le vent qui soupire,
Quand crécelle la cigale, toute à loisir !
Combien me manquent, le trille du rossignol,
Comme en sa racine le nom du campagnol,
Ou de la forêt la vie, qui souvent coucoule !
Ainsi qu'à mes anciens jeux, que ne donnerais-je,
Pour imiter l'oiseau, closser avec la poule,
Ravoir dans l'appeau, la nature et son solfège !
Chante coquine à mes oreilles, neuve chance,
Qui rongnonne en sommeil, réveille en moi le tigre,
Que de nouveau pour un temps, j'aie l'écoute libre !
Près de l'alouette pour encor m'enrichir,
Je veux l'entendre qui joliment tirelire,
Puis sentir au coeur des champs, le vent qui soupire,
Quand crécelle la cigale, toute à loisir !
Combien me manquent, le trille du rossignol,
Comme en sa racine le nom du campagnol,
Ou de la forêt la vie, qui souvent coucoule !
Ainsi qu'à mes anciens jeux, que ne donnerais-je,
Pour imiter l'oiseau, closser avec la poule,
Ravoir dans l'appeau, la nature et son solfège !
