
Jamais désoeuvré !
Posté par chevalier dupin,
17 mai 2010
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mes sonnets de nuit mes sonnets de jour
Avec moi, ce matin, j'ai pris tous les bocages,
Puis un nécessaire de village à l'esprit,
Par le si long chemin de l'exode ai-je fui,
Quand mon coeur se nouait aux branches des voyages !
Dans mon balluchon plein d'effets de rémanence,
Changé par les soupirs en fardeau de silence,
Mon linge s'empesait d'un pénible amidon,
Blanchissait de peur à l'idée de l'abandon !
Et lorsque en mes poches, les pierres ramassées,
Me disaient s'enrichir de l'argent du passé,
Mes yeux s'appauvrissaient de cendres dispersées !
Pourtant dans les rues de Paris, qu'avive Eole,
Je n'arrive ni seul, ni aigri, ni lassé,
Car m'accompagne encor, l'oeuvre de Conan Doyle !
Puis un nécessaire de village à l'esprit,
Par le si long chemin de l'exode ai-je fui,
Quand mon coeur se nouait aux branches des voyages !
Dans mon balluchon plein d'effets de rémanence,
Changé par les soupirs en fardeau de silence,
Mon linge s'empesait d'un pénible amidon,
Blanchissait de peur à l'idée de l'abandon !
Et lorsque en mes poches, les pierres ramassées,
Me disaient s'enrichir de l'argent du passé,
Mes yeux s'appauvrissaient de cendres dispersées !
Pourtant dans les rues de Paris, qu'avive Eole,
Je n'arrive ni seul, ni aigri, ni lassé,
Car m'accompagne encor, l'oeuvre de Conan Doyle !