
Coulé dans le métal de l'inhumanité
Posté par chevalier dupin,
24 juin 2010
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mes sonnets de nuit mes sonnets de jour
Quand l'âme ondoie dans les engrenages du temps,
La tête orageuse dans des nues électriques,
Le coeur brisé par des rouages pathétiques,
Au nom d'un ex-dieu, vais-je machinalement !
Rompu à m'employer, robot non ménagé,
Je pleure androïde né d'une fausse image,
Là vainement priant qu'apatride entité,
Par son avènement, m'achève sans dommage !
Sauf inoxydable optimisme, par défaut,
Mortellement blessé par la vie qu'il me faut,
J'attends de dérouiller sous les coups d'une faux !
Dame ! De mes échecs, ne sachant me jouer,
Je m'articule, tel automate pelé,
Raide et nu vers l'enfer blanc des vifs écorchés !
La tête orageuse dans des nues électriques,
Le coeur brisé par des rouages pathétiques,
Au nom d'un ex-dieu, vais-je machinalement !
Rompu à m'employer, robot non ménagé,
Je pleure androïde né d'une fausse image,
Là vainement priant qu'apatride entité,
Par son avènement, m'achève sans dommage !
Sauf inoxydable optimisme, par défaut,
Mortellement blessé par la vie qu'il me faut,
J'attends de dérouiller sous les coups d'une faux !
Dame ! De mes échecs, ne sachant me jouer,
Je m'articule, tel automate pelé,
Raide et nu vers l'enfer blanc des vifs écorchés !