
Au carrefour de ce que nous fûmes
Posté par chevalier dupin,
28 octobre 2008
·
409 visite(s)
mes libertinages tendres
Ma vie s'enrhume, toi, l'infirmière de rêve, tu accours.
Mon hôtel Beauséjour rencontre ton marché aux légumes ;
Ensuite mon regard te savoure quand tes yeux me présument..
Je suis si lourd, tu es si plume...
Je suis porte-plume, tu es voie de velours....
Je démange le bitume, tu balayes ma cour.....
Je suis humour et tu l'assumes......
Je te hume et tu es l'amour.......
Je fais le tour des idées que tu parfumes........
Je suis un four que tu allumes.........
Je me défais de tes atours, toi de mon costume...........
Je ne suis sourd à tes volumes...........
Mes doigts sont gourds du frisson de tes grumes............
Puis à la chaux vive de mes contours je te consume.............
Alors diablesse en ton chauffour, de ses vapeurs, tu m'enfumes..............
Presque posthume, soudain, le plaisir nous parcourt...............
Enfin carambole au carrefour de ce que nous fûmes :
Le bonheur d'une rageuse écume au creux de la vague du secours................
Qui exulte au fruité pourtour de la matrice en géante agrume.................
Jusqu'au brûlant jour ; siamoise réincarnation de feues nos brûmes..................!
Mon hôtel Beauséjour rencontre ton marché aux légumes ;
Ensuite mon regard te savoure quand tes yeux me présument..
Je suis si lourd, tu es si plume...
Je suis porte-plume, tu es voie de velours....
Je démange le bitume, tu balayes ma cour.....
Je suis humour et tu l'assumes......
Je te hume et tu es l'amour.......
Je fais le tour des idées que tu parfumes........
Je suis un four que tu allumes.........
Je me défais de tes atours, toi de mon costume...........
Je ne suis sourd à tes volumes...........
Mes doigts sont gourds du frisson de tes grumes............
Puis à la chaux vive de mes contours je te consume.............
Alors diablesse en ton chauffour, de ses vapeurs, tu m'enfumes..............
Presque posthume, soudain, le plaisir nous parcourt...............
Enfin carambole au carrefour de ce que nous fûmes :
Le bonheur d'une rageuse écume au creux de la vague du secours................
Qui exulte au fruité pourtour de la matrice en géante agrume.................
Jusqu'au brûlant jour ; siamoise réincarnation de feues nos brûmes..................!