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Une habile déclaration ?
Posté par chevalier dupin,
29 octobre 2008
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mes sonnets de nuit, mes sonnets de jour
Tout à mon obsession, je rêve de tes jambes,
Satyrique, je n'en ferais pourtant des iambes,
Mais laissée éprise de leur galbe d'albâtre,
Ma dextre, d'impatience, me bat comme plâtre !
Ma senestre s'ouvrant déjà sur ton aubaine,
Mes élancements de coeur aussi se souviennent,
Des éclats de ton magasin de porcelaine,
De ta fragile beauté de poupée ancienne !
Ma bouche avide ne pense qu'à ta soupière,
Au solide brouet miroitant de ta chair,
Lors fin, je te tombe hélas dessus, capillaire !
Mon jeu à tes quilles étant celui d'un chien fou,
Moi l'éléphantin à ton kaolin si doux,
Maladroitement, me prendrais-tu pour époux ?
Satyrique, je n'en ferais pourtant des iambes,
Mais laissée éprise de leur galbe d'albâtre,
Ma dextre, d'impatience, me bat comme plâtre !
Ma senestre s'ouvrant déjà sur ton aubaine,
Mes élancements de coeur aussi se souviennent,
Des éclats de ton magasin de porcelaine,
De ta fragile beauté de poupée ancienne !
Ma bouche avide ne pense qu'à ta soupière,
Au solide brouet miroitant de ta chair,
Lors fin, je te tombe hélas dessus, capillaire !
Mon jeu à tes quilles étant celui d'un chien fou,
Moi l'éléphantin à ton kaolin si doux,
Maladroitement, me prendrais-tu pour époux ?
