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En butte au cafard
Posté par chevalier dupin,
25 novembre 2008
·
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mes sonnets de nuit, mes sonnets de jour
Ils étaient zingueurs quand leurs paris s'éveillaient
Et les moutons blancs, pleuraient les folles bergères.
Tuilés en amandes, les chats noirs s'étiraient,
Ou des toits mondains, s'éternisaient en lumières !
Là dans l'antre de zoos, hydrophobes félins,
Ils parfumaient d'absinthe, vers aux parchemins,
Puis se graissaient la patte en corrompus festins,
Se hérissant le poil que n'avaient pas leurs mains !
Toulouse rose n'y était, mêmement peint,
Et pendant que goulûment se lâchaient les chiens,
La Valentine désossait son Valentin !
Mon quartier perdit comme d'autres son latin,
Ses estaminets gueulant d'ébène au matin.
Sans poète ivre, mon sacré coeur est chagrin !
Et les moutons blancs, pleuraient les folles bergères.
Tuilés en amandes, les chats noirs s'étiraient,
Ou des toits mondains, s'éternisaient en lumières !
Là dans l'antre de zoos, hydrophobes félins,
Ils parfumaient d'absinthe, vers aux parchemins,
Puis se graissaient la patte en corrompus festins,
Se hérissant le poil que n'avaient pas leurs mains !
Toulouse rose n'y était, mêmement peint,
Et pendant que goulûment se lâchaient les chiens,
La Valentine désossait son Valentin !
Mon quartier perdit comme d'autres son latin,
Ses estaminets gueulant d'ébène au matin.
Sans poète ivre, mon sacré coeur est chagrin !
