
Tel est fouetté qui ne croissait tendre !
Posté par chevalier dupin,
28 novembre 2008
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mes sonnets de nuit, mes sonnets de jour
Un cavalier surgit dans la nuit de Noël,
Court vers la froidure au galop, noir dans le ciel,
Son nom, il l'enseigne d'une arme de froussard,
D'un F qui veut dire Faust mais aussi Fouettard !
Renard usé qui ne fait plus guère sa loi,
Fouettard ! Fouettard ! Père perdant à chaque fois !
Fouettard ! Fouettard ! Qui combat peureux les petits,
Fouettard ! Fouettard ! Sans défense face aux gentils !
Quand il paraît, les enfants si peu effrayés,
Le poussent à fuir au cri de "pépé ringard",
Enclin à déprimer, de son signe, à douter :
Signe d'un zéro devant Nicolas pointé !
Sur tapis blanc, sa sainteté va le rosser :
Clacs ! Clacs ! Clacs ! Par vingt-cinq lui mordra le falzar....
Court vers la froidure au galop, noir dans le ciel,
Son nom, il l'enseigne d'une arme de froussard,
D'un F qui veut dire Faust mais aussi Fouettard !
Renard usé qui ne fait plus guère sa loi,
Fouettard ! Fouettard ! Père perdant à chaque fois !
Fouettard ! Fouettard ! Qui combat peureux les petits,
Fouettard ! Fouettard ! Sans défense face aux gentils !
Quand il paraît, les enfants si peu effrayés,
Le poussent à fuir au cri de "pépé ringard",
Enclin à déprimer, de son signe, à douter :
Signe d'un zéro devant Nicolas pointé !
Sur tapis blanc, sa sainteté va le rosser :
Clacs ! Clacs ! Clacs ! Par vingt-cinq lui mordra le falzar....