
Je suis une fille manquée !
Posté par chevalier dupin,
01 décembre 2008
·
582 visite(s)
mes libertinages tendres
J'adore jouer à la poupée,
Ainsi font les marionnettes de mon doigté,
Trois petits tours et puis s'en vont te chatouiller !
L'apoplexie, pour à mon poteau, te coiffer,
Je la frise, quitte au peigne fin, te passer !
Je jure sur ma tête, tes cheveux à dresser,
Que j'excelle en toutes les nattes à tresser,
Car mon enfant, c'est pour mieux t'y coucher !
Je ne chipote à féminiser mon poudrier,
Tant je veux la nuit t'exploser,
Tel un gloss y briller !
Je m'extasie à jouer au baigneur,
A mon grain de peau, délicatement te doucher,
Te bercer de ma profondeur !
Je prie le ciel de me faire enlever,
En amour sur ton dos, des heures y chevaucher,
Te seller de serments crus, des cris t'harnacher !
J'ai bien sûr mille paires de chaussures,
Bottes secrètes, talons multiples aux souliers,
Mis sur les chemins de ton palpitant marché,
De ton coeur prêt à m'accueillir en pointure,
Comme romantique fou pour l'y balader !
Je me pare aussi de bijoux,
Ai l'instinct de famille,
De lèche-vitrine ai le goût
Avec la plus riche des filles !
Enfin peste si je boude mon plaisir,
Je te taquine à la moue, simule la bobe,
Pourtant je vêts et je viens en habits de désir,
Possesseur d'une garde-robe,
A faire pâlir une et mienne princesse.
Pour le bal, je m'habille sous ton toi,
Sans jamais profession de froid,
Puisque si chaude, tu tiens à mes promesses !
Je suis, je file doux, d'abord t'ai manquée,
Mais encore et encor te voilà rattrapée !
Ainsi font les marionnettes de mon doigté,
Trois petits tours et puis s'en vont te chatouiller !
L'apoplexie, pour à mon poteau, te coiffer,
Je la frise, quitte au peigne fin, te passer !
Je jure sur ma tête, tes cheveux à dresser,
Que j'excelle en toutes les nattes à tresser,
Car mon enfant, c'est pour mieux t'y coucher !
Je ne chipote à féminiser mon poudrier,
Tant je veux la nuit t'exploser,
Tel un gloss y briller !
Je m'extasie à jouer au baigneur,
A mon grain de peau, délicatement te doucher,
Te bercer de ma profondeur !
Je prie le ciel de me faire enlever,
En amour sur ton dos, des heures y chevaucher,
Te seller de serments crus, des cris t'harnacher !
J'ai bien sûr mille paires de chaussures,
Bottes secrètes, talons multiples aux souliers,
Mis sur les chemins de ton palpitant marché,
De ton coeur prêt à m'accueillir en pointure,
Comme romantique fou pour l'y balader !
Je me pare aussi de bijoux,
Ai l'instinct de famille,
De lèche-vitrine ai le goût
Avec la plus riche des filles !
Enfin peste si je boude mon plaisir,
Je te taquine à la moue, simule la bobe,
Pourtant je vêts et je viens en habits de désir,
Possesseur d'une garde-robe,
A faire pâlir une et mienne princesse.
Pour le bal, je m'habille sous ton toi,
Sans jamais profession de froid,
Puisque si chaude, tu tiens à mes promesses !
Je suis, je file doux, d'abord t'ai manquée,
Mais encore et encor te voilà rattrapée !