
A mes échos, incidence endiablée !
Posté par chevalier dupin,
08 décembre 2008
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mon fourre-tout fou
Une oie dans un zoo,
N'en est ailes, avant de se prononcer oiseau ?
Mon petit doigt levé en prenant le thé,
Finement me donne-t-il du doigté ?
Encore avec de l'eau puis de la rage,
Compose-t-on nécessairement un orage ?
Pire : quand un ogre habitué à la moue,
Ainsi qu'à une mauvaise haleine,
Par ses lèvres jusqu'aux joues,
Fleure sa haine,
Fait-ce à tue-tête une criarde tulipe,
Comme va bavoir au type,
Qui salive, l'oeil sallace,
Lorsqu'il zieute de jolies jambes gainées qui passent ?
Ou si l'un dit "Est-ce que dix manches en cette oeuvre
Vêtent plus qu'hier, mieux que deux mains"
Par neuf en deviens-je la pieuvre,
A bras raccourcis du moins ?
Par Dieu ponctuellement,
Où trouver des réponses Satan,
Quand même tel un tour, le vrai ment ;
Voire tandis que tranché à temps,
Comme une tombe et muet semblant
Bien creusé, le faux sait mais s'étend ?
J'ai beau tant essayer,
D'éviter de vilainement les combiner,
Les mots s'associent toujours en malfaiteurs,
Dont justice ne rend souvent le bonheur.
Mimant la sorcière au dessus du chaudron,
Plus d'une fois, dans ma bouche : jeu laid mêle anges,
En élus, cubes et rations ;
Alors non sans que voix les ait nominées,
Arrivent sans prévenir :
De "carrément mal famées mésanges" !
Quelqu'un pourrait-il donc m'en expliquer
L'arraison, pour que je m'arrête de rire ?
N'en est ailes, avant de se prononcer oiseau ?
Mon petit doigt levé en prenant le thé,
Finement me donne-t-il du doigté ?
Encore avec de l'eau puis de la rage,
Compose-t-on nécessairement un orage ?
Pire : quand un ogre habitué à la moue,
Ainsi qu'à une mauvaise haleine,
Par ses lèvres jusqu'aux joues,
Fleure sa haine,
Fait-ce à tue-tête une criarde tulipe,
Comme va bavoir au type,
Qui salive, l'oeil sallace,
Lorsqu'il zieute de jolies jambes gainées qui passent ?
Ou si l'un dit "Est-ce que dix manches en cette oeuvre
Vêtent plus qu'hier, mieux que deux mains"
Par neuf en deviens-je la pieuvre,
A bras raccourcis du moins ?
Par Dieu ponctuellement,
Où trouver des réponses Satan,
Quand même tel un tour, le vrai ment ;
Voire tandis que tranché à temps,
Comme une tombe et muet semblant
Bien creusé, le faux sait mais s'étend ?
J'ai beau tant essayer,
D'éviter de vilainement les combiner,
Les mots s'associent toujours en malfaiteurs,
Dont justice ne rend souvent le bonheur.
Mimant la sorcière au dessus du chaudron,
Plus d'une fois, dans ma bouche : jeu laid mêle anges,
En élus, cubes et rations ;
Alors non sans que voix les ait nominées,
Arrivent sans prévenir :
De "carrément mal famées mésanges" !
Quelqu'un pourrait-il donc m'en expliquer
L'arraison, pour que je m'arrête de rire ?